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A travers la planète il y des évenements qui se passe et qui sont plus ou moins mis en lumière .
En ce qui concerne ce sujet précis , il est amusant de constater qu'il est très peu relayer dans les médias en France par exemple .
Pourtant il s'agit tout de même d'un jour historique pour le Népal .
Népal , rien que ce nom me fait frémir tellement j'aimerait le visiter et gravir ces montagnes vers l'Himalaya .Ah c'est un rêve .
Je suit heureux qu'il est en train de se stabilisiser et j'espère que dans quelques années je pourrait m'y promener .
ci dessous une dépêche titré ci dessus :
En ce qui concerne ce sujet précis , il est amusant de constater qu'il est très peu relayer dans les médias en France par exemple .
Pourtant il s'agit tout de même d'un jour historique pour le Népal .
Népal , rien que ce nom me fait frémir tellement j'aimerait le visiter et gravir ces montagnes vers l'Himalaya .Ah c'est un rêve .
Je suit heureux qu'il est en train de se stabilisiser et j'espère que dans quelques années je pourrait m'y promener .
ci dessous une dépêche titré ci dessus :
Le Népal saluait vendredi comme "historique" la résolution du Parlement privant le roi Gyanendra des pouvoirs très étendus qui lui avaient permis de prendre le contrôle absolu du pays il y a un an.
"Capital", "glorieux" : la presse népalaise couvrait d'éloges les "Une" de ses éditions du vendredi, après la proclamation adoptée à l'unanimité la veille par le Parlement de Katmandou.
Le texte représente une véritable révolution pour le petit royaume coincé entre Chine et Inde. Au roi jadis tout puissant, le texte retire le contrôle de l'armée et le pouvoir de nommer le gouvernement.
Toute référence au statut divin du monarque, censé être le représentant sur Terre de la divinité hindoue Vishnou, est retirée. C'est même l'ensemble du pays de 27 millions d'habitants qui devient laïc.
Le dernier descendant sur le trône de la dynastie Shah, vielle de 250 ans, pourra être poursuivi par la justice des hommes et devra même payer des impôts sur la formidable richesse dont il dispose.
Le Népal a enfin sa "Magna Carta", se réjouit le Kathmandu Post, en référence à la Grande Charte britannique adoptée au XIIe siècle et qui limitait l'arbitraire royal. "Ce jour historique donne raison au pouvoir du peuple qui règne de manière suprême", écrit le quotidien de langue anglaise dans un éditorial. Le Himalayan Times se félicite que la proclamation du Parlement "mette fin à la dynastie Shah en tant que gardienne de la souveraineté de la nation".
Egalement conscient d'un moment historique, le gouvernement a annnoncé un jour férié pour ce vendredi "afin de célébrer la proclamation historique qui a rendu souveraine et toute-puissante la Chambre des représentants", a déclaré le porte-parole du ministère de l'Intérieur, Baman Prasad. La proclamation parlementaire a été rendue possible après que le roi a accepté, le 24 avril, de rétablir le Parlement dissous en 2002 après trois semaines de manifestations populaires au cours desquelles au moins 19 personnes ont été tuées.
Le roi Gyanendra s'était arrogé les pleins pouvoirs le 1er février 2005 en limogeant son gouvernement accusé de n'avoir pas su mater la guérilla maoïste. Le nouveau Parlement n'est pas allé jusqu'à abolir la monarchie mais cette question sera examinée par l'Assemblée constituante qui devrait être élue l'année prochaine. La Constitution de 1990 limitait déjà les pouvoirs du roi mais lui laissait le contrôle de l'armée et le pouvoir de renvoyer le gouvernement.
Dans les rues de la capitale Katmandou vendredi, on se réjouissait également de la proclamation parlementaire. "C'est une décision historique. C'est une victoire pour le peuple, contre la dictature", lance Ramesh Khadka, chauffeur de taxi. "Le roi devrait être prêt à accepter un rôle cérémonial comme les monarques du Japon ou de Grande-Bretagne. Sinon, le peuple peut le renverser et établir une République", estime-t-il.
