Le trou de la sécu algérienne
La loi de finances complémentaire 2011 de l'Algérie prévoit des abattements de cotisations patronales conséquentes pour toute embauche et création d'emploi: de 44% à 20% au nord et de 38%à 10% au sud.
La générosité jamais démentie de l'état envers les employeurs atteient les profondeurs de la soumission aux intére^ts privés! Les stimilants finaciers à la création d'activités et/ou d'emplois sont légions en Algérie: ils representent autant de niches fiscales et parafiscales avec au bout du compte une contrepartie faible.L'Etat algérien, la collectivité nationale, tous les algériens maternent des "investisseurs" qui ne pensent qu'à s'en mettre plein les poches, ne particpent pas à la solidarité nationale ( en payant l'impôt, les cotisations sociales); il est vrai que les contrôleurs ne sont pas légion et comment, dès lors, faire le travail de collecte et de recouvrement.
On attend de l'investisseur qu'il fasse la preuve qu'il est en régle pour obtenir des prêts bancaires: il suffit de lire les appels d'offres et la kyrielle de documents exigés pour s'en convaincre...C'est dire combien les organismes sollicités sont tentés de faire payer pur délivrer le papier-sésame du coffre fort" Algérie"...
La corruption des agents de la sécurité sociale étant notoire et le recouvrement des cotisations sociales laissées au bon vouloir de l'assjéti.
Pourquoi ? Par un effet pervers de l'argumentaire des pouvoirs publics s'agissant des couvertures sociales et de santé publique, des allocations familiales ( intégralement servies par l'Etat): cet argumentaire est que l'administration est le plus grand employeur ses cotisations ajoutées au fonds spéciaux et surtout au Fonds de récserve des retraites suffisant à couvrir les dépenses d'assurances amladies, et autres retraites!
Sauf qu'on assiste à un véritable détricotage d'un acquis social obtenu au cours de luttes au niveau mondial et en Algérie même.
C'est aussi une manière déguisée de budgétisée des prélevements, certes obligatoires, mais qui mettent e ,jeu le binôme employeur-salarié: ces deniers ne veulent pas tellement être assistés, si leurs revenus sont calculés sur la base de leur travail et des autres paramétres économiques...
On objectera que la qualité du travail et sa productivité sont nulles: mais alors comment en sortir?
Dernièrement le ministre du travail s'est félicité de l'augmentation , plus de 35%; de la cagnotte des caisses de sécurité sociale; il ne dit pas que cet enrichissement est la conséquence des augmentations de salaires irrationnelles, du premier trimestre 2011, celui de la pression intérieure et extèrieure sur l'Algérie: les pouvoirs publics avaient peur, à juste titre, de voir les populations se ranger derrière les mots d'ordre de l'Otan et des USA chefs de file des Sarkozy et Cameon... Ils ont acheté la paix pour ne pas se retrouver dans la situation de la Li bye!
Que fera le minsitère du travail de ce nerf de la guerre? Il ne résoudra pas la question du remboursement des examens radiologiques, ni la prise en charge des maladies de longue durée comme le cancer, con sidérant qu'au bout de de la décison du contrôleur médical-chargé de réduire cette prise en charge- le malade est DEFINITIVEMENT guéri! Alors qu'il ne s'agit que de rémissions d'une durée plus ou moins longues: le malade vit avec cette menace de récidive; amis la sécurité sociale n'en a cure!
Parlons des retraités: le ministre du travail et de la sécurité sociale, de l'emploi se léche les babines des augmentations de ressources mais n'envisage nullement de revoir la pension de retraites . Les vieux travailleurs vont rejoindre les catégories sociales marginalisées et fragilisées.
Même la mise en circulation de la Carte Chiffa est considérée comme le moyen d'exclure plus de 10 millions d'algériens des assurances et des soins.
Et on annocne un million d'emplois créés en un semestre! A combien s'est élevé le PIB pour la même période?
