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Une mixture et un orchestre tri-continental. Trois pays, trois continents trois cultures….
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Stella Tanis est violoniste grecque, Stephan Ham est pianiste. Les deux musiciens animeront ce soir à l’auditorium de la Radio algérienne un concert de musique classique.
Entourés de Leur Excellence l’ambassadeur de Grèce et du Canada, du chef de l’Orchestre symphonique national et du maestro Elise Gauthier Villars, les deux artistes ont animé, hier, une conférence de presse. Cette rencontre a permis à l’ambassadeur de Grèce d’expliquer sa démarche d’avoir invité le Canada dans le cadre du 7e festival culturel européen en Algérie : “Le concert que nous organisons avec le concours de l’ambassade du Canada et l’Orchestre symphonique national algérien est l’exemple le plus concret de la coopération artistique. Cette coopération est initiée par l’ambassade de Grèce et de la Commission européenne.” Le concert est, selon l’ambassadeur de la Grèce, “un évènement continental” dans la mesure où des artistes d’Europe, d’Amérique du Nord et d’Afrique se retrouvent autour d’une œuvre musicale. Les musiciens pour leur part souligneront l’importance de ce genre de rencontre dans le but de promouvoir les échanges et les expériences musicales. Stephan Ham exprimera quant à lui sa joie de se produire pour la première fois en Algérie et de se lancer dans cette “belle aventure musicale” qui réunit des musiciens algériens et grecques. “Le 7e Festival européen a été une occasion pour les musiciens de l’Orchestre symphonique national d’être en contact avec des musiciens de différents horizons, notamment avec le musicologue italien Eugenio Bennato et du maestro Nagui Nayer (chef d’orchestre de l’opéra du Caire). Et l’expérience se renouvelle avec deux virtuoses canadien et grecque”, expliquera Abdelkader Bouazama de l’orchestre national. “Le programme de la soirée sera composé d’une sonate pour violon et piano de Demitrius Dayatakis, un concerto de Hidden et en troisième partie une pièce intitulée Le sourire de la Joconde d’un autre compositeur grecque Manos Hadjidoris”, explique l’ambassadeur.
- Liberté
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Stella Tanis est violoniste grecque, Stephan Ham est pianiste. Les deux musiciens animeront ce soir à l’auditorium de la Radio algérienne un concert de musique classique.
Entourés de Leur Excellence l’ambassadeur de Grèce et du Canada, du chef de l’Orchestre symphonique national et du maestro Elise Gauthier Villars, les deux artistes ont animé, hier, une conférence de presse. Cette rencontre a permis à l’ambassadeur de Grèce d’expliquer sa démarche d’avoir invité le Canada dans le cadre du 7e festival culturel européen en Algérie : “Le concert que nous organisons avec le concours de l’ambassade du Canada et l’Orchestre symphonique national algérien est l’exemple le plus concret de la coopération artistique. Cette coopération est initiée par l’ambassade de Grèce et de la Commission européenne.” Le concert est, selon l’ambassadeur de la Grèce, “un évènement continental” dans la mesure où des artistes d’Europe, d’Amérique du Nord et d’Afrique se retrouvent autour d’une œuvre musicale. Les musiciens pour leur part souligneront l’importance de ce genre de rencontre dans le but de promouvoir les échanges et les expériences musicales. Stephan Ham exprimera quant à lui sa joie de se produire pour la première fois en Algérie et de se lancer dans cette “belle aventure musicale” qui réunit des musiciens algériens et grecques. “Le 7e Festival européen a été une occasion pour les musiciens de l’Orchestre symphonique national d’être en contact avec des musiciens de différents horizons, notamment avec le musicologue italien Eugenio Bennato et du maestro Nagui Nayer (chef d’orchestre de l’opéra du Caire). Et l’expérience se renouvelle avec deux virtuoses canadien et grecque”, expliquera Abdelkader Bouazama de l’orchestre national. “Le programme de la soirée sera composé d’une sonate pour violon et piano de Demitrius Dayatakis, un concerto de Hidden et en troisième partie une pièce intitulée Le sourire de la Joconde d’un autre compositeur grecque Manos Hadjidoris”, explique l’ambassadeur.
- Liberté