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Rites, coutume autour de l'accouchement

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  • Rites, coutume autour de l'accouchement

    Les coutumes au Togo




    Pour éviter d’attirer les mauvais esprits, la femme ne doit pas pousser un cri pendant l'accouchement.
    Dans la communauté Ewé, le père et les hommes n’assistent pas à l’accouchement. Ils se retrouvent tous au sanctuaire et demandent aux ancêtres que tout se passe bien.
    Toujours au sein de cette ethnie, la tante effectue la première toilette du bébé . Et pour accueillir l’enfant, la coutume veut qu’il boive quelques gouttes d’eau. Pendant un mois, le nouveau-né est lavé plusieurs fois par jour.
    Dans la tradition togolaise, la jeune maman doit observer un temps de réclusion. On retrouve d’ailleurs cette période de « quarantaine » en Asie et dans d’autres pays d’Afrique. Pendant sept jours, la femme et son bébé restent enfermés chez eux. Et lorsqu’elle peut sortir, la mère doit obligatoirement porter des sandales pour éviter d’attraper des maladies contagieuses.






    Les coutumes en Algérie



    Comme partout au Maghreb, le nouveau-né est accueilli par des "youyous" et bien souvent, un mouton est sacrifié pour célébrer l'évènement.
    Dans la région de Kabylie (Est de l’Algérie), après la naissance du bébé, le placenta est enterré sous un figuier. Une autre coutume veut que l'enfant soit lavé avec de l’huile mélangée à du sel trois soirs de suite… pour que le nouveau-né sente toujours bon.
    Après l’accouchement, certaines familles gardent le cordon ombilical. La mère le montre à son enfant lorsqu'il a 7 ans pour qu’il se souvienne de son enfance.
    Pour protéger le bébé des mauvais génies, un couteau est placé dans le lit de l’enfant . Et pour détourner le mauvais œil, les yeux du bébé sont entourés d’un trait de khôl noir .
    Toujours pour éloigner les esprits malins, la mère noue à l’enfant deux fils de laine noir et blanc au poignet et à la cheville gauche, sept jours après sa naissance.


    Les coutumes en Tunisie


    Dans le sud tunisien, le cordon ombilical est coupé avec une lame de rasoir. Après la naissance, la jeune maman doit protéger son bébé d’une "ravisseuse d’enfant". Pour cela, elle dépose à côté de son enfant une petite bouteille d’eau et un tamis .
    Et pour repousser le mauvais œil, certaines ethnies ont pour habitude d’appliquer un peu de suie sur le visage de l’enfant . Il est ainsi moins désirable.




    Les coutumes au Maroc


    Pendant l’accouchement, la femme essaye d’étouffer ses cris en mordant une mèche de cheveux. Elle doit délier sa chevelure, être nu-tête et dénouer sa ceinture .
    La sage-femme est en charge de couper le cordon ombilical. Elle le ligature d’abord avec un fil, de préférence rouge, puis le coupe avec une paire de ciseaux.
    Comme en Algérie, un couteau est glissé dans le berceau du bébé . Les Marocains ajoutent aussi un Coran pour le protéger des mauvais esprits.






    Les coutumes en Chine

    Corbis

    Après l’accouchement, la jeune mère chinoise « porte le mauvais sang ». Elle doit rester enfermée au chaud pendant 40 jours. L’une des peurs de la maman est d’être exposée au froid. A sa sortie, le petit garçon est habillé en rouge (couleur du bonheur) et la petite fille en vert .
    La jeune maman n'allaite pas son bébé pendant les trois premiers jours car le lait est impur. La mère le nourrit avec du miel et du réglisse mélangés à de l’eau.
    Pour éviter d’attirer le mauvais œil, la mère et son entourage ne s’extasient pas devant le nouveau-né. Personne n’exprime ses émotions .
    Le nouveau-né porte un bracelet de fil tressé au poignet qui symbolise l’attache de l’enfant à son esprit. La jeune maman masse aussi beaucoup son bébé pour renforcer leur lien.
    Trente jours après la naissance du bébé, une cérémonie est organisée : un coiffeur rase alors les cheveux du nouveau-né .
    En général, le bébé ne reçoit pas de prénom avant un an. Ses parents l’appellent par un sobriquet plutôt péjoratif pour éloigner les mauvais esprits.




    Les coutumes en Inde :


    Dans ce pays non plus, la femme ne doit pas montrer de signe de souffrance pendant l’accouchement. La future maman accouche allongée sur une pagne, les cheveux détachés, sans bagues ni bracelets (seules les boucles d’oreilles et la boucle perçant la narine sont autorisés).
    Après l’accouchement, le cordon est parfois enterré à la verticale pour que Vishnou puisse l’attraper et tirer l’enfant vers le paradis. Dans d’autres communautés, il peut être séché et placé dans un petit sachet. La maman l’accroche autour du cou de l’enfant en guise d’amulette.
    Et toujours pour éloigner le mauvais œil, du khôl noir est appliqué sous les yeux du nouveau-né .
    Les oreilles et le nez des bébés (filles et garçons) sont percés pendant la première semaine de vie. La coutume veut que les cheveux du nouveau-né soient rasés .




