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Le match de cet après- midi face au DC Motema Pembe est placé sous le signe du prestige, que les joueurs de la JSK ne doivent surtout pas rater s’ils veulent quitter la compétition avec les honneurs.
Raison pour laquelle Saïb ne veut rien laisser au hasard malgré un effectif très amoindri. Si au match aller l’adversaire était inconnu des Kabyles, il ne l’est plus désormais. Si bien que pour Saïb et sa bande, le match doit être joué de telle sorte que la JSK en sorte victorieuse ou du moins décroche le point du nul. A ce propos, le coach kabyle considère que l’équipe se retrouve devant la nécessité d’engranger un résultat positif qui vaudra pour la satisfaction de mettre un terme à la spirale des défaites. Néanmoins, la partie ne s’annonce pas facile au stade des martyrs de Kinshasa, lorsque l’on sait que le DCMP veut aussi rentrer dans la course au dernier carré en disputant l’une des places qualificatives du groupe au MAS de Fès du Maroc et au Sunshine star du Nigeria. L’entraîneur canari surfe sur les capacités, la volonté et le courage de ses poulains pour faire la différence. Reste seulement à savoir dans les conditions de jeu (jeûne, chaleur, humidité, arbitrage) de cet après-midi si ces paramètres n’auront pas raison de ce courage et que la volonté suffira aux Canaris pour sortir indemnes de cette chaude empoignade.
Un succès pour remonter le moral
Tout le monde attend un sursaut d’orgueil des joueurs de la JSK dans un stade qui lui avait souri par le passé lorsque Mouloud Iboud avait brandi le premier trophée continental de l’histoire du club, reçu des mains de Mobutu alors président du Zaïre en disposant par 1-0 du Vita-club, grâce à un but de Fergani, en 1981. C’était le début de l’ère du Jumbo-Jet de Khalef-Zywtko, sous la présidence de feu Benkaci Boussad. Pour rappel, c’est là la 3e fois que la JSK joue dans ce stade des martyrs, après 1978 et 1981 face au Vita club. Ainsi donc, les Kabyles feront en sorte de suivre la voie tracée par Amara, Belahcène et autres Abdeslam qui sont revenus victorieux de leur déplacement au Zaire. Une victoire qui sera bonne pour le moral, même si les choses se présentent d’une délicatesse inouïe, d’autant que l’adversaire se présentera avec la ferme intention de les battre, comme il l’avait fait dans leur propre fief. Donc, la victoire est envisageable pour les Kabyles qui seront dos au mur ce samedi pour enfin remporter leur premier succès. Il faut dire que les échos qui nous sont parvenus de l’ex-Léopoldville sont très rassurants, surtout que les Kabyles n’ont pas eu la pression de la part des dirigeants de l’équipe hôte qui les ont mis dans de bonnes conditions d’hébergement au niveau de l’hôtel Berverley Logde, situé à 40 km de la capitale, loin de la pression des fans adverses.
El Watan
Raison pour laquelle Saïb ne veut rien laisser au hasard malgré un effectif très amoindri. Si au match aller l’adversaire était inconnu des Kabyles, il ne l’est plus désormais. Si bien que pour Saïb et sa bande, le match doit être joué de telle sorte que la JSK en sorte victorieuse ou du moins décroche le point du nul. A ce propos, le coach kabyle considère que l’équipe se retrouve devant la nécessité d’engranger un résultat positif qui vaudra pour la satisfaction de mettre un terme à la spirale des défaites. Néanmoins, la partie ne s’annonce pas facile au stade des martyrs de Kinshasa, lorsque l’on sait que le DCMP veut aussi rentrer dans la course au dernier carré en disputant l’une des places qualificatives du groupe au MAS de Fès du Maroc et au Sunshine star du Nigeria. L’entraîneur canari surfe sur les capacités, la volonté et le courage de ses poulains pour faire la différence. Reste seulement à savoir dans les conditions de jeu (jeûne, chaleur, humidité, arbitrage) de cet après-midi si ces paramètres n’auront pas raison de ce courage et que la volonté suffira aux Canaris pour sortir indemnes de cette chaude empoignade.
Un succès pour remonter le moral
Tout le monde attend un sursaut d’orgueil des joueurs de la JSK dans un stade qui lui avait souri par le passé lorsque Mouloud Iboud avait brandi le premier trophée continental de l’histoire du club, reçu des mains de Mobutu alors président du Zaïre en disposant par 1-0 du Vita-club, grâce à un but de Fergani, en 1981. C’était le début de l’ère du Jumbo-Jet de Khalef-Zywtko, sous la présidence de feu Benkaci Boussad. Pour rappel, c’est là la 3e fois que la JSK joue dans ce stade des martyrs, après 1978 et 1981 face au Vita club. Ainsi donc, les Kabyles feront en sorte de suivre la voie tracée par Amara, Belahcène et autres Abdeslam qui sont revenus victorieux de leur déplacement au Zaire. Une victoire qui sera bonne pour le moral, même si les choses se présentent d’une délicatesse inouïe, d’autant que l’adversaire se présentera avec la ferme intention de les battre, comme il l’avait fait dans leur propre fief. Donc, la victoire est envisageable pour les Kabyles qui seront dos au mur ce samedi pour enfin remporter leur premier succès. Il faut dire que les échos qui nous sont parvenus de l’ex-Léopoldville sont très rassurants, surtout que les Kabyles n’ont pas eu la pression de la part des dirigeants de l’équipe hôte qui les ont mis dans de bonnes conditions d’hébergement au niveau de l’hôtel Berverley Logde, situé à 40 km de la capitale, loin de la pression des fans adverses.
El Watan
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