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Les carences économiques entretiennent les déficits sociaux

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  • Les carences économiques entretiennent les déficits sociaux

    Bonjour, 124e rang mondial sur l'échelle de l'indicateur de développement humain du Programme des Nations unies pour le développement (PNUD) en 2005, derrière le Gabon et devant la Namibie.
    ----------------------------------------------------------------------

    L’indicateur du développement humain du Maroc a été de 0,642 en 2004, selon le Haut Commissariat au Plan. Il a été de 0,631 en 2003 selon le programme des Nations Unies pour le Développement (PNUD).

    A titre comparatif, cet indicateur s’est chiffré en moyenne, en 2003, à 0,679 pour les pays arabes, à 0,694 pour les pays en développement et à 0,741 à l’échelle mondiale. Même si le développement humain a enregistré d’importants progrès au Maroc, comme le prouve l’espérance de vie qui est passée de 67,9 ans en 1994 à 70,8 ans en 2004, son classement mondial en la matière a peu évolué. Non seulement parce que les pays comparables ont aussi fourni d’importants efforts pour avancer sur le plan du développement humain, mais aussi en raison de la persistance des déficits sociaux.

    L’amélioration des conditions et du niveau de vie de la population d’un pays est évidemment liée au volume de la création de richesses dans ce pays. Alors que le taux de croissance démographique n’est plus que de 1,4% en moyenne depuis 1994, celui de la croissance économique est à peine de 4% depuis 1999. L’année dernière, qui a connu la sécheresse, le taux de croissance du PIB était presque égal à celui de la croissance démographique : 1,6%. Selon les économistes, il faut réaliser un taux de croissance d’au moins 6 à 7% pour absorber les nouveaux arrivants sur le marché du travail, compte non-tenu du stock des chômeurs.

    La suite...
    http://www.lopinion.ma/article.php3?id_article=12114
    Si vous ne trouvez pas une prière qui vous convienne, inventez-la.” Saint Augustin

  • #2
    oui c'est vrai monsieur zek et c'est pour ca qu'on a lancé l'INDH, je ne vais pas le nier, on est loin derriere.
    إِن تَنصُرُوا الله ينصُركُم الله، الوطن، الملك

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    • #3
      La grande défaillance du Maroc a été dans le milieu rural. Celui ci a été laissé à son sort, et la secheresse à agravée la situation

      Durant des années (60, 70, 80) tous les efforts dinvestissement de l'Etat dans le milieu rural se sont focalisés sur les périmetres irrigués

      dans le bour c'est le status quo

      depuis le debut des années 90 les premiers projet destinés à ces zones ont vue le jour : électrification rurales, adduction de l'eau potable, routes rurales, programmes nationaux de vaccination, etc...

      Mais le déficit résorber est ENORME

      Le Maroc ne pourra pas se passer d'un plan Marshal pour sa campagne. et c'est un peu l'esprit de la nouvelle INDH (initiative nationale pour le développement humain)

      Reste a faire le bilan dans cinq pour voir si l'effort fourni aura un impact significative ssur la condition de vie des ruraux

      Finalement, je pense qu'il faudra organiser une EXODE RURALE planifiée pour vider la campagne d'une partie de ces habitant et créer des centre urbain intermédiaires ou d'autres activité économiques peuvent être utilisées comme source de revenu mais également réduire le cout des équipements sociaux.
      .
      .
      ''La pauvreté ne sera plus séditieuse, lorsque l'opulence ne sera plus oppressive''
      Napoléon III

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      • #4
        ont peus deja faire un ptit bilan, au niveau d'eau et d'electricite, 90% du monde rural aura l'eau et 92% l'electricite d'ici 2007, un grand changement si ont sait qu'ont 95 il y avait que 11% qui avait l'electricite dans le monde rutal.

        la meme choses pour les routes et le desenclavelment 1500km par ans depuis 2 ans esperons que l'INDH jouera plus sure la qualite des services et des etudes....

        vous pouvez suivre tous ce qui ce passe sur http://www.indh.ma/fr/index.asp c'est le website officiel de l'INDH

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        • #5
          il faut réaliser un taux de croissance d’au moins 6 à 7%

          A mon avis ca ne sera posible qu'avec un prix de petrole stable (meme chere) et une pluviometrie satisfaisante (comme cette année) !!

          Je serais par ailleur tres heureux d'attendire un taux de 5%

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