Après six mois de combat, la révolution Syrienne n'a pas besoin des gesticulations suspectes d'arrivistes sur-médiatisés.
1) L'occident dans le cas de la Syrie sera guidé, plus que partout ailleur, par la défense de la sécurité d'Israel.
2) Le caractère pacifique du combat démocratiques de masse en Syrie est assumé par la Rue, dans sa diversité, comme une caractéristique essentielle de sa révolution. L'idée de militarisation y est rejeté avec force.
3) La tentative de polarisation de la scène Syrienne autour de l'antagonisme Laïcs/Islamistes est décalée par rapport à la réalité du terrain. Les islamistes se trouvent à la traine de la révolution (Sinon on peut leur faire confiance : la militarisation serait déjà-là) et leur souci n'est plus que de ne pas rester en marge de la dynamique historique de dépassement du régime despotique de Assad.
4) La radicalité de la révolution démocratique de Syrie, dérange l'occident, la Turquie, Israël, l'Iran, les régimes conservateurs arabes, et les régimes transitoires dans cette région. C'est le pôle démocratique du printemps arabe dont "personne" ne veux. Il doit être cassé (par le piège de la militarisation) ou dompté (par l'infléchissement de sa position sur le départ du régime).
1) L'occident dans le cas de la Syrie sera guidé, plus que partout ailleur, par la défense de la sécurité d'Israel.
2) Le caractère pacifique du combat démocratiques de masse en Syrie est assumé par la Rue, dans sa diversité, comme une caractéristique essentielle de sa révolution. L'idée de militarisation y est rejeté avec force.
3) La tentative de polarisation de la scène Syrienne autour de l'antagonisme Laïcs/Islamistes est décalée par rapport à la réalité du terrain. Les islamistes se trouvent à la traine de la révolution (Sinon on peut leur faire confiance : la militarisation serait déjà-là) et leur souci n'est plus que de ne pas rester en marge de la dynamique historique de dépassement du régime despotique de Assad.
4) La radicalité de la révolution démocratique de Syrie, dérange l'occident, la Turquie, Israël, l'Iran, les régimes conservateurs arabes, et les régimes transitoires dans cette région. C'est le pôle démocratique du printemps arabe dont "personne" ne veux. Il doit être cassé (par le piège de la militarisation) ou dompté (par l'infléchissement de sa position sur le départ du régime).
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