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Le malaise des jeunes en Kabylie

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  • #16
    Restez dans votre aliénation mentale, le système algerien d'après 62 est toujours dans vos tête
    .

    y on a qui dormait pendant les cours d'histoire.

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    • #17
      C'est marrant, la seule chose qui ait retenu votre attention c'est que ça se passe en Kabylie. La misère et la galère des jeunesl le visa à 20 millions, la filière clandestine par l'Afrique du Sud n'ont suscité aucune remarque.

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      • #18
        bonjour
        il serait temps pour certains de revenir a la realité aussi triste qu'elle puisse etre.

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        • #19
          usu

          Que veux tu que je te dise !!!!
          Reste dans ton monde ou tu crois que nous sommes résponsable de vos dérives
          Et je suis convaicu que la majorité des Kabyles son honnête et ne jouent ton jeu
          qui consiste être un renégat et ce de façon consciente ou non.
          Allé on n'a vraiment pas les mêmes valeurs.

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          • #20
            Salimde

            Tu qualifies de renégat celui qui ne veut pas renier ses vraies racines ???? Prend un dictionnaire pour comprendre la signification des mots que tu emploies Et retourne jouer à la marelle Et apprend bien tes leçons ça te servira plus tard quand tu voudras discuter avec des adultes
            Les libertés ne se donnent pas, elles se prennent

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            • #21
              zwina

              la vérité est toujour difficile à entendre!!!
              Honnêtement essaye de te gérer pour avoir une vrai objéctivité qui pourrais te permettre de sortir de ta paranoîa que je voit progrésser tous les jours un peu plus.Dans le monde réelle je peut t'assurer que les Algériens ne veulent aucun mal aux Kabyles et si tu ne me crois pas va à la rencontre d'Algériens ça te rassura et je pense que tes crises diminurons .Tu dois penser que je t'en veux mais je n'est rien contre toi.Mais tu as une facheuse tendance à fuir dès que tu manque d'argumentation et tu reviens avec un texte persuadé qu'il confirme tes pensées issues de ta paranoîa du moment.
              Dernière modification par salimde, 20 mai 2006, 12h07.

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              • #22
                Salimde

                Tu viens de démontrer à tout le monde ce que tu es......... malheureusement pas de remèdes à la kabylophobie qui vire aux insultes gratuites
                Les libertés ne se donnent pas, elles se prennent

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                • #23
                  souvent,lorsqu'on manque d'argument on derive la discution.
                  l'article propose par morjane dont le titre"le malaise des jeunes kabyles" nayteh gheir saliha.sauf,si vous croyez vous tous et zwina specialement.que les autres algeriens ne manquent de rien ou du moins qu'ils vivent mieux que les kabyles.

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                  • #24
                    Oran

                    Non justement pas mieux lis un peu ce qui suit :

                    ALiberté(Mercredi 17 Mai 2006)


                    Elles faisaient partie d’un groupe qui a tenté de rallier l’Europe
                    Des femmes harragas repêchées au large d’Oran


                    Par : F. Boumediene
                    Lu : (3435 fois)


                    Les gardes-côtes ont porté secours à 7 personnes, dont deux jeunes femmes, à bord d’un canot pneumatique endommagé à 4 miles au large de Bouisville.

