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L'écriture de la langue Kabyle/Berbere(s).

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  • #16
    ah ouais akli

    Pour revenir sur le sujet et pour te rafraichir la mémoire tu sait qui est le père de la sociologie moderne , d'ou il vient , et en quelle langue il s'est exprimé.

    Encore la faute des kabyles
    Si ETTARGUI n'est pas tergui c'est a se demander si Akli est un kabyle .

    Qui est Qui dans ces histoires ?

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    • #17
      aux gens qui sont rebutés par tout ce qui touche à la cuture berbere je tiens à dire ceci :

      l'Alphabet, peu importe qui il est et d'où il viens, c'est un vehicule, un vehicule linguistique pour traduire et articuler des sons et des idées
      c'est rien de plus

      l'alphabet latin n'est pas si latin que ça, il est le fruit d'une invention commencé sur les bords de plage pheniciens, l'alphabet moderne europeen est une traduction de l'alphabet phenicien, cet alphabet a été transmis aux grecs, et les grecs l'ont transmis au reste de l'europe

      on sait que par ricochet les pheniciens ont une certaines parenté avec les kabyles et les berberes donc on est pas en territoire inconnus, on peut même dire que les berberes par leur branche phenicienne sont les inventeur de l'alphabet moderne

      les symboles tifignagh sont des caracteres magiques et destinés à traduire la pensée de certains erudits, il a été democratisé notamment par les rois berberes pour laisser leur noms sur les steles et les tombeaux royaux

      en quoi l'arabe est-il superieur aux autres langues ? arabe ou israelien derivent de la même racine cananéenne, peuple ancien de la phenicie, donc on se bat pour rien vu que tous les alphabets de notre coin trouvent leur origine au liban

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      • #18
        ETTARGUI,

        Ecoute, la diffusion du savoir phenicien s'est fait chez les berberes de façon progressive, il n'a pas sauté de carthage à tamanrasset :

        http://sd606.sivit.org/asays/article...id_article=323

        tu verra que le lybique etait ecrit partout en afrique du nord, mais plus entre l'algérie et la tunisie (pas de touareg la bas).

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        • #19
          Scribitur ad narrandum, non ad probandum.

          - on ecrit pour raconter, non pour prouver -. Quintillien
          Le temps est comme la cascade. Tu ne l'empecheras pas de couler mais tu peux t'y tremper pour en jouir et pour y boire a ta sante. Proverbe aquaphile.

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          • #20
            en europe, le syrillique, le grec etc... on disparu au profit de l'alphabet latin, les perses ont aussi abandonné leurs ecriture antique au profit de l'arabe, Le pakistan a adopté l'alphabet arabe les exemples ne maquent pas.
            Pourquoi abandonné une ecriture ou un système de communication au profit d'un autre, beh parceque tout simplement l'autre système est meilleur que le tifinagh. meme les chinois ont abandonné leur boulier au profit des chiffres arabes.
            Quand a prendre comme exemple l'ecriture hebreux, cela n'a rien a voir avec les berberes, pratiquement tous les juifs connaissent l'ecriture latine et l'arabe, et surtout ils ont une autre histoire que celle des bèrbères.

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            • #21
              C'est un document rupestre qui devait mettre en garde les spécialistes sur une plus grande antiquité possible du libyque. A Azib n'Ikkis, dans le Yagour (Haut Atlas marocain) se trouve une gravure représentant un cartouche anthropomorphe dans lequel s'inscrivent quinze à seize caractères libyques (Hachid M. 1992, t. 2, fig. 257). Le contexte iconographique de cette gravure, notamment un grand nombre d'armes métalliques, faisait remonter l'ensemble à l'âge du Bronze. Se basant sur le contexte archéologique, Gabriel Camps en déduisit que cette inscription pouvait être bien antérieure aux VIIe-Ve siècles avant notre ère (Camps G. 1996).
              Signalons que, depuis, cette inscription a été gravement détériorée par une main vandale qui a, en quelques minutes, détruit un document archéologique fondamental et des millénaires d'histoire. Nous devrions, chercheurs maghrébins que nous sommes, avec les spécialistes et les autorités responsables du patrimoine, contribuer à protéger ces précieux témoins.

