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État palestinien : Israël désespère de l'ONU

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  • État palestinien : Israël désespère de l'ONU

    Bonan-malan, Abbas semble avoir tout de même bel et bien atteint son objectif.




    État palestinien : Israël désespère de l'ONU

    Par Marc Henry
    Publié le 28/08/2011 à 21:19

    L'État hébreu s'attend à ce que les Nations unies votent massivement en faveur d'une adhésion des Palestiniens.

    Israël a perdu tout espoir d'empêcher les Palestiniens d'obtenir une reconnaissance de leur État à l'ONU le mois prochain. Les Palestiniens auraient déjà obtenu le soutien d'au moins 130 des 193 pays membres des Nations unies, selon les derniers pointages des diplomates israéliens. Saëb Erakat, un proche de Mahmoud Abbas, le président palestinien, estime que la barre des 150 pourrait être franchie. Ces derniers jours, la Chine, le Salvador et le Honduras ont sauté le pas, malgré les tentatives d'Israël de les en dissuader. La bataille qui doit commencer le 20 septembre lorsque Mahmoud Abbas compte demander l'intégration d'un Etat palestinien à l'Assemblée générale des Nations unies à New York, semble perdue d'avance.
    Ron Prossor, l'ambassadeur d'Israël à l'ONU, a admis, dans un message adressé à Jérusalem et divulgué dimanche par le quotidien Haaretz, que «le maximum qu'Israël puisse espérer, c'est qu'un petit groupe de pays vote contre, s'abstienne ou ne prenne pas part au vote». Un diplomate israélien prévoit que, «tout au plus dix à quinze pays oseront sans doute défier la loi du plus grand nombre et le lobby des pays arabes au sein de l'ONU en se prononçant contre l'initiative palestinienne». Benyamin Nétanyahou aurait lui-même jeté l'éponge et renoncé à prononcer un discours devant l'ONU pour tenter de convaincre au dernier moment d'éventuels pays hésitants. Selon toute vraisemblance, c'est le président Shimon Pérès, qui, fort d'une image favorable à l'étranger, prendra la parole, mais à titre surtout symbolique.


    La grande inconnue

    D'ultimes efforts sont, malgré tout, déployés pour convaincre une partie des Européens. Il semble, pour le moment, que l'Allemagne, l'Italie, les Pays-Bas et la République tchèque voteront contre l'initiative palestinienne. En revanche, un certain suspense persiste concernant la France et la Grande-Bretagne qui pencheraient du côté palestinien. Mais, comme le souligne un responsable israélien «tout va dépendre de la formulation de la demande de reconnaissance. Si le texte est modéré et appelle à des négociations avec Israël immédiatement après la création d'un État palestinien, il y a de fortes chances pour que Paris et Londres se rallient à Mahmoud Abbas».
    Benyamin Nétanyahou et Avigdor Lieberman, son ministre des Affaires étrangères, ont tenté ce week-end de convaincre Catherine Ashton, la chef de la diplomatie européenne, de ne pas prendre parti pour les Palestiniens. On devrait savoir début septembre s'ils ont réussi.

    La grande inconnue porte sur la réaction d'Israël après une probable reconnaissance. Fidèle à sa réputation de «dur», Avigdor Lieberman, dirigeant d'Israël Beiteinou, un parti ultranationaliste, prône en guise de représailles une annulation de tous les accords conclus avec les Palestiniens. Tout aussi radical, Youval Steinitz, le ministre des Finances, un proche de Benyamin Nétanyahou, n'hésite pas à évoquer la possibilité de provoquer un effondrement économique en gelant les transferts d'argent provenant des droits de douanes et de TVA prélevés par Israël pour le compte des Palestiniens. Ces revenus fiscaux représentent plus de la moitié du budget actuel de l'Autorité palestinienne, qui a déjà bien du mal à boucler ses fins de mois.