                    Au moment où des familles de “harragas algériens” s’étaient regroupées, hier matin, au siège du Croissant-Rouge avec le désir de créer une association et dire tout le drame qui se joue quotidiennement au large des côtes algériennes, les garde-côtes de la frange marine ouest portaient secours à 7 harragas dont deux jeunes filles. Ils se trouvent en bonne santé, puisqu’ils ont pu descendre seuls et sans aucune aide du patrouilleur qui les a ramenés au port d’Oran.
                    Âgés de 23 à 30 ans, originaires d’Oran et de Tlemcen pour l’un d’entre eux, ce groupe de candidats à l’immigration clandestine a pu être secouru par les garde-côtes, hier à 10h30, alors qu’ils étaient depuis plusieurs heures dans l’eau s’agrippant avec la rage du désespoir à un canot pneumatique. Selon les déclarations faites aux agents de la sécurité, ils sont partis de Bouisville, sur la Corniche oranaise, mardi dernier à 6h30 à bord d’une embarcation pneumatique, achetée à Bouzedjar et qui n’avait aucun numéro d’immatriculation. Une demi-heure à peine après avoir quitté la côte, leur embarcation aurait heurté un rocher en raison de l’épais brouillard, et très rapidement, ils ont coulé. Organisés dans leur tentative de rejoindre les côtes espagnoles, les 7 harragas disposaient d’un portable, c’est ce qui leur a permis, eux-mêmes, de lancer un appel de détresse aux garde-côtes qui ont pu les récupérer alors qu’ils se trouvaient à 4 miles au large de Bouisville. Jusqu’ici, les 7 jeunes gens, qui ne disposaient d’aucune pièce d’identité, déclarent avoir voulu se rendre aux îles Habibas, sachant pertinemment qu’ils encouraient jusqu’à 6 mois de prison
                    pour tentative d’immigration clandestine.
                    D’ailleurs, ils seront présentés, aujourd’hui, au parquet du tribunal de Aïn El-Turk territorialement compétent. Durant tout le temps qu’ils ont passé à répondre aux questions des agents de police, leur regard fuyant était celui des personnes perdues, avec ce sentiment de malaise profond qui se dégageait de tout leur corps.
                    L’information que des candidats à l’immigration clandestine avaient été retrouvés vivants, à tôt fait de parvenir aux familles de harragas réunies au même instant au siège du Croissant-Rouge algérien d’Oran, avec les responsables du service des rétablissements des liens familiaux (RSF). En quelques minutes, la tension montait chez les pères et les mères que nous venions juste de rencontrer. Plusieurs d’entre eux se sont précipités au port d’Oran avec nous, espérant y retrouver le fils, qu’ils recherchaient, certains, depuis des mois. Vacillants presque, ils ne purent constater, une fois de plus, que pour eux c’était une fausse alerte, une de plus, malheureusement.
                    En effet, ces familles de harragas qui se comptent par dizaines, rien qu’au niveau d’Oran, ont déposé des demandes auprès du service RLF du CRA pour que des recherches soient menées en Espagne notamment par le biais de la Croix-Rouge espagnole. Pour la seule journée d’hier, les bénévoles du CRA ont enregistré 24 nouvelles demandes de recherche, alors qu’ils ont déjà à leur niveau plus de 20 dossiers. Sur 34 enquêtes menées, 8 se sont avérées positives et 6 négatives.
                    Mais pour ces pères et ces mères de harragas que nous avons rencontrés, la détresse, la souffrance est terrible. C’est un poids incommensurable qu’ils doivent porter chaque jour. Mohamed, qui est sans nouvelles de son fils de 23 ans depuis le 17 mars, vit en suspens.
                    Chaque information, chaque rumeur faisant état de harragas retrouvés ou de corps repêchés le rend fou : “Ouldi h’rag le 17 mars, à chaque fois que j’entends que la mer a rejeté un corps, je cours à la morgue…, j’ai été partout à Bouzedjar, à Béni Saf, j’ai appelé les consulats algériens au Maroc, en Espagne rien… IIs me raccrochent au nez !... Pourquoi ? Pourquoi dans ce pays, les responsables ne veulent rien faire pour ces jeunes, donnez-leur du travail !…” La colère s’empare du vieil homme qui ne comprend pas pourquoi on cherche avant tout à le culpabiliser lui en tant que père et d’ajouter : “Ils ont des milliards au gouvernement, pourquoi ne donnent-ils rien à ces jeunes pour les aider au lieu de les laisser partir comme ça et mourir…” Une mère, qui elle aussi reste sans nouvelles de son fils harraga parti en février dernier avec un groupe de 11 autres jeunes, nous lâche : “Je veux que les autorités fassent le nécessaire pour ramener les corps qui ont été retrouvés sur les côtes espagnoles… ça ne fait rien, mort ou vivant mais que je sache où est mon fils !… Est-ce qu’ils sont incapables de nous les ramener…”
                    Certains n’ont plus ni le courage ni la force de parler, la voix cassée, la gorge nouée par les sanglots. Plusieurs ont quitté la salle n’en pouvant plus. Un jeune homme venu de Tiaret pour tenter d’avoir des nouvelles de son frère, lui aussi, embarqué à partir de Bouzedjar à destination de l’Espagne, a toutes les peines du monde à contenir sa douleur : “J’ai aidé mon frère pour qu’il paye son passage, 3 ont été retrouvés vivants, 3 autres sont morts et 6 sont portés disparus… J’ai cherché partout et personne ne m’aide ou ne nous accorde de l’importance !…”Et c’est ce qui est le plus difficile à vivre pour ces familles qui sont seules face à ce drame inhumain, ne sachant si les leurs sont morts ou vivants.
                    Aujourd’hui, les familles de harragas à Oran veulent s’organiser, se constituer en association pour qu’enfin les autorités cessent de se voiler la face, qu’on écoute leur souffrance et qu’enfin, en Algérie l’on reconnaisse qu’il s’agit là, non pas d’un phénomène ponctuel, mais d’un véritable fléau. L’ensemble de la société est touchée et on se retrouve en fait devant une forme de suicide social collectif. “en restant ici, ils se considèrent comme morts, c’est pour cela qu’il y a tant de harragas en Algérie, ce pays est en train de tuer sa jeunesse !…” nous lâchera un jeune qui a ainsi perdu plusieurs de ses copains une nuit en partance vers ailleurs.
                    Pour l’un de nos interlocuteurs qui a trois membres de sa famille disparus, des jeunes universitaires, l’association est la seule solution pour que ces jeunes “ne soient pas que des chiffres, des faits divers… que les autorités assument leurs responsabilités !…” finira-t-il par dire.