              .........
              Au Sahara central, plus exactement à Djerma, au Fezzan, les fouilles ont révélé des amphores gravées de caractères d'écriture datés du Ie siècle de notre ère. A Bu Njem, en Tripolitaine, on possède les preuves archéologiques que les Garamantes possédaient un alphabet particulier au IIe siècle de notre ère. On sait par le mausolée du personnage dit de "Tin Hinan", à Abalessa (Ahaggar), où des blocs ayant servi à la construction portaient des inscriptions interrompues par leur débitage, que les tifinagh récents peuvent remonter au moins au Ve siècle de notre ère, date à laquelle fut érigé cet important édifice funéraire.
              Cela donne donc aux tifinagh anciens une plus grande ancienneté que celle qu'on leur prêtait au départ et les fait très vraisemblablement contemporains des autres "écritures libyques du nord" (Gabriel Camps).

              Les Touaregs attribuent l'invention de leur écriture à un héros fondateur, Amamellen (qui signifie "celui qui possède la clarté") ou Aniguran (se traduisant par "proverbe ou énigme, étant compris"), héros fondateur de la culture touarègue. Il s'agit de ces nombreux tifinagh qui "marquent le moindre relief du Sahara et qui commencent par: nek, c'est-à-dire par les lettres I = ien et :- = iek, qui veulent dire "Moi, un tel...". Les Touaregs arrivent à en épeler la plupart des caractères quoiqu'ils n'en comprennent pas toujours le sens et que quelques-uns des signes aient aujourd'hui disparu. Ces tifinagh, bien sûr, annoncent les tifinagh récents en usage aujourd'hui, et qui commencent par le traditionnel: awa nek (c'est moi un tel...).

              .....
              Le terme "tifinagh" est le pluriel de tafinek (dans le système phonologique du berbère, gh et q sont les allophones d'un même phonème). Il pouvait signifier "les phéniciennes ou les puniques" (Punica): c'est sur cette base étymologique que l'on a admis que l'alphabet libyque s'était inspiré en partie ou en totalité du système d'écriture punique, d'autant que, on le sait, six de ses lettres ont une forme tout à fait similaire à ce dernier. Cet argument étymologique pour prouver l'origine punique du libyque est loin d'être convaincant et a très bien été réfuté par Gabriel Camps qui rappelle que "[...] les chiffres arabes sont persans et les figues de Barbarie, américaines"!
              .......
              Nous avons remarqué que, parfois, procédé volontaire de la part de ces peintres, les inscriptions viennent en dernier lieu comme pour "signer" ou référencier la peinture réalisée. Sur la roue de Brooklyn étudiée par Jean Spruytte et datant du Ve siècle avant J. -C., il y a des marques de repérage reproduisant le signe X, une lettre libyque. Quant à l'inscription d'Ekaden Ouacharène, elle est associée à un quadrige très particulier, un magnifique galop cabré de quatre chevaux, quadrige tout à fait comparable aux chars d'apparat des scènes de triomphe ou de mythologie de l'art grec des VIe et Ve siècles avant J. -C. En outre, cette inscription constitue une preuve des contacts qui existèrent entre les Paléoberbères du Sahara central et la Grèce classique.
              ......
              Au Sahara central, nous avons pu constater que (à ce jour) aucune inscription n'accompagne les peintures des Libyens sahariens. Les premiers caractères apparaissent avec ceux qui leur font immédiatement suite, les Paléoberbères Garamantes. Nous avons vu que ces derniers se mettent en place après 1500 ans avant J.-C. et avant l000 ans avant J.-C. C'est donc dans ce laps de temps, de moins de 500 ans, qu'il faut rapporter l'apparition du libyque, c'est-à-dire dans la seconde moitié du IIe millénaire avant J.-C.

