Le président français Nicolas Sarkozy a fait savoir, ce matin, qu’il prévoyait de se rendre au royaume, fin septembre, pour inaugurer le chantier du TGV Casablanca-Tanger. Cette visite réaffirme l’importance de ce projet dont le coût d’investissement global du Maroc s’élève à 33 milliards de dirhams. Sa mise en service est prévue pour 2015.
En octobre 2007, Nicolas Sarkozy avait fait le déplacement pour la signature de l’accord portant sur la conception, la construction et l’entretien de la ligne TGV. A noter que le roi Mohammed VI était également présent lors de la cérémonie de signature.
L'annonce de cette visite officielle, la deuxième du président français au Maroc, confirme encore une fois l’importance accordée à ce projet, par chacun des gouvernements français et marocain. Si ce projet dotera le Maroc de son premier train à grande vitesse, il devra surtout permettre à la France de refléter son savoir-faire, notamment à l’étranger.
« Le train… c’est la France »
Lors de son déplacement dans le Doubs, Nicolas Sarkozy n’a pas manqué de rappeler les nombreuses compétences de la république en matière de ferroviaire. « Le train n'appartient à aucun, à aucune faction. Le train, c'est la France »,s'est félicité le chef de l'Etat français « La France dispose d'une des industries ferroviaires les plus performantes au monde (..), je vous confirme que nous allons investir comme jamais dans le ferroviaire », a-t-il rajouté.
Le Maroc, pour sa part, a prévu un investissement total de 33 milliards de dirhams, pour financer le projet du TGV.Le groupe français Alstom avait signé, en décembre dernier, une convention pour fournir 14 rames de TGV au gouvernement marocain, contre la somme de 400 millions d’euros, soit plus de 4,5 milliards de dirhams.
Avec une vitesse annoncée de 350 kilomètres par heure, la durée de trajet entre Tanger et Casablanca sera réduite à 2 heures 10 minutes, au lieu de 5 heures 45 minutes. Sa mise en exploitation est prévue pour l'année 2015.
Ghita Ismaili
En octobre 2007, Nicolas Sarkozy avait fait le déplacement pour la signature de l’accord portant sur la conception, la construction et l’entretien de la ligne TGV. A noter que le roi Mohammed VI était également présent lors de la cérémonie de signature.
L'annonce de cette visite officielle, la deuxième du président français au Maroc, confirme encore une fois l’importance accordée à ce projet, par chacun des gouvernements français et marocain. Si ce projet dotera le Maroc de son premier train à grande vitesse, il devra surtout permettre à la France de refléter son savoir-faire, notamment à l’étranger.
« Le train… c’est la France »
Lors de son déplacement dans le Doubs, Nicolas Sarkozy n’a pas manqué de rappeler les nombreuses compétences de la république en matière de ferroviaire. « Le train n'appartient à aucun, à aucune faction. Le train, c'est la France »,s'est félicité le chef de l'Etat français « La France dispose d'une des industries ferroviaires les plus performantes au monde (..), je vous confirme que nous allons investir comme jamais dans le ferroviaire », a-t-il rajouté.
Le Maroc, pour sa part, a prévu un investissement total de 33 milliards de dirhams, pour financer le projet du TGV.Le groupe français Alstom avait signé, en décembre dernier, une convention pour fournir 14 rames de TGV au gouvernement marocain, contre la somme de 400 millions d’euros, soit plus de 4,5 milliards de dirhams.
Avec une vitesse annoncée de 350 kilomètres par heure, la durée de trajet entre Tanger et Casablanca sera réduite à 2 heures 10 minutes, au lieu de 5 heures 45 minutes. Sa mise en exploitation est prévue pour l'année 2015.
Ghita Ismaili
Commentaire