                    Les services de sécurité ont fait mention dans leur rapport à la page 35 ce qui suit : «Depuis la crise pétrolière de 1986, des pans entiers de la société algérienne ont sombré dans la pauvreté. En l’an 2003, et malgré des réserves de changes dépassant les 30 milliards de dollars, un Algérien sur trois vit en dessous du seuil du seuil de pauvreté». alors que le ministre de la solidarité nationale parle de 72 302 personnes démunis en Algérie.

                    Certains réclament une autonomie, d'autres fuient au risque de leur vie, d'autres demandent des visas mais tous pour les mêmes raison essayer de se sortir de la misère dont tous le peuple algérien souffre. Certains font simplement plus de bruits que d'autres mais les raisons sont les mêmes partout.
                    Les libertés ne se donnent pas, elles se prennent

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                    • #25
                      @ zwina,

                      tu vois.on n'a pas parler du"malaise des jeunes oranais", "malaise des jeunes oranaises"ou "maaise des jeunes oranais et oranaise".du cote d'Oran.y a aucun complexe.

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                      • #26
                        Oran

                        Exact mais qui manipule la presse et la télévision algérienne ?????
                        Les libertés ne se donnent pas, elles se prennent

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                        • #27
                          Exact mais qui manipule la presse et la télévision algérienne ?????
                          Aujourd'hui 22h31
                          heuuu,les kabyles??

                          je deconne.mais ecoutes qui que ce soit celui ou ceux qui manipule la presse algerienne.on doit etre d'accord que les kabyles veulent se demarquer des algeriens et pourquoi ca??parce que l'algerie est en difficulte.

                          p.s. je ne parle pas des kabyles oranais.ce probleme de kabyles arabes ne se pose meme pas.

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                          • #28
                            Oran

                            Justement le problème ne se pose pas à Oran parce que arabe et kabyle cohabite depuis très longtemps ensemble sans que cela est créee le moindre problème entre eux. Dans la réalité, sur le terrain arabophone et berberophone cohabitent sans aucuns problèmes mais là il s'agit du peuple.... Mais tu prends les grands titres de la presse algérienne et régulièrement la Kabylie ou la jeunesse Kabyle ou l'insécurité en Kabylie font la Une des journaux alors que les problèmes que nous rencontront sont les mêmes dans toute l'Algérie (nous avons un problème de plus ils voudraient que l'on ne parle plus notre langue). Ce jeune oranais qui dit dans l'article : en restant ici, ils se considèrent comme morts, c’est pour cela qu’il y a tant de harragas en Algérie, ce pays est en train de tuer sa jeunesse C'est exactement la même phrase que la jeunesse kabyle scandait pendait les manifestations : "vous pouvez nous tuez car de toute façon nous sommes déjà mort". Ces phrases ce ne sont pas les "zimigrés " qui les ont prononcées mais bel et bien notre jeunesse algérienne. Justement de plus en plus d'émigrés prennent conscience que la jeunesse algérienne n'en peut plus et qu'ils seraient tant que nous les aidions à sortir de cet engrenage. Manifester en Algérie c'est s'exposer à recevoir des balles réelles alors si chacun arabophone ou kabylophone pouvant oeuvrer de quelques façons que ce soit pour les aider le faisait peut être que nous pourrions contribuer à les sortir de cette situation. Il est évident que ce n'est pas l'intérêt du gouvernement algérien que les berbérophones et les arabophones s'unissent pour réclamer un meilleur avenir pour la jeunesse algérienne.........Le livre de chevet de nos dirigeants a toujours été Machiavel et ils ont du constituer de sacré stock.
                            Les libertés ne se donnent pas, elles se prennent

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                            • #29
                              @ zwina,

                              oui mais la difference est que ces harragas n'ont pas brules le drapeau algerien.moi je condamne tout act de se demarquer de son algerienite.je suis d'abord un algerien et je suis d'abord vu comme un algerien par les autres.

                              question parler la langue berbere,je suis absolument pas d'accord avec toi.personne n'a empeche les berberes de parler berbere.la langue berbereest dans les ecoles,la television,le parlement et on a meme un premier ministre qui repond en berbere a des questions poses en berbere.

                              moi qui ai "arabe"je fais des efforts pour apprendre le kabyle.mais on m'a apprit que les gros mots

                              et pour l'union arabe kabyle,je trouve le mot UNION un peu fort car de mon cote,y a pas division.

                              p.s faut laisser le gouvernement tranqui,surtout quand on est capable de voler 300 couvercles d'egout en 2 nuits.meme les chinois ne sont pas si rapides.

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                              • #30
                                zwina

                                Tu tu peux constater en t'informant qu'un Kabyle peut se rendre ou il veut en Algérie.Mais un Arabe en Kabylie très difficile donc quand tu parle de l'union des Algériens s'est au Kabyle qu'il faut que tu d'adresse.Je te demande d'être sincère avec toi même si tu as le respect des tiens.
                                Dernière modification par salimde, 19 mai 2006, 20h39.

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