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Les occupants israéliens s’entêtent à empêcher les fidèles palestiniens d’atteindre leur sainte mosquée d’Al-Aqsa, par tous les moyens. Et par tous les moyens, les fidèles tentent de l’atteindre, surtout dans ce mois béni de Ramadan. Leur amour pour leurs lieux sacrés, Al-Aqsa en tête, et leur volonté de l’atteindre n’auront pas de limites.
Les occupants israéliens imposent des restrictions à tout le monde, aux fidèles qui veulent accomplir leur culte dans la grande mosquée, surtout sur les jeunes, même les jeunes habitants de la ville d'Al-Quds et de ses banlieues. Toutefois, cette année, sont nombreux les jeunes qui les défient et défient leurs mesures strictes et qu iarrivent en grands nombres dans la sainte mosquée.
Restrictions discriminatoires
Les mesures abusives imposées aux fidèles sont nombreuses. Des millions de shekels d’amende pour une simple infraction à la circulation ; et cela a commencé dès les premiers jours du mois béni de Ramadan, dit Cheikh Najeh Bkirat, chef du bureau des manuscrits de la mosquée d’Al-Aqsa. Les fidèles ont donc remplacé leurs voitures par des motos, un moyen pour éviter les soldats de l’occupation israélienne et leurs complications.
Jadis, on ne voyait que quelques dizaines de motos dans les cours de la mosquée ; maintenant, on en voit des centaines, ajoute Cheikh Bkirat.
Ce moyen de transport a beaucoup facilité aux fidèles, aux jeunes en particulier, l’accès à la mosquée, confirme-t-il.
Les fidèles cherchent toujours un nouveau moyen les conduisant à leur mosquée, surtout face à ces restrictions israéliennes qui ne se cessent de se renforcer.
Briser les chaînes
Le jeune homme Fadi Saleh habite dans une ville du nord de la Cisjordanie. Il dit que les occupants israéliens ne leur laissent aucune marge pour visiter leurs lieux de culte librement. Ils font la guerre à leur religion, à leurs cultes, à leurs lieux saints. Les fidèles n’ont d’autre choix que de chercher de nouveaux moyens les conduisant à leur mosquée, en particulier dans ce mois béni de Ramadan, dit le jeune Saleh.
Les jeunes de la Cisjordanie souffrent les plus de ces restrictions israéliennes. Ils prennent tous les risques pour atteindre leurs lieux saints, en traversant des tunnels creusés sous terre, sous les balles israéliennes, confirme Saleh.
Accomplir la prière dans la sainte mosquée d’Al-Aqsa est devenu le souhait le plus cher des habitants de la Cisjordanie. Pour les habitants de la bande de Gaza, tout porte à croire qu’il reste un rêve impossible.
Et afin d’arriver à leur fin, les occupants israéliens travaillent d’arrache-pied pour chasser les habitants d’Al-Quds de leur ville. La sainte mosquée d’Al-Aqsa est enchaînée, triste, restant toujours sous l’occupation.
Les fidèles aimeraient que la mosquée soit libre, que les fidèles puissent s’y rendre sans inspection, sans humiliation. Et la ville d'Al-Quds appelle le milliard et demi de Musulmans à venir la visiter.
Soutien et présence
Malgré tous les agissements des occupants israéliens, malgré la chaleur, malgré le soleil brûlant, plus de deux cent mille fidèles ont accompli leur prière dans la sainte mosquée d’Al-Aqsa, au premier vendredi du mois béni de Ramadan. Les chiffres ont été donnés par Cheikh Mohammed Azzam Al-Timimi, directeur des legs de la ville d'Al-Quds. La plupart des fidèles sont venus de la ville d'Al-Quds, des territoires occupés en 1948, en plus de ceux qui ont réussi à venir de la Cisjordanie.
Violation permanente
De son côté, l’avocat Ahmed Tobasi, chercheur de l’institut de Solidarité internationale pour les droits de l’homme, confirme que ces mesures israéliennes constituent une agression contre les lieux saints islamiques, agression systématique contre un des plus importants lieux islamiques. Les occupants israéliens se donnent la liberté de creuser des tunnels en dessous de la sainte mosquée d’Al-Aqsa. Ils interdisent en plus sa restauration.
Ils interdisent aux fidèles musulmans d’y arriver, mais ils permettent aux groupes juifs extrémistes et aux touristes étrangers de profaner ses cours.
L’avocat Ahmed Tobasi confirme que toutes ces violations viennent à l’encontre de tous les accords, de toutes les lois et conventions internationales qui exigent la protection du droit du culte et des lieux saints de tous les peuples, la protection des aspects culturels et historiques de tout pays.