L'autocratie étant dorénavant chose du passé, reste maintenant à venir à bout de l'autre crise qui mine le Népal depuis des décennies: le conflit avec la rébellion maoïste qui a fait une douzaine de milliers de morts depuis 1996. "Maintenant, les partis politiques doivent progresser vers une solution au problème maoïste", lance l'épicier Mohan Shrestha.
Les maoïstes s'étaient alliés aux partis politiques pour faire céder le roi. Ils ne font pas partie du nouveau gouvernement mais ont décrété un cessez-le-feu. Des négociations de paix vont bientôt démarrer, a assuré le gouvernement.
"Capital", "glorieux" : la presse népalaise couvrait d'éloges les "Une" de ses éditions du vendredi, après la proclamation adoptée à l'unanimité la veille par le Parlement de Katmandou.
Le texte représente une véritable révolution pour le petit royaume coincé entre Chine et Inde. Au roi jadis tout puissant, le texte retire le contrôle de l'armée et le pouvoir de nommer le gouvernement.
Toute référence au statut divin du monarque, censé être le représentant sur Terre de la divinité hindoue Vishnou, est retirée. C'est même l'ensemble du pays de 27 millions d'habitants qui devient laïc.
Le dernier descendant sur le trône de la dynastie Shah, vielle de 250 ans, pourra être poursuivi par la justice des hommes et devra même payer des impôts sur la formidable richesse dont il dispose.
Le Népal a enfin sa "Magna Carta", se réjouit le Kathmandu Post, en référence à la Grande Charte britannique adoptée au XIIe siècle et qui limitait l'arbitraire royal. "Ce jour historique donne raison au pouvoir du peuple qui règne de manière suprême", écrit le quotidien de langue anglaise dans un éditorial. Le Himalayan Times se félicite que la proclamation du Parlement "mette fin à la dynastie Shah en tant que gardienne de la souveraineté de la nation".
Egalement conscient d'un moment historique, le gouvernement a annnoncé un jour férié pour ce vendredi "afin de célébrer la proclamation historique qui a rendu souveraine et toute-puissante la Chambre des représentants", a déclaré le porte-parole du ministère de l'Intérieur, Baman Prasad. La proclamation parlementaire a été rendue possible après que le roi a accepté, le 24 avril, de rétablir le Parlement dissous en 2002 après trois semaines de manifestations populaires au cours desquelles au moins 19 personnes ont été tuées.
Le roi Gyanendra s'était arrogé les pleins pouvoirs le 1er février 2005 en limogeant son gouvernement accusé de n'avoir pas su mater la guérilla maoïste. Le nouveau Parlement n'est pas allé jusqu'à abolir la monarchie mais cette question sera examinée par l'Assemblée constituante qui devrait être élue l'année prochaine. La Constitution de 1990 limitait déjà les pouvoirs du roi mais lui laissait le contrôle de l'armée et le pouvoir de renvoyer le gouvernement.
Dans les rues de la capitale Katmandou vendredi, on se réjouissait également de la proclamation parlementaire. "C'est une décision historique. C'est une victoire pour le peuple, contre la dictature", lance Ramesh Khadka, chauffeur de taxi. "Le roi devrait être prêt à accepter un rôle cérémonial comme les monarques du Japon ou de Grande-Bretagne. Sinon, le peuple peut le renverser et établir une République", estime-t-il.
L'autocratie étant dorénavant chose du passé, reste maintenant à venir à bout de l'autre crise qui mine le Népal depuis des décennies: le conflit avec la rébellion maoïste qui a fait une douzaine de milliers de morts depuis 1996. "Maintenant, les partis politiques doivent progresser vers une solution au problème maoïste", lance l'épicier Mohan Shrestha.
Les maoïstes s'étaient alliés aux partis politiques pour faire céder le roi. Ils ne font pas partie du nouveau gouvernement mais ont décrété un cessez-le-feu. Des négociations de paix vont bientôt démarrer, a assuré le gouvernement.
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