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Sortie du sable il y a 26 ans, Emirates, déchaine les passions, entre ses détracteurs, qui l’accuse régulièrement de concurrence déloyale et ses admirateurs, qui année après année, ne peuvent que saluer, ses performances. En à peine, un quart de siècle, la compagnie de Dubaï est devenue, la plus importante du monde par son trafic international. Et si comme, les autres, elle a du faire face à la flambée des prix du pétrole, aux tremblements de terre, aux bouleversements politiques ou autres aléas, qui ont durement frappé le transport aérien, Emirates traverse les crises sans jamais vaciller.
Emirates appartient à 100% au gouvernement de Dubaï, autrement dit, la monarchie régnante, la famille Al-Maktoum, qui à fait sortir le petit Emirat de son anonymat géographique. Mais c’est un britannique pur jus, qui dirige, la compagnie, un certain Tim Clark, 61 ans, un ancien de British Airways, puis de Gulf Air. Pierre Sparaco, ex- correspondant à Paris, du magazine Aviation Week.
En octobre 1985 lorsqu’Emirates a été créée, la famille Al Maktoum, n’avait qu’une seule obsession : Préparer l’après-pétrole. Car contrairement, à certaines idées reçues, Dubaï ne dispose plus d’or noir depuis la fin des années 70. Pour prospérer l’Emirat a donc du investir pour se devenir une plaque tournante des affaires et du tourisme. Sans cesse, la compagnie tisse sa toile. De loin, le plus gros client d’airbus, elle a affiché, en 2010 et pour la 23eme année consécutive des bénéfices records, un milliard six cents millions de dollars pour un chiffre d’affaires de plus de 15 milliards.
« Même dans mes rêves, les plus fous, je n’aurais jamais imaginé que l’entreprise atteindrait cette taille monstrueuse assure Tim Clark, d’abord chargé de la planification des vols. Et on a beau chercher la faille, la trace de subventions cachées, d’aides indirectes, ou de violations des conventions internationales, on ne trouve rien de discutable, rien de répréhensible.
France Info
Emirates appartient à 100% au gouvernement de Dubaï, autrement dit, la monarchie régnante, la famille Al-Maktoum, qui à fait sortir le petit Emirat de son anonymat géographique. Mais c’est un britannique pur jus, qui dirige, la compagnie, un certain Tim Clark, 61 ans, un ancien de British Airways, puis de Gulf Air. Pierre Sparaco, ex- correspondant à Paris, du magazine Aviation Week.
En octobre 1985 lorsqu’Emirates a été créée, la famille Al Maktoum, n’avait qu’une seule obsession : Préparer l’après-pétrole. Car contrairement, à certaines idées reçues, Dubaï ne dispose plus d’or noir depuis la fin des années 70. Pour prospérer l’Emirat a donc du investir pour se devenir une plaque tournante des affaires et du tourisme. Sans cesse, la compagnie tisse sa toile. De loin, le plus gros client d’airbus, elle a affiché, en 2010 et pour la 23eme année consécutive des bénéfices records, un milliard six cents millions de dollars pour un chiffre d’affaires de plus de 15 milliards.
« Même dans mes rêves, les plus fous, je n’aurais jamais imaginé que l’entreprise atteindrait cette taille monstrueuse assure Tim Clark, d’abord chargé de la planification des vols. Et on a beau chercher la faille, la trace de subventions cachées, d’aides indirectes, ou de violations des conventions internationales, on ne trouve rien de discutable, rien de répréhensible.
France Info