Enfin, Ahmed Tobasi regarde les crimes de l’occupation israélienne envers les lieux saints dans les territoires palestiniens avec une grande inquiétude.
(source : Centre palestinien d'infos))
Les occupants israéliens imposent des restrictions à tout le monde, aux fidèles qui veulent accomplir leur culte dans la grande mosquée, surtout sur les jeunes, même les jeunes habitants de la ville d'Al-Quds et de ses banlieues. Toutefois, cette année, sont nombreux les jeunes qui les défient et défient leurs mesures strictes et qu iarrivent en grands nombres dans la sainte mosquée.
Restrictions discriminatoires
Les mesures abusives imposées aux fidèles sont nombreuses. Des millions de shekels d’amende pour une simple infraction à la circulation ; et cela a commencé dès les premiers jours du mois béni de Ramadan, dit Cheikh Najeh Bkirat, chef du bureau des manuscrits de la mosquée d’Al-Aqsa. Les fidèles ont donc remplacé leurs voitures par des motos, un moyen pour éviter les soldats de l’occupation israélienne et leurs complications.
Jadis, on ne voyait que quelques dizaines de motos dans les cours de la mosquée ; maintenant, on en voit des centaines, ajoute Cheikh Bkirat.
Ce moyen de transport a beaucoup facilité aux fidèles, aux jeunes en particulier, l’accès à la mosquée, confirme-t-il.
Les fidèles cherchent toujours un nouveau moyen les conduisant à leur mosquée, surtout face à ces restrictions israéliennes qui ne se cessent de se renforcer.
Briser les chaînes
Le jeune homme Fadi Saleh habite dans une ville du nord de la Cisjordanie. Il dit que les occupants israéliens ne leur laissent aucune marge pour visiter leurs lieux de culte librement. Ils font la guerre à leur religion, à leurs cultes, à leurs lieux saints. Les fidèles n’ont d’autre choix que de chercher de nouveaux moyens les conduisant à leur mosquée, en particulier dans ce mois béni de Ramadan, dit le jeune Saleh.
Les jeunes de la Cisjordanie souffrent les plus de ces restrictions israéliennes. Ils prennent tous les risques pour atteindre leurs lieux saints, en traversant des tunnels creusés sous terre, sous les balles israéliennes, confirme Saleh.
Accomplir la prière dans la sainte mosquée d’Al-Aqsa est devenu le souhait le plus cher des habitants de la Cisjordanie. Pour les habitants de la bande de Gaza, tout porte à croire qu’il reste un rêve impossible.
Et afin d’arriver à leur fin, les occupants israéliens travaillent d’arrache-pied pour chasser les habitants d’Al-Quds de leur ville. La sainte mosquée d’Al-Aqsa est enchaînée, triste, restant toujours sous l’occupation.
Les fidèles aimeraient que la mosquée soit libre, que les fidèles puissent s’y rendre sans inspection, sans humiliation. Et la ville d'Al-Quds appelle le milliard et demi de Musulmans à venir la visiter.
Soutien et présence
Malgré tous les agissements des occupants israéliens, malgré la chaleur, malgré le soleil brûlant, plus de deux cent mille fidèles ont accompli leur prière dans la sainte mosquée d’Al-Aqsa, au premier vendredi du mois béni de Ramadan. Les chiffres ont été donnés par Cheikh Mohammed Azzam Al-Timimi, directeur des legs de la ville d'Al-Quds. La plupart des fidèles sont venus de la ville d'Al-Quds, des territoires occupés en 1948, en plus de ceux qui ont réussi à venir de la Cisjordanie.
Violation permanente
De son côté, l’avocat Ahmed Tobasi, chercheur de l’institut de Solidarité internationale pour les droits de l’homme, confirme que ces mesures israéliennes constituent une agression contre les lieux saints islamiques, agression systématique contre un des plus importants lieux islamiques. Les occupants israéliens se donnent la liberté de creuser des tunnels en dessous de la sainte mosquée d’Al-Aqsa. Ils interdisent en plus sa restauration.
Ils interdisent aux fidèles musulmans d’y arriver, mais ils permettent aux groupes juifs extrémistes et aux touristes étrangers de profaner ses cours.
L’avocat Ahmed Tobasi confirme que toutes ces violations viennent à l’encontre de tous les accords, de toutes les lois et conventions internationales qui exigent la protection du droit du culte et des lieux saints de tous les peuples, la protection des aspects culturels et historiques de tout pays.
Enfin, Ahmed Tobasi regarde les crimes de l’occupation israélienne envers les lieux saints dans les territoires palestiniens avec une grande inquiétude.
(source : Centre palestinien d'infos))
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