    Les coutumes au Cambodge


    Pour protéger la chambre de la future maman, la famille fait appel à un spécialiste de la magie qui, entres autres rites, trace des croix à la chaux blanche sur les portes et les murs.
    Après l’accouchement, le placenta est lavé, saupoudré de sel et enveloppé dans une feuille de bananier. Pendant trois jours, il reste aux côtés du bébé . Le placenta est ensuite enterré dans un endroit proche de la maison.

  • #2
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    Les coutumes au Guatemala




    La sage-femme prépare une sorte de potion pour accélérer les contractions et masse le ventre de la future maman .
    Au Guatemala, le cordon ombilical peut être suspendu dans la cuisine lorsque c’est une fille (pour qu’elle soit une bonne ménagère) ou bien être accroché à la branche d’un arbre lorsque c’est un garçon (pour qu’il devienne fort).
    La jeune mère ne peut pas entrer dans une église pendant les 40 jours après l’accouchement.




    Les coutumes au Mexique


    Encore une fois, lors de l’accouchement, la future mère doit faire preuve de courage. Si elle se plaint, son entourage se moque d’elle au lieu de compatir.
    Si les contractions sont trop faibles, les Mexicaines font avaler un œuf cru à la femme qui accouche . Cette dernière est écœurée et les haut-le-cœur provoquent alors des contractions.
    Après la naissance, la jeune mère et son bébé sont très vulnérables à l’influence des esprits de la forêt. Les portes doivent donc rester fermées.
    Lorsque le nouveau-né est une fille, les femmes lui percent les oreilles avant la première heure de vie . Elle porte ses premières boucles d’oreilles trois jours après.
    La mère reste enfermée avec son bébé pendant une semaine et reçoit très peu de visites.






    Les coutumes au Brésil


    Lors de l’accouchement, c’est en général la grand-mère qui coupe le cordon avec un éclat de bambou.
    Pour éloigner le mauvais œil, les Brésiliens font appel à un guérisseur, surtout si l’enfant souffre de diarrhées. Il récite des prières trois fois par jour et maintient au dessus de l’enfant des herbes magiques.



    Source : Femmeactuelle.fr

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    • #3
      c'est marrant ça, en ALgerie j'ai toujours vu un coran dans le couffin du bébé, et jamais de couteau...:22:
      D'ailleurs c'etait le cas pour ma fille!
      Fière d'être algérienne...

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      • #4
        Ecoute moi j'en ai aucune idée, ça devait être à l'époque ou c'est peut être le boulot de la journaliste qui a été mal fait...

        Mais le couteau dans le berceau je sais qu'une de mes belles sœurs en Algérie l'a fait, ça m'a même un peu choquée de voir ça, bien sur le couteau est dans un torchon et elle l'a placée sous le matelas mais elle l'a fait, c'est sa belle mère qui lui a dit de le faire, ça doit dépendre des endroits...

        Puis ce sont des rites et des coutumes et Dieu sait à quel point tout ça est en train de disparaitre...

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        • #5
          Comme partout au Maghreb, le nouveau-né est accueilli par des "youyous" et bien souvent, un mouton est sacrifié pour célébrer l'évènement.
          Dans la région de Kabylie (Est de l’Algérie), après la naissance du bébé, le placenta est enterré sous un figuier. Une autre coutume veut que l'enfant soit lavé avec de l’huile mélangée à du sel trois soirs de suite… pour que le nouveau-né sente toujours bon.
          Après l’accouchement, certaines familles gardent le cordon ombilical. La mère le montre à son enfant lorsqu'il a 7 ans pour qu’il se souvienne de son enfance.
          Pour protéger le bébé des mauvais génies, un couteau est placé dans le lit de l’enfant . Et pour détourner le mauvais œil, les yeux du bébé sont entourés d’un trait de khôl noir .
          Toujours pour éloigner les esprits malins, la mère noue à l’enfant deux fils de laine noir et blanc au poignet et à la cheville gauche, sept jours après sa naissance.
          je connaissais l'huile,le khol,apres le reste?????????et l'tamina?
          on fait avec..........

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          • #6
            Moi je connais rien, mais allez dites nous un peu

            Ce que vous avez fait ou pas fait

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            • #7
              le placenta est enterré sous un figuier.
              je connaissais le p'tit bout de zigounette apres la circoncision
              on fait avec..........

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              • #8
                Momo t'es chiante

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                • #9
                  ben quoi!ci vrai!
                  on fait avec..........