    Mais les plus modérés du gouvernement soulignent en privé qu'il n'y a pas lieu de s'inquiéter outre mesure. Les États-Unis ont annoncé qu'ils mettraient leur veto au Conseil de sécurité à l'admission pleine et entière d'un État palestinien à l'ONU. Mais pour contourner le veto américain, les Palestiniens pourraient se tourner vers l'Assemblée générale afin de lui demander d'"élever (leur) statut à l'ONU d'observateur à État non membre" (le droit de véto des États-Unis ne s'applique pas dans un tel cas). Cette formule leur permettrait de devenir membre à part entière de toutes les agences de l'ONU, comme l'OMS, l'Unesco, l'Unicef, où les Palestiniens ne siègent qu'en tant qu'observateurs.




    ...
    Dernière modification par Adama, 30 août 2011, 01h20.

  • #2
    En revanche, un certain suspense persiste concernant la France et la Grande-Bretagne qui pencheraient du côté palestinien.========================= ou bien ils s'abstiendront mais ils ne voterons jamais contre, l enjeu de leur crédibilité dans leur démarche en Libye serai en jeu! Mai on ne sait jamais, ca ne serait pas la preiére fois qu ils se foutent de la gueule des arabes, encore plus affaibli qu avant!
    بارد وسخون
    M.Alhayani

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    • #3
      Suite 1 :

      Citation 2 :


      1967-2011 : les Palestiniens n'attendront pas quarante années de plus

      Point de vue

      LEMONDE | 07.06.11 | 10h10

      S'exprimant le 24 mai devant le Congrès américain, le premier ministre israélien Benyamin Netanyahou a présenté sa "vision de la paix" pour Israéliens et Palestiniens. Il a en particulier décrit la forme que devrait prendre, selon lui, un Etat palestinien : ses frontières seraient déterminées en fonction des préoccupations d'Israël pour sa sécurité et ne reprendraient pas les lignes de 1967, pourtant reconnues par la communauté internationale ; aucune partie de Jérusalem ne pourrait accueillir sa capitale ; il devrait accepter la présence de troupes étrangères sur son sol. Quant aux réfugiés palestiniens expulsés par l'Etat hébreu, il n'y aurait pour eux ni droit au retour ni réparations.

      Cette vision de Netanyahou, visiblement troublée par la myopie, ne marque rien d'autre que l'apogée de sa politique coloniale et colonisatrice. Ce n'est pas une paix, c'est l'apartheid. Ce n'est pas un Etat souverain pour les Palestiniens, c'est la perpétuation déguisée de l'occupation militaire israélienne.

      Selon Netanyahou, les frontières de 1967 sont "indéfendables". Il ne comprend manifestement pas qu'Israël n'aura jamais de frontières défendables tant qu'elle exercera sa domination sur les Palestiniens et sur leurs terres. Ce que les Palestiniens offrent à Israël depuis désormais plus de dix ans, c'est non seulement un accord de paix bilatéral qui mette fin à toutes les revendications, mais aussi une paix régionale globale entre l'Etat hébreu et cinquante-sept autres Etats telle que l'a proposée l'Initiative de paix arabe de 2002 et telle que la soutient l'Organisation de la conférence islamique. Non seulement nous tendons la main à Israël pour que prenne fin le conflit israélo-palestinien, mais nous mettons aussi sur la table la paix et la normalisation des relations entre Israël et ses voisins. En mettant un terme à l'injustice historique infligée au peuple palestinien, Israël obtiendrait enfin cette sécurité qu'elle réclame depuis si longtemps.

      Les frontières de 1967 ne constituent pas quelque "condition préalable palestinienne", ni un nouveau paramètre imaginé par le gouvernement Obama. Les lignes de 1967 constituent les frontières internationalement reconnues entre Israël et le territoire palestinien occupé. Elles reprennent également le compromis palestinien historique de 1988, par lequel l'Organisation de libération de la Palestine (OLP) a reconnu Israël sur 78 % de la Palestine historique.


