La Libye assistera samedi prochain à Marseille à une réunion du partenariat mise en place par les grandes puissances et les institutions financières internationales pour apporter une aide économique au «printemps arabe», a annoncé hier la présidence française du G8, rapporte l’AFP.
«Eu égard aux dernières évolutions, la Libye a été invitée avec le statut d’observateur», a déclaré à la presse le ministère français des Finances. Il n’a pas précisé à quel niveau seront représentées les autorités de transition libyennes.
Après une réunion vendredi des grands argentiers du G7, à savoir les Etats-Unis, le Japon, le Canada, l’Allemagne, la France, l’Italie et le Royaume-Uni à Marseille, dans le sud-est de la France, les ministres des Finances du «partenariat de Deauville», lancé au dernier sommet du G8 en mai, se retrouveront samedi. Ce partenariat réunit le G8 (G7 plus la Russie), les grandes institutions financières internationales et régionales, en l’occurrence le FMI, la Banque mondiale, BEI, BERD entre autres, ainsi que quatre pays arabes. Il s’agit de la Tunisie et de l’Egypte qui ont été rejoints par le Maroc et la Jordanie. Au sommet de Deauville, le 27 mai dernier, les grandes puissances ont promis une aide économique conséquente pour soutenir le «printemps arabe». Le ministre tunisien des Finances, Jalloul Ayed, a évoqué un «package global de 40 milliards de dollars» en faveur de la région.
A Marseille, les autorités égyptiennes, tunisiennes, marocaines et jordaniennes exposeront leurs plans d’action pour la relance économique de leurs pays, et les institutions financières internationales expliqueront comment elles entendent les soutenir. Il s’agira aussi de mettre en place une vraie coordination, chapeautée par le G8, de tous ces acteurs. Les bailleurs de fonds ne devraient pas annoncer de nouvelles promesses de soutien mais le G8 devrait rappeler ce que les différents donateurs sont prêts à apporter pour aider les pays arabes.
El Watan - Rédaction internationale
«Eu égard aux dernières évolutions, la Libye a été invitée avec le statut d’observateur», a déclaré à la presse le ministère français des Finances. Il n’a pas précisé à quel niveau seront représentées les autorités de transition libyennes.
Après une réunion vendredi des grands argentiers du G7, à savoir les Etats-Unis, le Japon, le Canada, l’Allemagne, la France, l’Italie et le Royaume-Uni à Marseille, dans le sud-est de la France, les ministres des Finances du «partenariat de Deauville», lancé au dernier sommet du G8 en mai, se retrouveront samedi. Ce partenariat réunit le G8 (G7 plus la Russie), les grandes institutions financières internationales et régionales, en l’occurrence le FMI, la Banque mondiale, BEI, BERD entre autres, ainsi que quatre pays arabes. Il s’agit de la Tunisie et de l’Egypte qui ont été rejoints par le Maroc et la Jordanie. Au sommet de Deauville, le 27 mai dernier, les grandes puissances ont promis une aide économique conséquente pour soutenir le «printemps arabe». Le ministre tunisien des Finances, Jalloul Ayed, a évoqué un «package global de 40 milliards de dollars» en faveur de la région.
A Marseille, les autorités égyptiennes, tunisiennes, marocaines et jordaniennes exposeront leurs plans d’action pour la relance économique de leurs pays, et les institutions financières internationales expliqueront comment elles entendent les soutenir. Il s’agira aussi de mettre en place une vraie coordination, chapeautée par le G8, de tous ces acteurs. Les bailleurs de fonds ne devraient pas annoncer de nouvelles promesses de soutien mais le G8 devrait rappeler ce que les différents donateurs sont prêts à apporter pour aider les pays arabes.
El Watan - Rédaction internationale
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