Annonce

Réduire
Aucune annonce.

« Koweït Gate » : DSK impliqué dans le détournement de 23 milliards de dollars ?

Réduire
X
 
  • Filtre
  • Heure
  • Afficher
Tout nettoyer
nouveaux messages

  • « Koweït Gate » : DSK impliqué dans le détournement de 23 milliards de dollars ?

    « Koweït Gate » : DSK impliqué dans le détournement de 23 milliards de dollars ?

    Un avocat français, Maître Konkou, a décidé d’assigner l’Etat français et son ministre de l’économie à l’époque (1991) en justice. Une affaire de plus, direz-vous, sauf que le ministre de l’économie de l’époque n’est autre que Dominique Strauss-Kahn, directeur actuel du FMI et possible candidat socialiste aux élections présidentielles de 2012.

    L’affaire concerne le Koweït et l’extinction des puits de pétrole, suite à la première guerre du Golfe. Maître Konkou est l’avocat de M. Christian Basano, expert comptable, commissaire aux comptes, chargé de mission et associé de M. Joseph Ferrayé, inventeur de la technologie utilisée pour éteindre les puits de pétrole koweïtiens et détenteur du brevet. Or, une autre société a été choisie, sur recommandation du ministre français de l’économie à l’époque, Dominique Strauss-Kahn. Cette société a utilisé, indûment, la technologie brevetée de la société de Messieurs Ferrayé et Basano, sans autorisation de ces derniers. Bien entendu, la dite société rafle, au passage, le crédit alloué par le Koweït à cet effet, soit 23 milliards de dollars ! Dans cette affaire, il y aurait eu usurpation d’identité dont M. Basano aurait été victime sans parler du préjudice moral et financier, et tout cela sur « recommandation » du ministre Strauss-Kahn. Ayant épuisé toutes les procédures légales et tous les recours, Maître Konkou a décidé d’assigner l’Etat et son ministre.

    Le silence assourdissant des médias sur cette affaire n’a été rompu que par le quotidien suisse La Liberté du 1er mars 2011. Pourtant, ce qui pourrait bien être un Koweït Gate pour Strauss-Kahn commence à se répandre sur le web. Cette affaire n’a pas échappé à certains dirigeants socialistes qui pensent qu’appeler à voter « le peuple de Gauche » au deuxième tour de la présidentielle de 2012 pour le directeur de la grande finance mondiale est au-dessus de leurs forces. Alors, si une affaire pouvait le tenir éloigné… Gardez-moi de mes « amis », de mes ennemis je m’en charge, dit le proverbe.

    Mais, au-delà des querelles arrivistes qui peuvent déchirer cette caste, ce Koweït Gate qui remonte à 1991, nous en dit long sur le lobby politico-financier au pouvoir, en France. On constate qu’ils n’hésitent jamais à violer leur propre légalité quand leurs intérêts sont en jeu et que la justice, à leur service, sait très bien étouffer ou ralentir certaines affaires. Il faut surtout se souvenir du contexte de l’époque. Discrètement encouragé par les Etats-Unis qui lui font croire que l’invasion du Koweït était une affaire interarabe, Saddam Hussein tombe dans le piège, à pieds joints, et envahit le Koweït. Il se forme immédiatement une coalition internationale pour chasser l’agresseur et libérer l’émirat pétrolier, en grande partie aux frais du Koweït qui a financé, à hauteur de 23 milliards de dollars, les opérations militaires y compris l’extinction des puits de pétrole (incendiés par qui… ?). Deux nations arabo-musulmanes se sont faites la guerre, en sont sorties ruinées et détruites, au profit de qui ?

    Bien évidemment, au profit de ceux que Strauss-Kahn a pour mission de servir, non seulement depuis qu’il est à la tête du FMI, mais bien avant, quand il était ministre d’un gouvernement socialiste et qu’il avait recommandé, selon Maître Konkou, une société amie, avec les 23 milliards de dollars payés par le Koweït à la clé !

    Nous souhaitons que ce Koweït Gate aille jusqu’à son terme, que toute la lumière soit faite sur le rôle du sioniste Strauss-Kahn. Que nos amis n’hésitent pas à populariser cette affaire autour d’eux. Mais aussi, qu’ils comparent la guerre qui a opposé l’Irak et le Koweït en 1991 avec la situation actuelle dans les pays arabes. Les points communs ne manquent pas, des gouvernements font combattre, entre eux, des peuples arabo-musulmans. Les monarchies pétrolières du Golfe répriment leurs peuples en menaçant l’Iran et la Ligue dite « arabe » appelle l’OTAN à l’agression…

    Qui pense en tirer profits, des profits politiques qui dépassent les 23 milliards de dollars ? Les nombreux amis que M. Strauss-Kahn possède à Washington et à Tel-Aviv, ceux-là même qui l’ont fait nommer au FMI, en remerciement des services rendus bien avant 1991 et le Koweït Gate !

    P.A.S

  • #2
    Quand certains se demandaient pourquoi Anne Sinclair ne veut pas le quitter , d'autres disaient que c'est l'amour aveugle ! Oui c'est ca de l'amour aveugle pour l'argent , eux autres n'ont qu'un seul repere , l'argent , aucun sentiment qui compte

    Commentaire


    • #3
      Un avocat français, Maître Konkou, a décidé d’assigner l’Etat français et son ministre de l’économie à l’époque (1991) en justice. Une affaire de plus, direz-vous, sauf que le ministre de l’économie de l’époque n’est autre que Dominique Strauss-Kahn, directeur actuel du FMI et possible candidat socialiste aux élections présidentielles de 2012.
      La cible n'est pas DSK mais l'état Francais de Mitterrand d'alors...

      Rappel, un ministre de l'économie obéit au premier ministre.........Qui lui même recoit ses directives du président!

      Commentaire

      Chargement...
      X