      Céder ainsi la part du lion de notre patrimoine au nom d'une paix durable était un acte solennel témoignant de la volonté de mettre fin à des décennies de conflit et de sang versé entre Israéliens et Palestiniens. Pourtant, alors que le processus de paix est en cours depuis plus de 20 ans, alors que des milliers de personnes sont mortes ou ont été mutilées, alors que la perpétuation de ce conflit crée d'indescriptibles souffrances, Israël continue de rejeter obstinément la paix.

      Les gouvernements israéliens successifs ont employé une débauche de moyens pour modifier le statu quo du territoire palestinien occupé et effacer les frontières de 1967. Au cours des quarante-quatre dernières années, Israël a consacré plus de 17 milliards de dollars à la construction de colonies. Cette entreprise néocolonialiste – un crime de guerre en vertu des conventions de Genève – conduit d'aucuns à se demander si la solution à deux Etats reste envisageable.

      En tant que premier négociateur palestinien, j'ai participé à la plupart des négociations avec Israël. J'étais l'un des premiers Palestiniens arrivés à la conférence de paix de Madrid, où il nous fut assuré par Georges Bush, alors président des Etats-Unis, que nos discussions avec les Israéliens auraient pour cadre la résolution 242 du Conseil de sécurité des Nations unies, autrement dit, l'idée que la paix israélo-palestinienne passait par le retrait d'Israël au niveau des frontières de 1967. A l'époque, en 1991, environ 200 000 colons israéliens résidaient illégalement sur le territoire palestinien occupé. Vingt ans plus tard, ils sont presque trois fois plus nombreux. Alors que l'une des principales motivations ayant poussé l'OLP à signer les accords d'Oslo était précisément de s'assurer qu'il n'y aurait plus de velléité de revenir sur le statu quo du territoire palestinien occupé, la colonisation par Israël de terres palestiniennes s'est poursuivie sans répit. La "feuille de route" adoptée par le Quartet [en 2003] appelait au gel de la colonisation israélienne et au démantèlement des colonies de peuplement, mais Israël a refusé de s'y plier. Si Israël n'a pas jugé bon de respecter nos accords et arrangements précédents, quelle légitimité accoder à de nouvelles négociations avec les Israéliens ?

      Avec son discours devant le Congrès américain, Netanyahou a achevé d'enterrer le processus de paix. Le premier ministre israélien a ainsi prouvé au monde qu'il n'est pas un homme de paix. Il n'a manifesté de respect ni pour le droit international, ni pour les accords passés. Il a rejeté le principe le plus fondamental du processus de paix : l'échange de territoires contre la paix.


      Nous refusons de laisser notre Etat de Palestine se faire ensevelir sous quarante années supplémentaires d'expansion des colonies israéliennes. Nous, Palestiniens, allons continuer d'œuvrer pour la reconnaissance de notre Etat dans les frontières de 1967.
      Nous allons lancer la procédure de demande d'adhésion aux Nations unies et demander à l'Assemblée générale de soutenir notre appel pacifique à la concrétisation de nos aspirations nationales. En l'absence de négociations sérieuses, en l'absence de mandat clair et puisque rien de ce qui a été conclu par le passé n'est appliqué, nous n'avons pas d'autre option.


      Notre peuple (dix millions d'individus dans le monde) vit depuis trop longtemps sous l'occupation ou en exil. Nous avons droit à notre liberté, nous avons droit à la justice, nous avons le droit de vivre en paix et en sécurité sur nos terres historiques. Et en dépit de tous les efforts de Netanyahou, nous sommes convaincus que notre adhésion aux Nations unies montrera que dans le monde entier, d'autres pays souhaitent eux aussi que nous jouissions de ces droits fondamentaux.





      Traduit de l'anglais par Julie Marcot



      ...