              L'alphabet phénicien a vu le jour entre 1300 et l200 avant. J.-C. Le document le plus ancien que l'on connaisse est l'inscription sur le sarcophage du roi Ahiram à Byblos daté entre 1100 et 1000 avant J.-C. C'est exactement la période à laquelle le libyque a pu se mettre en place. Par conséquent, la relative contemporanéité de ces deux écritures ne permet pas d'envisager que le libyque soit issu du phénicien et encore moins du punique.
              Peut-on savoir à quel moment s'accomplit la mutation du libyque saharien en tifinagh anciens, forme plus récente? On sait qu'au Tassili ces derniers apparaissent avant le dromadaire, mais il est pour l'instant difficile d'établir à quel moment précis cet animal est arrivé au Sahara. Toutefois, sachant d'une part, que le dromadaire est repérable dans le dernier siècle avant notre ère, qu'il abonde dans la partie orientale de l'Afrique romaine dès les premiers siècles de notre ère et, d'autre part, que les inscriptions du mausolée d'Abalessa (Ahaggar) au Ve siècle de notre ère sont déjà des tifinagh récentes, logiquement les tifinagh anciennes ne peuvent qu'être apparus au cours du dernier millénaire avant J.-C., avant le dernier siècle (au moins).
              L'écriture libyque, après une longue gestation à travers l'art géométrique, est très vraisemblablement apparue vers 1300/1200 avant J.-C. Il y en eut assez vite plusieurs formes, du nord au sud, d'est en ouest de cette immense Berbérie. Les tifinagh anciens sont forcément en place avant le Ie siècle avant J.-C. et se transforment en tifinagh récents. Les tifinagh récents remontent au moins au Ve siècle de notre ère, date du mausolée d'Abalessa. Les tifinagh anciens ont donc, au minimum, six siècles d'âge et les écritures libyques ont pu durer plus de 1000 ans.



              Extraits de : Les Premiers Berbères. Entre Méditerranée, Tassili et Nil. Ina-Yas. Edisud 2001
              Les libertés ne se donnent pas, elles se prennent

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              • #22
                1300 textes libyques répertoriés

                On évalue aujourd'hui à plus de 1300 textes, le nombre d'inscriptions libyques connues jusqu'à présent au Maghreb. On entend par " écriture Libyque " celle datée de la période préislamique. D'autres textes plus nombreux et plus récents sont connus au Sahara. Ils présentent un aspect différent mais qu'on considère généralement comme étant dérivé du Libyque antique. Ce sont les inscriptions en tifinagh encore utilisées de nos jours par les Touaregs. L'espace géographique couvert par ces inscriptions s'étend sur l'ensemble du territoire des peuples Tmazighen, des îles Canaries jusqu'en Libye et de la Méditerranée jusqu'au Niger. Les inscriptions libyques se répartissent sur le Maroc, l'Algérie, la Tunisie, et la Libye avec une densité et une chronologie variables. C'est l'ancien royaume des rois numides (nord-ouest tunisien et algérien) qui a fourni le plus grand nombre d'inscriptions, d'où le qualificatif " numidique " attribué à cette écriture au départ. C'est aussi cette région, et plus particulièrement le fabuleux site de Dougga, qui a donné des inscriptions bilingues (Libyquo-punique) ayant permis de déchiffrer quelques textes officiels. Cela dit, l'exploration est loin d'être achevée car de nouvelles découvertes ne cessent d'augmenter le nombre d'inscriptions dans le reste du Maghreb et d'élargir l'espace de leur diffusion. Les nouvelles découvertes effectuées récemment au Maroc le prouvent.
                ......
                Les chercheurs qui se sont penchés sur l'art rupestre marocain ont essayé d'établir une chronologie qui rend compte des grandes périodes reconnues par des thèmes ou des styles particuliers. Cependant, les problèmes de datation demeurent entièrement posés en raison de l'extrême rareté d'éléments fiables. Cependant, une chronologie relative peut-être établie en se basant sur :
                * Les espèces animales et les objets représentés (le rhinocéros a disparu depuis le dessèchement du Sahara : les armes métalliques remontent à l'âge des métaux) ;
                * La patine de la gravure : un trait foncé est souvent plus ancien qu'un trait clair ;
                * La superposition des gravures témoignant d'une succession dans le temps ;
                * Le style (style Tazina caractérisé par un trait poli profond, des membres effilés et se rejoignant: style libyco-berbère caractérisé par le piquetage, l'absence du contour, la prépondérance du symbole, la stylisation des figures, etc.)

