L’étoile m’a dit, la gardienne de tes nuits
Que tu seras mon amie, et j’haïrai tes ennemis
Je te déclare ma flamme, non pas la sauvage
Mais celle paisible, l’amour des sages
Celui que des gens disent ‘Bizarre !’
Qui touche des fonds si pures et si rares
Une larme de tes yeux est un havre de paix
J’ai voulu m’en assurer, qu’en disent les fées ?
Elles ne disent de toi que le meilleur et le bon
Elles te saluent déesse, elles glorifient ton nom
En caressant le printemps, je demande à la plante
Cites moi ton nom et narres moi ton contes.
‘Ton amie mon cher est généreuse comme tout.
Soit pour elle le frère qui façonne son pouls’.
Et toi l’innocence ! Qu’en dis-tu ? Ce que tu penses ?
Et vous, vertu, humour et intelligence ?
Et soudain la vie me révèle la vanité
Au moment où je prie, elle me raconte ta vérité
Elle ma dit :
Le coeur innocent d'une fille de bas âge
Palpitant la et la, tel un papillon éphémère
Il brise toute chaîne et disloque toute cage
Il est né libre et il ne mourra que berber
" Amie sincère, de peur ou de rage
Gardes ton coeur sans jamais le taire
Trouves-toi une île, trouves-toi une plage
Au beaux motifs et aux doux rivages"
Souffle gai qui troque ta vie
Amer peut-être mais qui passe sans peine
Baisotant ton visage qui d’amour il rie
Ruisselant de lumière douce sans haine
Imagent ce fruit qu’est le bleu de tes yeux
Naissant par magie d’une sainte saine
Allumant par magie le plus doux des feux
Même sans couronne, tu es la plus belle des reines
Tu sèmes d'un geste une poignée d'harmonie
Car ton âme est une fresque ou tu chantes et tu ris
Car ton esprit capricieux est plus beau que les roses
Qui bercent les collines et les rêves moroses.
Chatoyant le soleil, chuchotant au étoiles
" Voyez, j'existe! Voila, je me dévoile.
Je suis le sabre et mon nom est patience
En arabe ou en latin, prenez garde méfiance
Soyez généreuses étoiles je vous somme
Gardez un oeil sur les êtres et sur les hommes
Ma nature est ainsi faite, je n'aime point la souffrance
Soyez légères, et suivez ma cadence
Que tu seras mon amie, et j’haïrai tes ennemis
Je te déclare ma flamme, non pas la sauvage
Mais celle paisible, l’amour des sages
Celui que des gens disent ‘Bizarre !’
Qui touche des fonds si pures et si rares
Une larme de tes yeux est un havre de paix
J’ai voulu m’en assurer, qu’en disent les fées ?
Elles ne disent de toi que le meilleur et le bon
Elles te saluent déesse, elles glorifient ton nom
En caressant le printemps, je demande à la plante
Cites moi ton nom et narres moi ton contes.
‘Ton amie mon cher est généreuse comme tout.
Soit pour elle le frère qui façonne son pouls’.
Et toi l’innocence ! Qu’en dis-tu ? Ce que tu penses ?
Et vous, vertu, humour et intelligence ?
Et soudain la vie me révèle la vanité
Au moment où je prie, elle me raconte ta vérité
Elle ma dit :
Le coeur innocent d'une fille de bas âge
Palpitant la et la, tel un papillon éphémère
Il brise toute chaîne et disloque toute cage
Il est né libre et il ne mourra que berber
" Amie sincère, de peur ou de rage
Gardes ton coeur sans jamais le taire
Trouves-toi une île, trouves-toi une plage
Au beaux motifs et aux doux rivages"
Souffle gai qui troque ta vie
Amer peut-être mais qui passe sans peine
Baisotant ton visage qui d’amour il rie
Ruisselant de lumière douce sans haine
Imagent ce fruit qu’est le bleu de tes yeux
Naissant par magie d’une sainte saine
Allumant par magie le plus doux des feux
Même sans couronne, tu es la plus belle des reines
Tu sèmes d'un geste une poignée d'harmonie
Car ton âme est une fresque ou tu chantes et tu ris
Car ton esprit capricieux est plus beau que les roses
Qui bercent les collines et les rêves moroses.
Chatoyant le soleil, chuchotant au étoiles
" Voyez, j'existe! Voila, je me dévoile.
Je suis le sabre et mon nom est patience
En arabe ou en latin, prenez garde méfiance
Soyez généreuses étoiles je vous somme
Gardez un oeil sur les êtres et sur les hommes
Ma nature est ainsi faite, je n'aime point la souffrance
Soyez légères, et suivez ma cadence
je dedis ce message, a la seule amie que j'ai jamais eu, et qui n'a pas su me comprendre....
Commentaire