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Le journal hébreu Maariv observe de près la crise diplomatique que l’Entité sioniste et plusieurs pays, suite aux révolutions arabes. Le journal remarque qu’en deux semaines seulement, trois ambassadeurs et leurs équipes ont été chassés.
Dans son numéro du jeudi 15 septembre 2011, le journal a exprimé son inquiétude de voir les relations israéliennes au point fixe avec la Jordanie, de voir la Jordanie comme le troisième pays desquels des diplomates israéliens se trouvent obligés de fuir, en deux semaines.
En effet, avant la Jordanie, c’est au Caire, la capitale égyptienne, que les manifestants ont envahi l’ambassade, poussant l’ambassadeur à quitter le pays en urgence. En deux semaines, la Turquie a chassé l’ambassadeur israélien, une sorte de réplique au refus du mouvement sioniste de présenter ses excuses pour la mort de neuf Turcs, tués lors de l’attaque sioniste contre la flottille internationale "Liberté", en mai de l’année dernière.
Notons que l’ambassade sioniste dans la capitale jordanienne Amman a fermé ses portes, jeudi 15 septembre 2011. L’ambassade, les diplomates et les fonctionnaires de l’ambassadeur ont fui le pays, de peur d’une manifestation populaire de grande envergure s’orientant vers le lieu où se trouve l’ambassade, dans le quartier Ar-Rabia, à l’ouest de la capitale.
Dans le même contexte, le journal hébreu Yediot Ahronot a rapporté, de sources bien informées du ministère des affaires étrangères sioniste, que les relations entre "Israël" et la Jordanie sont dans « une crise très difficile ».
Le journal a montré son appréhension vis-à-vis d’un rassemblement populaire devant l’ambassade israélienne à Amman, surtout du fait que les organisateurs avaient déclaré leur intention d’arracher le drapeau israélien hissé sur le bâtiment de l’ambassade israélienne, d’envahir l’ambassade, à l’instar de ce qui s’est passé au Caire.
Auparavant, des activistes jordaniens appelaient, via le réseau social Facebook, à une rassemblement de plusieurs millions pour fermer l’ambassade sioniste. Beaucoup ont répondu présents, pour l’annulation du traité de Wadi Araba entre la Jordanie et "Israël" et la fermeture de l’ambassade.
Cet appel a suscité une réaction d’appréhension de la part de l’Entité sioniste. Le ministère israélien des affaires étrangères s’est trouvé obligé de fermer son ambassade et de retirer les diplomates de la Jordanie, avant que le ciel ne leur tombe sur la tête, comme cela a été le cas en Egypte lorsque des manifestants ont envahi l’ambassade sioniste au Caire et déchiré son drapeau en mille morceaux.
centre palestinien d'information
Dans son numéro du jeudi 15 septembre 2011, le journal a exprimé son inquiétude de voir les relations israéliennes au point fixe avec la Jordanie, de voir la Jordanie comme le troisième pays desquels des diplomates israéliens se trouvent obligés de fuir, en deux semaines.
En effet, avant la Jordanie, c’est au Caire, la capitale égyptienne, que les manifestants ont envahi l’ambassade, poussant l’ambassadeur à quitter le pays en urgence. En deux semaines, la Turquie a chassé l’ambassadeur israélien, une sorte de réplique au refus du mouvement sioniste de présenter ses excuses pour la mort de neuf Turcs, tués lors de l’attaque sioniste contre la flottille internationale "Liberté", en mai de l’année dernière.
Notons que l’ambassade sioniste dans la capitale jordanienne Amman a fermé ses portes, jeudi 15 septembre 2011. L’ambassade, les diplomates et les fonctionnaires de l’ambassadeur ont fui le pays, de peur d’une manifestation populaire de grande envergure s’orientant vers le lieu où se trouve l’ambassade, dans le quartier Ar-Rabia, à l’ouest de la capitale.
Dans le même contexte, le journal hébreu Yediot Ahronot a rapporté, de sources bien informées du ministère des affaires étrangères sioniste, que les relations entre "Israël" et la Jordanie sont dans « une crise très difficile ».
Le journal a montré son appréhension vis-à-vis d’un rassemblement populaire devant l’ambassade israélienne à Amman, surtout du fait que les organisateurs avaient déclaré leur intention d’arracher le drapeau israélien hissé sur le bâtiment de l’ambassade israélienne, d’envahir l’ambassade, à l’instar de ce qui s’est passé au Caire.
Auparavant, des activistes jordaniens appelaient, via le réseau social Facebook, à une rassemblement de plusieurs millions pour fermer l’ambassade sioniste. Beaucoup ont répondu présents, pour l’annulation du traité de Wadi Araba entre la Jordanie et "Israël" et la fermeture de l’ambassade.
Cet appel a suscité une réaction d’appréhension de la part de l’Entité sioniste. Le ministère israélien des affaires étrangères s’est trouvé obligé de fermer son ambassade et de retirer les diplomates de la Jordanie, avant que le ciel ne leur tombe sur la tête, comme cela a été le cas en Egypte lorsque des manifestants ont envahi l’ambassade sioniste au Caire et déchiré son drapeau en mille morceaux.
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