                Ce patrimoine rupestre très riche au Maghreb représente des scènes inspirées de la vie quotidienne ou bien des croyances des anciens Imazighen. Une façon de perpétuer le message et de le transmettre... Sans parole !...

                Extrait de L'ESSENTIEL-février 2002 d'Ahmed Siraj professeur d'histoire et d'archéologie[/B]
                Les libertés ne se donnent pas, elles se prennent

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                • #23
                  Les premières traces d’une écriture correspondante à la langue Tamazight ont été trouvées par les archéologues. Les textes dont nous disposons expriment le bilinguisme des Imazighn.Bien qu’écrits en Tamazight la transcription S’est doublée de l’écriture des dominants : le punique et le latin. Il s’agit des inscriptions bilingues libyco – puniques et libyco latines sur des rupestres et des stèles. Ces textes ont conservé des ethniques, des anthroponymes et des toponymes. L’écriture « libyque » fut découverte pour la première fois en 1631 sur une inscription bilingue libyco – punique à yhugga ( Dougga, Tunisie actuelle) datant de 200 ans av. J. – C.

                  Des trouvailles de gravures rupestres aux Iles Canaries , à Malte, à Constantine, à lfighia ( Algérie) et à lixus ( Maroc) viennent d’élargir le champ d’investigations.

                  C’est surtout depuis la colonisation que les linguistes et philologues se sont intéressés au tamazight. les recherches se faisaient en général en vue de leurs propres intérêts : mieux administrer et mieux « gouverner ». C’est ainsi que nous disposons de textes en tamazight , en tachelhit , élaborés en français, et des textes en espagnol de tarifit, alors que les études sur la langue libyque ont été inaugurées par des italiens. Néanmoins d’autres chercheurs se sont intéressés à la langue tamazight : des Allemands ( H. Stumme , A. Williems , par ex.). des suisses , des danois ( K. prasse par ex.). des Anglais , des Hollandais , des Russes , des Américains ( Applegate – Haries par ex…)

                  Centres de recherche et d’enseignement deTamazight. Cours de langue et civilisation berbères

                  France :
                  - Institut National des langues et Civilisation orientales ( Inalco – 2 rue de lille, 75007 Paris)

                  - Ecole Pratique des Hautes Etudes, Section IV ( 45 rue des Ecoles, 7500 Paris)

                  - Ecole Pratique des Hautes Etudes , Section V ( 44 rue de la Tour, 75015 Paris)

                  - Université Paris III – Sorbonne Nouvelle ( Centre Censier, 13 rue Santeuil, 78005 Paris)

                  - Université Paris VII – Group d’Etudes berbères, Agraw Imazighen ( 2 rue de la liberté, 93526 Saint – Denis Cedex 02).

                  - Atellier du Pressoir ( 37 bis rue des Marro – onites, 75020 Paris)

                  - Lycée J. Mace ( rue Jules Ferry, 94200 lvry) .

                  - Lycée Mixte d’etat ( 105 rue de Bremont ; 93130 Noisy – le – Sec)

                  - Bibliothèque Municipal ( 10 Place de la République, 93400 Mairie de St – ouen)

                  - Office Municipal pour Migrans de Créteil ( 5 bis rue Félix – Maire, 940000 Créteil).

                  - C. M.A.youri Gagarine ( Centre Comercial des Mordacks ; 94500 Champigny – sur- Marne).

                  - Cours de Tamazight, CLAP ( 2 Place jean jaurès, Saint – Etienne).

