Les problèmes posés par les transfusions de sang pourraient trouver leur solution grâce à des chercheurs français. À partir de cellules souches du patient, ils ont réussi la première autotransfusion humaine de globules rouges. Les globules cultivés en laboratoire ont survécu dans le corps humain, rapporte Metro.
Une équipe de l’Inserm-UPMC (Institut national de la santé et de la recherche médicale – Université Pierre et Marie Curie) a publié ces résultats dans Blood, la revue américaine spécialisée en hématologie, la semaine dernière. Les chercheurs avaient d’abord réalisé des tests sur des souris, avant de tenter l’expérience sur un donneur volontaire. Ils ont produit des milliards de globules rouges en laboratoire, à partir de cellules souches hématopoïétiques humaines (CSH). Ce sont elles qui fabriquent tous les types de cellules de notre sang.
Lorsque les scientifiques ont injecté dans l’organisme du patient ces globules rouges cultivés à partir de ses propres cellules souches, le taux de survie observé était similaire à des globules rouges classiques. Grâce à cette méthode, le transfusé devient son propre donneur. À terme, cela pourrait résoudre les problèmes posés par les transfusions sanguines, telles que le nombre restreint de donneurs face aux besoins, les difficultés du stockage ou les risques d’infection.
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Une équipe de l’Inserm-UPMC (Institut national de la santé et de la recherche médicale – Université Pierre et Marie Curie) a publié ces résultats dans Blood, la revue américaine spécialisée en hématologie, la semaine dernière. Les chercheurs avaient d’abord réalisé des tests sur des souris, avant de tenter l’expérience sur un donneur volontaire. Ils ont produit des milliards de globules rouges en laboratoire, à partir de cellules souches hématopoïétiques humaines (CSH). Ce sont elles qui fabriquent tous les types de cellules de notre sang.
Lorsque les scientifiques ont injecté dans l’organisme du patient ces globules rouges cultivés à partir de ses propres cellules souches, le taux de survie observé était similaire à des globules rouges classiques. Grâce à cette méthode, le transfusé devient son propre donneur. À terme, cela pourrait résoudre les problèmes posés par les transfusions sanguines, telles que le nombre restreint de donneurs face aux besoins, les difficultés du stockage ou les risques d’infection.
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