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      • #4
        la France (sarko a rompu avec la politique de De Gaulle, en mettant fin à l'embargo sur les armes contre l'entité terroriste fantoche, et en dilapidant les caisses de l'état pour leur acheter des drones) apposera son droit de véto, c'est plus que certains!

        Un sioniste dirrige dame France!!!

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        • #5
          Le seul probleme avec "les frontieres de 67" qui, au passage ne sont ni des frontieres et ne datent pas de 67, c'est qu'ils impliquent une souverainete arabe exclusive sur la totalite des lieux saints juifs comme le mur des lamentations. Un president americain qui soutiendrait cette initiative n'a aucune chance de se faire reelire, et je ne parle pas de l'electorat Juif americain mais aussi chretien. En gros, l'assamblee generale votera le texte, mais l'admission sera bloquee au CS par les americains.

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          • #6
            On verra cette fois-ci si la France de Sarkozy aiment tellement les arabes comme il le prétend en Libye.

            Cela s'applique pour tous les pays occidentaux au fait.
            Ask not what your country can do for you, but ask what you can do for your country.

            J.F.Kennedy, inspired by Gibran K. Gibran.

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            • #7
              Suite 3 :

              Citation 3 :


              La France et les pays européens songent à reconnaître un État palestinien


              Le Point - Publié le 21/04/2011 à 20:06

              Mahmud Abbas, le président de l'Autorité palestinienne, s'est entretenu avec Nicolas Sarkozy à l'Élysée.

              La France et des pays européens songent à reconnaître un État palestinien, a déclaré jeudi l'ambassadeur de France à l'ONU Gérard Araud lors d'une réunion du Conseil de sécurité sur le Moyen-Orient. "La reconnaissance de l'État de Palestine est une option à laquelle nous réfléchissons actuellement avec nos partenaires européens, dans l'optique de créer un horizon politique à même de relancer le processus de paix", a dit M. Araud.

              "Si nous la retenions, elle devrait favoriser une reprise des négociations sur la base des paramètres internationaux bien connus. Outre la réaffirmation de notre attachement indéfectible à la sécurité d'Israël, elle serait assortie d'un message politique clair afin de dissuader les deux parties de poursuivre des stratégies unilatérales ou d'imposer des faits accomplis sur le terrain qui nuisent aux efforts de paix", a encore indiqué l'ambassadeur. "Les aspirations du peuple palestinien en faveur d'un État viable, vivant en paix et en sécurité aux côtés d'Israël, ne sont pas moins légitimes que celles qui s'expriment ailleurs dans la région. Nous n'avons pas d'autre choix que d'y répondre", a-t-il ajouté.


              Alain Juppé, favorable à la reconnaissance


              La France recevait jeudi le président palestinien Mahmud Abbas en visite à Paris, alors qu'elle réfléchit de plus en plus ouvertement à une reconnaissance de l'État palestinien par l'Union européenne pour dépasser la paralysie du processus de paix avec Israël. Le président de l'Autorité palestinienne était reçu dans l'après-midi par le président Nicolas Sarkozy à l'Élysée pour, a-t-il dit, lui "demander conseil" sur les démarches à suivre en vue de la reconnaissance d'un État de Palestine. Face au blocage des négociations de paix, rapidement interrompues après une brève relance en septembre, Paris semble envisager sérieusement une reconnaissance de l'État palestinien, même en l'absence d'accord entre les deux parties.

              Depuis sa prise de fonctions fin février, le chef de la diplomatie française Alain Juppé s'est exprimé à deux reprises en ce sens. À la mi-mars, il avait estimé qu'il s'agissait d'"une hypothèse qu'il faut avoir en tête". "C'est une question à laquelle il faut réfléchir et à laquelle nous réfléchissons. Et elle se posera au mois de septembre ou octobre", a-t-il redit cette semaine.




              ...