Tribune de Genève
La loi de finances complémentaire 2011 de l'Algérie prévoit des abattements de cotisations patronales conséquentes pour toute embauche et création d'emploi: de 44% à 20% au nord et de 38%à 10% au sud.
La générosité jamais démentie de l'état envers les employeurs atteient les profondeurs de la soumission aux intére^ts privés! Les stimilants finaciers à la création d'activités et/ou d'emplois sont légions en Algérie: ils representent autant de niches fiscales et parafiscales avec au bout du compte une contrepartie faible.L'Etat algérien, la collectivité nationale, tous les algériens maternent des "investisseurs" qui ne pensent qu'à s'en mettre plein les poches, ne particpent pas à la solidarité nationale ( en payant l'impôt, les cotisations sociales); il est vrai que les contrôleurs ne sont pas légion et comment, dès lors, faire le travail de collecte et de recouvrement.
On attend de l'investisseur qu'il fasse la preuve qu'il est en régle pour obtenir des prêts bancaires: il suffit de lire les appels d'offres et la kyrielle de documents exigés pour s'en convaincre...C'est dire combien les organismes sollicités sont tentés de faire payer pur délivrer le papier-sésame du coffre fort" Algérie"...
La corruption des agents de la sécurité sociale étant notoire et le recouvrement des cotisations sociales laissées au bon vouloir de l'assjéti.
Pourquoi ? Par un effet pervers de l'argumentaire des pouvoirs publics s'agissant des couvertures sociales et de santé publique, des allocations familiales ( intégralement servies par l'Etat): cet argumentaire est que l'administration est le plus grand employeur ses cotisations ajoutées au fonds spéciaux et surtout au Fonds de récserve des retraites suffisant à couvrir les dépenses d'assurances amladies, et autres retraites!
Sauf qu'on assiste à un véritable détricotage d'un acquis social obtenu au cours de luttes au niveau mondial et en Algérie même.
C'est aussi une manière déguisée de budgétisée des prélevements, certes obligatoires, mais qui mettent e ,jeu le binôme employeur-salarié: ces deniers ne veulent pas tellement être assistés, si leurs revenus sont calculés sur la base de leur travail et des autres paramétres économiques...
On objectera que la qualité du travail et sa productivité sont nulles: mais alors comment en sortir?
Dernièrement le ministre du travail s'est félicité de l'augmentation , plus de 35%; de la cagnotte des caisses de sécurité sociale; il ne dit pas que cet enrichissement est la conséquence des augmentations de salaires irrationnelles, du premier trimestre 2011, celui de la pression intérieure et extèrieure sur l'Algérie: les pouvoirs publics avaient peur, à juste titre, de voir les populations se ranger derrière les mots d'ordre de l'Otan et des USA chefs de file des Sarkozy et Cameon... Ils ont acheté la paix pour ne pas se retrouver dans la situation de la Li bye!
Que fera le minsitère du travail de ce nerf de la guerre? Il ne résoudra pas la question du remboursement des examens radiologiques, ni la prise en charge des maladies de longue durée comme le cancer, con sidérant qu'au bout de de la décison du contrôleur médical-chargé de réduire cette prise en charge- le malade est DEFINITIVEMENT guéri! Alors qu'il ne s'agit que de rémissions d'une durée plus ou moins longues: le malade vit avec cette menace de récidive; amis la sécurité sociale n'en a cure!
Parlons des retraités: le ministre du travail et de la sécurité sociale, de l'emploi se léche les babines des augmentations de ressources mais n'envisage nullement de revoir la pension de retraites . Les vieux travailleurs vont rejoindre les catégories sociales marginalisées et fragilisées.
Même la mise en circulation de la Carte Chiffa est considérée comme le moyen d'exclure plus de 10 millions d'algériens des assurances et des soins.
Et on annocne un million d'emplois créés en un semestre! A combien s'est élevé le PIB pour la même période?
Tribune de Genève
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