                  - CIMADE ( 2 rue Diderot, Lyon 1er )

                  - Université de provence, laboratoire d’Anthropologie et de préhstoire des pays de la Méditerranée occidentale ( C.N.R.S.) , Aix en – provence / publie actuellement une « Encycycopédie Berbère » (12 tomes parus) sur la recommandation du Conseil international de la philosophie et des Sciences Humaines (UNESCD).


                  Belgique :

                  - Bruxelles : Tribal life Fund.

                  Italie :
                  - Rome : Université.

                  - Nples : Université.

                  Malte:
                  - Royal University of Malte.

                  Grande – Bretagne :
                  - Londres : School for Oriental languages.

                  - Cambridge : University.

                  - Leeds : University.

                  Nederland :
                  - Groningen : Instituut Voor Oosterne Talen.

                  - Utrecht : Instituut Voor Oosterne Talen.

                  Danemark :
                  - Kopenhague : University ( K. presse).
                  Suisse :
                  - Genève : Université.

                  - Freibourg : Université.

                  Russie :
                  - Moscou : Université.
                  Tchécoslovaquie :
                  - Prague : Université.
                  Etats – Unis :
                  - Ann Arbor University ( Michigan).

                  - Howard university ( Washington).

                  - University of California ( los Angeles).

                  - University of Wisconsin ( Madison).

                  Canada :
                  - Carleton University.

                  - Ottawa University.

                  Japon :
                  - Tokyo : Institute for the Study of languages and Cultures of Asia and Africa.
                  Les libertés ne se donnent pas, elles se prennent

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                  • #24
                    Akli

                    Effectivement je crois que j'ai mis un 0 de trop je corrige
                    Les libertés ne se donnent pas, elles se prennent

                    Commentaire


                    • #25
                      le tamazirt est enseigné partout sauf dans son pays, les rois berberes s'en retourneraient dans leur tombe eux qui ont fondé l'algerie
                      tout ça c'est la faute des presidents algeriens qui n'avaient rien trouvés de mieux à faire qu'à pratiquer un denie culturel monstrueux !

                      Commentaire


                      • #26
                        l'algérie n'existait pas au temps des rois berbères! svp soyez plus rigoureux dans vos affirmations historiques!
                        Toujours ouverts, toujours veillants les yeux de mon âme.

                        Dionysios Solomos

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                        • #27
                          Ce n'est pas totalement faux, mais ça dépend des historiens. Certains disent que du temps de la Numidie l'Algérie n'existait pas et d'autres qu'elle existait mais pas sous sa forme actuelle.

                          Commentaire


                          • #28
                            Amarimaa

                            J'ai cité mes sources et les noms des archéologues et historiens sont clairement mentionnés si tu es plus compétente qu'eux, tu peux aussi faire une thèse que je consulterais volontiers
                            Les libertés ne se donnent pas, elles se prennent

                            Commentaire


                            • #29
                              @targui

                              Cet aspect historique impose quelques questions notamment:
                              1. La kabylie est une région méditérrannéenne, où plusieurs civilisations se sont développées, et en dépit des invasions et du contact avec d'autres peuples, les kabyles sont restés insensible à ce qui se passe autour d'eux et ont continué à vivre comme ils ont vécu tout le temps.
                              Comment peut-on expliquer cette attitude et ce rejet de développement ?
                              Pour prendre quoi que ce soit de l’autre il faut commencer par accepter ça présence ... A mon avis si les Kabyles sont restés insensibles _ le terme est relatif_ a ce qui les entourait c’est qu’ils ne se sont jamais résignés a la présence de quelque envahisseur que ce soit … et les ont de tout temps combattu !
                              c'est tout a fait légitime non?

                              Commentaire


                              • #30
                                ce que je ne comprend pas, c'est qu'on essai de regrouper l'histoire Bebère de l'afrique du Nord en les tributs Kabyles, alors que ces derniers ne représente pas toute la fraction berbère. si vous voulez vraiment avancé il ne faut pas affirmer une chose et la nier en même temps. je dis aux apprentis bon courage

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