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                  • #10
                    Bah wé c'est vrai que t'es chiante d'abord, tu râle, tu contredis, tu me zuzule

                    Commentaire


                    • #11
                      Suite

                      En Alsace (France)

                      En Alsace (France), tout comme les légendes, existent des coutumes liées aux préparatifs de la parturition (l’accouchement), ou le rituel magico-religieux entourant la naissance.
                      D’après les aïeux, la période de l’accouchement est l’un des instants où la mère et l’enfant sont les plus vulnérables. Ils sont des proies faciles et convoitées des forces maléfiques. Les croyances populaires prenaient alors place pour protéger ces deux êtres.
                      La maison de la future parturiente était l’objet de tous les systèmes de protection contre le malin. On traçait à la craie, ou au charbon, un cercle autour de la chambre de l’accouchée ou de son lit. On pouvait aussi utiliser un long couteau afin de décrire des cercles magiques de vie autour de l’accouchée. Le métal du couteau permettait de mettre en échec les démons. Il arrivait aussi que le père ou la sage-femme dessine le Drudenfuss (pentagramme ou étoile à cinq branches) sur la porte d’entrée ou sur le linteau de la cheminée.
                      Cette pratique avait pour but d’éloigner le malin, mais d’autres rites animaient d’autres objectifs, comme la reconnaissance du père vis-à-vis de l’enfant. Cette importance de la reconnaissance vient de l’antiquité romaine. Ainsi, une légende celtique racontait même que le père qui doutait de sa paternité, posait le bébé sur un bouclier déposé sur le Rhin. Si l’enfant était légitime, le bouclier devait flotter, sinon… les flots s’occupaient de l’enfant illégitime.
                      Cet acte se déroulait juste après la naissance. Généralement, la sage-femme, après l’accouchement, posait le nourrisson par terre ; le père devait alors le ramasser et le remettre à la sage-femme afin qu’elle puisse le nettoyer et l’emmailloter dans un linge, faisant ainsi acte de reconnaissance.




                      Vietnam

                      Au Vietnam, une coutume prévoit que très tôt, à la naissance, le bébé reçoit au poignet, un fil en général tressé. On utilise le même fil de couture qui sert à assembler les pièces de tissu pour confectionner un vêtement. Ce qui le distingue de la ficelle pour empaqueter par exemple.

                      Ce symbole d’attachement a plusieurs significations dans une région où la mortalité infantile est grande. Il est important, en effet, qu’à la naissance le fil attache l’esprit et le corps en une seule entité pour démarrer une existence. En général, on considère l’esprit comme le fait d’une réincarnation qui trouve sa forme, sa formalisation, dans le corps bâti à partir du corps de la mère au long de la grossesse. Le nouveau-né à sa naissance est âgé d’un an. La vie commence dès la conception dans le mental (l’imaginaire et le symbolique) des parents. Cette vie devient existence déclarée quand la grossesse devient visible (être grosse). C’est la notion de viabilité qui se distingue de celle de la vitalité. Un certain nombre de femmes asiatiques ne s’inscrivent à une maternité qu’à partir du moment où « cela » apparaît visible (ou vivable=nausées), pas au moment où un test de pharmacie lui déclare l’état.

                      C’est un acte de naissance et de reconnaissance symbolique que les parents accordent au nouveau-né. Le fil remplit une fonction de lier ce que nous nommons l’enfant réel et l’enfant imaginaire, par rapport à l’enfant enfin là comme le symbole représentable de la perpétuation d’une filiation. Dans la religion bouddhique, l’esprit prend source incontestablement dans le karma informe des générations précédentes qui le lui lèguent comme l’héritier méritoire. Le nourrisson en bonne santé, sans handicap, témoigne d’un bon karma grâce aux réalisations éthiques des générations anciennes.




                      Guyane

                      Chez les Wayapi de Guyane, voici une coutume qui va plaire à de nombreux futurs papas !
                      Le père reste immobile dans son hamac pendant les trois jours qui suivent la naissance de son enfant, afin d’attirer l’attention des esprits maléfiques qui se détourneront ainsi du nouveau-né.



                      Inde
                      Dans certaines régions d’Inde, les parents barbouillent de charbon ou de cendres le front des nouveau-nés car le noir repousse le mauvais œil et effraie les esprits malfaisants. Dans de nombreuses cultures, les bébés portent des amulettes, des bracelets ou d’autres liens qui sont censés les retenir ici-bas.



                      Australie
                      Autre exemple, un rite Aborigène d’Australie consiste à purifier les poumons et la tête des nouveau-nés par la fumée : la grand-mère du bébé le fait passer au-dessus d'un feu composé de marrons d'Inde.

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                      • #12
                        tu me zuzule
                        c'est quoi zuzuler?
                        on fait avec..........

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                        • #13
                          tu m'emmerde mais c'est plus polie zuzuler,

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                          • #14
                            Ma mère mettait le coran sous nos matelas mais je sais que certaines familles mettent un couteau

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                            • #15
                              ok!ok!................j'te zuzulerai pas longtemps!
                              on fait avec..........

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