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Une fête de la cerise... sans cerises ! elle aura lieu du 23 au 26 mai prochain à larbaâ nath irathen.
La meme situation se trouve a Ain El Hamam et dans d'autres regions connues par la recolte des cerises.
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Elle est, à vrai dire, loin l’époque où le cerisier était l’arbre le plus présent et son fruit, la cerise, dans toutes ses variétés, occupait la première place dans la production agricole à Larbâa Nath Irathen.
Pourtant, la région s’apprête à célébrer, du 23 au 26 mai, la fête de la cerise, même si sa culture se fait de plus en plus rare depuis quelques années, tendant même à disparaître. Mais, pour les organisateurs, c’est justement dans ce paradoxe que la tenue de cette fête trouve toute son explication. Il s’agit pour eux de réhabiliter la culture du cerisier qui faisait autrefois la fierté de la région, et ce, en incitant au renouvellement des plantations et à engager une lutte accrue contre la maladie du capnode qui est à l’origine de la disparition progressive du cerisier dans cette même région de Larbaâ Nath Irathen, où sa culture n’existe de nos jours que dans quelques villages plutôt limités. Avec la relance de cette culture, les organisateurs comptent également réhabiliter la fête de la cerise, dont la dernière édition remonte à 1974, année depuis laquelle elle a été suspendue suite aux incidents qui ont émaillé, à l’époque, sa célébration.
Au-delà du traditionnel aspect folklorique donné à cette fête, des activités scientifiques sont également prévues au programme, concocté à l’occasion par l’APC de Larbaâ Nath Irathen, organisatrice de l’événement. Plusieurs conférences, dont “La culture du cerisier”, “Le capnode des arbres fruitiers”, “Les financements des activités agricoles et le rôle du Fndra”, seront animées durant ces trois journées par des spécialistes de la Direction des services agricoles de la wilaya, de l’Itaf, de la Srpv, de le Crma et de la Badr. Des activités sportives, une exposition sur les activités artisanales ainsi qu’une campagne de sensibilisation figurent également dans le programme. Pour la clôture de la fête, l’APC compte organiser, comme durant les années 1960 et 1970, un grand gala artistique auquel sont invités de nombreux artistes kabyles, dont Hacène Ahres, Ali Meziane, Rabah Ouferhat et de nombreux autres chanteurs bien connus
- Liberté
La meme situation se trouve a Ain El Hamam et dans d'autres regions connues par la recolte des cerises.
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Elle est, à vrai dire, loin l’époque où le cerisier était l’arbre le plus présent et son fruit, la cerise, dans toutes ses variétés, occupait la première place dans la production agricole à Larbâa Nath Irathen.
Pourtant, la région s’apprête à célébrer, du 23 au 26 mai, la fête de la cerise, même si sa culture se fait de plus en plus rare depuis quelques années, tendant même à disparaître. Mais, pour les organisateurs, c’est justement dans ce paradoxe que la tenue de cette fête trouve toute son explication. Il s’agit pour eux de réhabiliter la culture du cerisier qui faisait autrefois la fierté de la région, et ce, en incitant au renouvellement des plantations et à engager une lutte accrue contre la maladie du capnode qui est à l’origine de la disparition progressive du cerisier dans cette même région de Larbaâ Nath Irathen, où sa culture n’existe de nos jours que dans quelques villages plutôt limités. Avec la relance de cette culture, les organisateurs comptent également réhabiliter la fête de la cerise, dont la dernière édition remonte à 1974, année depuis laquelle elle a été suspendue suite aux incidents qui ont émaillé, à l’époque, sa célébration.
Au-delà du traditionnel aspect folklorique donné à cette fête, des activités scientifiques sont également prévues au programme, concocté à l’occasion par l’APC de Larbaâ Nath Irathen, organisatrice de l’événement. Plusieurs conférences, dont “La culture du cerisier”, “Le capnode des arbres fruitiers”, “Les financements des activités agricoles et le rôle du Fndra”, seront animées durant ces trois journées par des spécialistes de la Direction des services agricoles de la wilaya, de l’Itaf, de la Srpv, de le Crma et de la Badr. Des activités sportives, une exposition sur les activités artisanales ainsi qu’une campagne de sensibilisation figurent également dans le programme. Pour la clôture de la fête, l’APC compte organiser, comme durant les années 1960 et 1970, un grand gala artistique auquel sont invités de nombreux artistes kabyles, dont Hacène Ahres, Ali Meziane, Rabah Ouferhat et de nombreux autres chanteurs bien connus
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