Circoncision
Elle était pratiquée à l’époque Thinite, mais plus à partir du Nouvel Empire, pour les rois. On ignore sa signification, mais on peux supposer qu’il s’agit simplement d’une question d’hygiène. On retrouve des représentation de la circoncision sur certains bas-reliefs de temples (à Karnak notamment) ou sur les parois de certaines tombes.
Hérodote nous apprend que laa circoncision appartient en propre aux Égyptiens et Éthiopiens ou Nubiens. En effet, dans la civilisation assyro-babylonienne, on ne trouve pas de traces de circoncision. Celle-ci s’est répandue dans le "monde méditerranéen" et chez les Arabes et les Juifs ("Syriens de la Palestine" d’Hérodote ; Flavius Josèphe cite également ce passage d’Hérodote : voir Contre Apion, I, 22) par l’Égypte, où elle se présente comme un trait culturel antique, identifiable dès les origines mêmes de la civilisation égyptienne (au Néolithique : présence d’étuis péniens), et permanent à travers toute l’histoire de la civilisation de la vallée du Nil.
Elle était pratiquée à l’époque Thinite, mais plus à partir du Nouvel Empire, pour les rois. On ignore sa signification, mais on peux supposer qu’il s’agit simplement d’une question d’hygiène. On retrouve des représentation de la circoncision sur certains bas-reliefs de temples (à Karnak notamment) ou sur les parois de certaines tombes.
Hérodote nous apprend que laa circoncision appartient en propre aux Égyptiens et Éthiopiens ou Nubiens. En effet, dans la civilisation assyro-babylonienne, on ne trouve pas de traces de circoncision. Celle-ci s’est répandue dans le "monde méditerranéen" et chez les Arabes et les Juifs ("Syriens de la Palestine" d’Hérodote ; Flavius Josèphe cite également ce passage d’Hérodote : voir Contre Apion, I, 22) par l’Égypte, où elle se présente comme un trait culturel antique, identifiable dès les origines mêmes de la civilisation égyptienne (au Néolithique : présence d’étuis péniens), et permanent à travers toute l’histoire de la civilisation de la vallée du Nil.