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              • #8
                La France de Sarko ne trahira jamais sa patrie (entité fantoche), cette même France qui l'a dottée de l'arme atomique!

                Cette même France qui a vendu sa dignité et sa souveraineté à cette même entité, si dame France était dirrigée par un Francais (style De Villepin), la j'y croirais!

                Par ailleurs ce serait un suicide politique pour Sarko que de reconnaitre un état palestinien, il ne faut pas être naif, les sionistes ont fait main basse sur Dame France!
                Dernière modification par mehdi-amazigh, 30 août 2011, 01h22.

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                • #9
                  J'espère que nos frères algeriens sauront faire la différence entre le grain et l'ivraie an France et voter pour le FN avant de voter pour Sarkozy.
                  Ask not what your country can do for you, but ask what you can do for your country.

                  J.F.Kennedy, inspired by Gibran K. Gibran.

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                  • #10
                    Djamal

                    Si les Algériens de France comprenaient les enjeux, crois moi ils voteraient massivement pour De Villepin ou Dupont-Aignan (de vrais Francais)!!!

                    Socialos caviars=Droite=establishement sioniste!

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                    • #11
                      Ce n'est pas tellement les français qui votent, mais c'est les média qui choisissent le candidat qui va être en tête de l'état. Et qui contrôle les média, d'aucuns vont me taxer d'anti-sémite si je les dévoilais. Qu'en pensez-vous?
                      Ask not what your country can do for you, but ask what you can do for your country.

                      J.F.Kennedy, inspired by Gibran K. Gibran.

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                      • #12
                        bien sur que ce sont les medias et instituts de sondages aux mains des sionistes qui orientent les votes!

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                        • #13
                          Mais c'est le pro-sioniste qui avait remporté les éléctions, n'est-ce pas.

                          Le salut de la France est définitivement le FN; elle devrait sortir de la zone euro entre autres.

                          Et elle perdra en Libye, ne croyez pas que les US vont la laisser faire ce qu'elle veut; ils ont ont place des lybiens prêts à cooperer avec les yankees, maintenant il faut se débarasser de ce commandant à Tripoli sans froisser les islamistes, chose pas tellement aisée à atteindre.Good luck CNT, OTAN et les rapaces de l'Occident.
                          Ask not what your country can do for you, but ask what you can do for your country.

                          J.F.Kennedy, inspired by Gibran K. Gibran.

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                          • #14
                            ..aux dernières éléctions..présidentielles...les instituts de sondages..n'étaient pas si performants..que cela..
                            C'est une vielle astuce, ils veulent faire savoir à ceux qui votent que un des deux candidat est projeté de gagner les élections, ce qui va se passer ensuite, c'est que certains ne vont pas voter pour leur candidat et l'autre partie va être motivé d'aller au secours de leur candidat. La campagne est menée avec subltilité prévoyant une menace auquel cas il le candidat qui nous arrange pas sera élu.

                            Les projetés vainqueurs finiront par perdre les élections.
                            Ask not what your country can do for you, but ask what you can do for your country.

                            J.F.Kennedy, inspired by Gibran K. Gibran.

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                            • #15
                              Si les Algériens de France comprenaient les enjeux, crois moi ils voteraient massivement pour De Villepin
                              Le meme villepin qui avait declarer que la france serait toujours au cotes de israel ?

                              Et puis c'est quoi ces salades de vrai francais et faux francais ...

                              C'est une vielle astuce, ils veulent faire savoir à ceux qui votent que un des deux candidat est projeté de gagner les élections, ce qui va se passer ensuite, c'est que certains ne vont pas voter pour leur candidat et l'autre partie va être motivé d'aller au secours de leur candidat. La campagne est menée avec subltilité prévoyant une menace auquel cas il le candidat qui nous arrange pas sera élu.
                              Pas mal pas mal ! Il sont vraiment astucieux ces sacres sionistes !
                              Dernière modification par Othman17, 30 août 2011, 05h31.

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