Bonsoir, Abu Dhabi, l'Emirat le plus riche, ne veut pas se laisser dépasser par Dubaï. Faire toujours mieux, c'est ce qu'on devrait faire au Maghreb, au moins égaler la Tunisie, au niveau qualitatif dans tous les domaines. Malheureusement le défi n'est pas relevé.
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Eclipsée par Dubaï, la capitale des Emirats Arabes Unis entend retrouver la position privilégiée qu’elle occupait jusqu’au début des années 90, en particulier en développant le tourisme.
Abou Dhabi est une ville calme et paisible, réputée pour sa qualité de vie. Une cité prospère qui n’affiche pas la richesse insolente que lui offre sa production pétrolière évaluée à 2 millions de barils par jour, le fruit d’un savant mélange entre tradition et modernité voulu par Cheikh Zayed Al Nayan, émir pendant 30 ans, avant de disparaître fin 2004. Le Père de la nation dont les portraits ornent aujourd’hui les rues voulait un développement mesuré, sans excès ni frénésie, harmonieux plutôt que trop ambitieux. A force de sagesse et de modestie, la capitale a perdu la place centrale qu’elle occupait dans la région jusqu’à la fin des années 80, quand elle affichait l’un des revenus par habitant les plus élevés au monde.
Au sein de la fédération de sept émirats, Dubaï lui a damé le pion, grâce à son ouverture et sa stratégie de diversification économique audacieuse. Le port commercial et la zone franche de Jebel Ali en ont ainsi fait le troisième centre mondial de réexportation, le point d’ancrage des multinationales et des banques. Les Cités de l’Internet et des médias lui ont permis d’attirer les plus grands noms du secteur et de devenir un centre névralgique pour la couverture de l’actualité régionale. Depuis quelques années, Dubaï affiche aussi des ambitions démesurées dans le tourisme : 12 millions de visiteurs escomptés en 2012 et des projets pharaoniques qui s’enchaînent. Après les îles palmier et les pistes de ski artificielles, Badawi, la plus longue chaîne d’hôtel du monde, a été lancée en avril. Elle rassemblera 31 établissements, soit 29 200 chambres disponibles à horizon 2015.
La suite...
http://www.rfi.fr/actufr/articles/077/article_43861.asp
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Eclipsée par Dubaï, la capitale des Emirats Arabes Unis entend retrouver la position privilégiée qu’elle occupait jusqu’au début des années 90, en particulier en développant le tourisme.
Abou Dhabi est une ville calme et paisible, réputée pour sa qualité de vie. Une cité prospère qui n’affiche pas la richesse insolente que lui offre sa production pétrolière évaluée à 2 millions de barils par jour, le fruit d’un savant mélange entre tradition et modernité voulu par Cheikh Zayed Al Nayan, émir pendant 30 ans, avant de disparaître fin 2004. Le Père de la nation dont les portraits ornent aujourd’hui les rues voulait un développement mesuré, sans excès ni frénésie, harmonieux plutôt que trop ambitieux. A force de sagesse et de modestie, la capitale a perdu la place centrale qu’elle occupait dans la région jusqu’à la fin des années 80, quand elle affichait l’un des revenus par habitant les plus élevés au monde.
Au sein de la fédération de sept émirats, Dubaï lui a damé le pion, grâce à son ouverture et sa stratégie de diversification économique audacieuse. Le port commercial et la zone franche de Jebel Ali en ont ainsi fait le troisième centre mondial de réexportation, le point d’ancrage des multinationales et des banques. Les Cités de l’Internet et des médias lui ont permis d’attirer les plus grands noms du secteur et de devenir un centre névralgique pour la couverture de l’actualité régionale. Depuis quelques années, Dubaï affiche aussi des ambitions démesurées dans le tourisme : 12 millions de visiteurs escomptés en 2012 et des projets pharaoniques qui s’enchaînent. Après les îles palmier et les pistes de ski artificielles, Badawi, la plus longue chaîne d’hôtel du monde, a été lancée en avril. Elle rassemblera 31 établissements, soit 29 200 chambres disponibles à horizon 2015.
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