A Old Trafford, Manchester United a écrasé Arsenal (8-2), lors de la 3e journée de Premier League. Les Red Devils ont déroulé face à une formation à la dérive et qui n'a toujours pas gagné après trois journées de championnat. Il y a le feu à Arsenal. MU est en tête.
MANCHESTER UNITED - ARSENAL : 8-2
Buts : Welbeck (22e), Young (28e, 90e), Rooney (42e, 64e et 82e) et Park (70e) pour Manchester - Walcott (45e) et van Persie (74e)
Arsène Wenger a sans doute vécu ce dimanche sa pire journée de manager d'Arsenal. Le Français a vu son équipe sombrer corps et âme à Old Trafford face à l'ennemi juré, Manchester United. Au début du XXIe siècle, United fut le principal adversaire des Gunners en Championnat d'Angleterre. Cette époque est évidemment révolue. Arsenal n'a plus rien gagné depuis 2005 et la disette est loin d'être terminée tant le club londonien est dans un état de décomposition avancé. Nasri et Fabregas sont partis. Il ne reste plus grand chose en vitrine. Dans leur histoire, les Gunners n'avaient jamais connu ça. Huit buts encaissés. Une raclée monumentale (8-2) qui a sans doute éteint les quelques espoirs des supporters d'Arsenal. Certes, il reste encore trois jours pour recruter et tenter de rétablir une situation désespérée. Mais le chantier est trop vaste. La reconstruction prendra du temps. Il faut se rendre à l'évidence.
Rooney fantastique
Si Arsenal a bu le calice jusqu'à la lie, la faute à un Wayne Rooney fantastique et auteur de trois buts (dont deux sur coup franc), les Gunners regretteront sans doute ce penalty de Robin van Persie repoussé par David de Gea (26e). A ce moment-là, les Gunners n'étaient menés qu'un 1-0. Dans la foulée, Young a doublé la mise (28e). On ne parlera évidemment pas de tournant. La décence et le score final l'interdisent. Mais après, les Baby Gunners ont décroché. Et complètement lâché la rampe après la pause.
Au retour des vestiaires, la bande de Sir Alex Ferguson a déroulé. Ashley Young et Nani ont régalé. Arsène Wenger, lui, dégusté. Le manager alsacien est sur un siège éjectable. Ça devait finir par arriver. S'il n'est pas entièrement responsable de ce qui arriver au club dont il tient les rênes depuis quinze ans, force est de constater qu'il est en première ligne et a grillé quelques jokers. Lui en reste-t-il ? On le saura rapidement.
Eurosport
MANCHESTER UNITED - ARSENAL : 8-2
Buts : Welbeck (22e), Young (28e, 90e), Rooney (42e, 64e et 82e) et Park (70e) pour Manchester - Walcott (45e) et van Persie (74e)
Arsène Wenger a sans doute vécu ce dimanche sa pire journée de manager d'Arsenal. Le Français a vu son équipe sombrer corps et âme à Old Trafford face à l'ennemi juré, Manchester United. Au début du XXIe siècle, United fut le principal adversaire des Gunners en Championnat d'Angleterre. Cette époque est évidemment révolue. Arsenal n'a plus rien gagné depuis 2005 et la disette est loin d'être terminée tant le club londonien est dans un état de décomposition avancé. Nasri et Fabregas sont partis. Il ne reste plus grand chose en vitrine. Dans leur histoire, les Gunners n'avaient jamais connu ça. Huit buts encaissés. Une raclée monumentale (8-2) qui a sans doute éteint les quelques espoirs des supporters d'Arsenal. Certes, il reste encore trois jours pour recruter et tenter de rétablir une situation désespérée. Mais le chantier est trop vaste. La reconstruction prendra du temps. Il faut se rendre à l'évidence.
Rooney fantastique
Si Arsenal a bu le calice jusqu'à la lie, la faute à un Wayne Rooney fantastique et auteur de trois buts (dont deux sur coup franc), les Gunners regretteront sans doute ce penalty de Robin van Persie repoussé par David de Gea (26e). A ce moment-là, les Gunners n'étaient menés qu'un 1-0. Dans la foulée, Young a doublé la mise (28e). On ne parlera évidemment pas de tournant. La décence et le score final l'interdisent. Mais après, les Baby Gunners ont décroché. Et complètement lâché la rampe après la pause.
Au retour des vestiaires, la bande de Sir Alex Ferguson a déroulé. Ashley Young et Nani ont régalé. Arsène Wenger, lui, dégusté. Le manager alsacien est sur un siège éjectable. Ça devait finir par arriver. S'il n'est pas entièrement responsable de ce qui arriver au club dont il tient les rênes depuis quinze ans, force est de constater qu'il est en première ligne et a grillé quelques jokers. Lui en reste-t-il ? On le saura rapidement.
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