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Le marché hypothécaire est à développer en Algérie, il représente 1% du PIB alors qu’il représente entre 25 et 30% du PIB, en Europe, et 50%, aux USA, a indiqué mardi à Alger, le président de Strategica, Lachemi Siagh.
Outre ce type de marché qu’on considère comme pilier du marché financier, a-t-on noté, ce dernier se compose également de l’emprunt obligataire et de la bourse.
«La bourse qui, dans les pays développés, est le reflet de l’économie représente entre 15 et 20% des transactions financières et le reste se fait par les obligations financières,en Algérie, par contre, il reste beaucoup à faire dans ce domaine»,a souligné Lachemi Siagh lors des travaux d’atelier autour des finances organisés par Strategica, à l’occasion de la tenue du Salon international de la finance et Finance Tec 2006 qui se déroulent au palais des Expositions, Pins Maritimes, du 15 au 18 du mois courant. Plusieurs thèmes ont été débattus lors de cette journée, dont le financement du marché obligataire local présenté par le vice-président d’Investment bank-note et corporate finance, Strategica, Liès Kerrar. «Se financer sur le marché obligataire local est un avantage, car le risque de change et celui du taux est nul, contrairement aux financements extérieurs», a-t-il dit.
Il convient de rappeler que 130 milliards de dinars ont été levés depuis 2004 par les entreprises nationales lors d’émissions d’emprunts obligataires, la dernière opération étant celle du groupe Sonelgaz qui a collecté, récemment, environ 12 milliards de dinars en une journée. Une collecte de fonds doit prochainement atteindre le seuil de 2 milliards de dollars (150 milliards de dinars). A noter que plusieurs émissions d’emprunts obligataires ont été réalisées par SHR, Sonatrach, Air Algérie, Sonelgaz, Entp, Enafor, Algérie Télécom et Cevital.
Toute entreprise souhaitant ce type d’emprunts doit être, selon les conditions légales, une société par actions (SPA) depuis deux ans et comptabilisant deux bilans approuvés. A ces conditions, s’ajoutent le plan d’affaires cohérent, la bonne capacité de remboursement et la viabilité de l’information financière. Selon le vice-président d’Investment bank-note et corporate finance, Strategica, Liès Kerrar, le but de l’emprunt obligataire est de financer des investissements, de ce refinancer et d’améliorer le fonds de roulement. A signaler que le cas d’Enafor, qui a réalisé en 2005 un emprunt obligataire de 8 milliards de dinars, a été étudié lors de cette journée. Les Salons finance et Finance Tec 2006, organisés par l’allemand Fairtrade, accueillent 40 exposants venus de 8 pays (Algérie, Egypte, Etats-Unis d’Amérique, France, Inde, Koweït, Maroc et Tunisie). La 1re édition du Salon finance 2006 est un espace permettant d’établir des relations professionnelles et de réaliser des affaires entre les banques et les compagnies d’assurance algériennes et internationales de premier plan avec des intermédiaires financiers supérieures, des cadres financiers d’entreprise et des investisseurs privés. Ce Salon présente pour les entreprises algériennes un éventail diversifié de produits financiers de toute dernière génération. Parmi les exposants présents à cette manifestation, figurent les assurances 2A, Algérie Alliance assurance, la Compagnie algérienne d’assurance et de réassurance (Caar), Trust bank Algeria et Western Union. S’adressant à l’industrie algérienne des services financiers, le Finance Tec 2006 constitue, quant à lui, un Salon spécialisé comportant un vaste choix de solutions Tic destinées à l’industrie financière. Parmi les participants, on en dénombre Afrique Télécom, Aibm, ATS, Algérie Télécom satellite, Delta informatique et Viveo.
La nouvelle republique
Outre ce type de marché qu’on considère comme pilier du marché financier, a-t-on noté, ce dernier se compose également de l’emprunt obligataire et de la bourse.
«La bourse qui, dans les pays développés, est le reflet de l’économie représente entre 15 et 20% des transactions financières et le reste se fait par les obligations financières,en Algérie, par contre, il reste beaucoup à faire dans ce domaine»,a souligné Lachemi Siagh lors des travaux d’atelier autour des finances organisés par Strategica, à l’occasion de la tenue du Salon international de la finance et Finance Tec 2006 qui se déroulent au palais des Expositions, Pins Maritimes, du 15 au 18 du mois courant. Plusieurs thèmes ont été débattus lors de cette journée, dont le financement du marché obligataire local présenté par le vice-président d’Investment bank-note et corporate finance, Strategica, Liès Kerrar. «Se financer sur le marché obligataire local est un avantage, car le risque de change et celui du taux est nul, contrairement aux financements extérieurs», a-t-il dit.
Il convient de rappeler que 130 milliards de dinars ont été levés depuis 2004 par les entreprises nationales lors d’émissions d’emprunts obligataires, la dernière opération étant celle du groupe Sonelgaz qui a collecté, récemment, environ 12 milliards de dinars en une journée. Une collecte de fonds doit prochainement atteindre le seuil de 2 milliards de dollars (150 milliards de dinars). A noter que plusieurs émissions d’emprunts obligataires ont été réalisées par SHR, Sonatrach, Air Algérie, Sonelgaz, Entp, Enafor, Algérie Télécom et Cevital.
Toute entreprise souhaitant ce type d’emprunts doit être, selon les conditions légales, une société par actions (SPA) depuis deux ans et comptabilisant deux bilans approuvés. A ces conditions, s’ajoutent le plan d’affaires cohérent, la bonne capacité de remboursement et la viabilité de l’information financière. Selon le vice-président d’Investment bank-note et corporate finance, Strategica, Liès Kerrar, le but de l’emprunt obligataire est de financer des investissements, de ce refinancer et d’améliorer le fonds de roulement. A signaler que le cas d’Enafor, qui a réalisé en 2005 un emprunt obligataire de 8 milliards de dinars, a été étudié lors de cette journée. Les Salons finance et Finance Tec 2006, organisés par l’allemand Fairtrade, accueillent 40 exposants venus de 8 pays (Algérie, Egypte, Etats-Unis d’Amérique, France, Inde, Koweït, Maroc et Tunisie). La 1re édition du Salon finance 2006 est un espace permettant d’établir des relations professionnelles et de réaliser des affaires entre les banques et les compagnies d’assurance algériennes et internationales de premier plan avec des intermédiaires financiers supérieures, des cadres financiers d’entreprise et des investisseurs privés. Ce Salon présente pour les entreprises algériennes un éventail diversifié de produits financiers de toute dernière génération. Parmi les exposants présents à cette manifestation, figurent les assurances 2A, Algérie Alliance assurance, la Compagnie algérienne d’assurance et de réassurance (Caar), Trust bank Algeria et Western Union. S’adressant à l’industrie algérienne des services financiers, le Finance Tec 2006 constitue, quant à lui, un Salon spécialisé comportant un vaste choix de solutions Tic destinées à l’industrie financière. Parmi les participants, on en dénombre Afrique Télécom, Aibm, ATS, Algérie Télécom satellite, Delta informatique et Viveo.
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