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En Libye, Sarkozy dément tout accord secret sur le pétrole

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  • En Libye, Sarkozy dément tout accord secret sur le pétrole

    Nicolas Sarkozy et le premier ministre britannique, David Cameron, sont arrivés
    en Libye, jeudi 15 septembre dans la matinée. Ils se sont retrouvés à Tripoli, avant de partir pour Benghazi, siège du Conseil national de transition libyen.

    Lors d'une conférence de presse, le chef de l'Etat a demandé qu'il n'y ait "pas de vengeance, pas de règlements de comptes" en Libye. "Nous appelons tous les pays ayant sur leur sol des personnes recherchées à travailler avec les instances internationales pour que chacun ait à rendre des comptes sur ce qu'il a fait", a-t-il ajouté, affirmant que le colonel Kadhafi "doit être arrêté". La Cour pénale internationale a lancé des mandats d'arrêt internationaux contre l'ancien dirigeant libyen, qui n'a pas été vu en public depuis juin, et certains de ses proches.


    M. Sarkozy a démenti l'existence d'un accord secret de partage des richesses en hydrocarbures de la Libye avec les pays qui, comme la France et la Grande-Bretagne, ont aidé l'insurrection qui a renversé le régime du colonel Kadhafi. "Je voudrais dire à l'ensemble des opinions publiques arabes qui nous écoutent qu'il n'y a eu aucun accord, qu'il n'y a eu aucun dessous-de-table quant aux richesses de la Libye, que nous-mêmes nous ne demandons aucune préférence et aucun passe-droit, a-t-il dit. Nous avons fait ce que nous avons eu à faire parce que nous pensions que c'était juste (...). Ce que décidera le gouvernement [libyen] sera bien et s'il veut faire confiance à nos entreprises, nous en serons très heureux."


    Libération avait publié le 1er septembre une lettre attribuée au CNT promettant à la France 35 % du pétrole brut libyen en échange de son soutien à l'insurrection. "Quant aux documents publiés par une certaine presse, ce sont des faux, c'est une manipulation", a lancé Nicolas Sarkozy.

    UNE GUERRE TRÈS PERSONNELLE


    Cette visite marque l'aboutissement pour Nicolas Sarkozy d'une guerre très personnelle, menée à travers l'OTAN, dans laquelle il s'est investi comme rarement un chef d'Etat occidental l'a fait depuis vingt ans. Il en a été l'instigateur et a suivi au quotidien l'évolution des lignes de front. Il y a vu une occasion de relancer l'histoire des relation entre la France et le monde arabe et d'inscrire sa présidence dans l'histoire française

    Dans le récit que font les autorités françaises de la guerre certains points paraissent néanmoins incohérents. M. Sarkozy a fait du renversement de Mouammar Kadhafi une justification a posteriori de sa décision de réengager la France dans l'OTAN. L'Elysée avait pourtant d'abord été tenté de s'engager en Libye hors du cadre de l'Alliance atlantique, aux côtés du Royaume-Uni. Le chef de l'Etat ne s'y était résolu qu'après un refus britannique. Le récit français tend également à minimiser le rôle réel joué par les Etats-Unis dans cette guerre, dont l'appui technologique et militaire discret aura été crucial.

    La visite de Nicolas Sarkozy et David Cameron relance également les spéculations sur l'après-guerre et la redistribution de la manne pétrolière libyenne par le nouveau gouvernement issu de la rébellion. En privé, le président français refuse d'entendre parler d'une guerre menée "pour le pétrole". Mais les entreprises françaises, notamment Total, pourraient bénéficier du soutien politique puis militaire apporté à la rébellion dès février 2011.


    Le Monde.fr

  • #2
    Nous avons fait ce que nous avons eu à faire parce que nous pensions que c'était juste (...). Ce que décidera le gouvernement [libyen] sera bien et s'il veut faire confiance à nos entreprises, nous en serons très heureux."
    il ne faut pas être seulement naif, mais surtout débile pour croire á ces bodards sorkoziens!

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    • #3
      "Je voudrais dire à l'ensemble des opinions publiques arabes qui nous écoutent qu'il n'y a eu aucun accord, qu'il n'y a eu aucun dessous-de-table quant aux richesses de la Libye, que nous-mêmes nous ne demandons aucune préférence et aucun passe-droit, a-t-il dit. Nous avons fait ce que nous avons eu à faire parce que nous pensions que c'était juste (...). Ce que décidera le gouvernement [libyen] sera bien et s'il veut faire confiance à nos entreprises, nous en serons très heureux."
      1/menteur comme un arracheur de dents .
      2/Trop flatteur par intérêt pour être sincère ..

      Sarko attaché à sa proie facile ( pauvre Mustapha Abel Jalil ) , Sarko n est qu un charognard perfide et dangereux dans la région maghrébine .
      A qui sait comprendre , peu de mots suffisent

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      • #4
        eh oui , c vraiment demandè au pauvres loups de garder le troupeaux.sarko ne crois pas ses yeux,il est tellement emmue est content quand vois la salive couler de ca bouche.

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        • #5
          En Libye, Sarkozy dément tout accord secret sur le pétrole

          évidemment qu'il nie. mais tout le monde sait bien que l'enjeu en Libye c'est le pétrole. ce n'est pas un secret. pas de problème.

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