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Sila 2011

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  • Sila 2011

    Bonsoir les Algérois et visiteurs :

    Ouverture aujourd'hui du SALON DU LIVRE au "Complexe du 5 Juillet" et ce jusqu'à la fin du mois.

  • #2
    Sila 2011

    J'y suis passé ce matin, pas grand chose d’intéressant, mais quelques petites nouveautés chez Gallimard et chez Hachette.

    Ça vaut un peu lé détour je trouve, mais qui n'y va pas ne rate pas grand chose non plus.
    "L'armée ne doit être que le bras de la nation, jamais sa tête" [Pio Baroja, L'apprenti conspirateur, 1913]

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    • #3
      Bonsoir

      Après des heures de "sauna", j'ai trouvé de la lecture pour les prochains mois.

      Mardi a.m. c'est au tour des enfants.
      Envoyé par Harrachi
      Ça vaut un peu lé détour je trouve, mais qui n'y va pas ne rate pas grand chose non plus.
      Oui si on recherche les dernières parutions.

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      • #4
        @Fahala

        En effet, il eut pas mal de nouveautés contrairement aux années passées.

        Moi, en tout cas, j'en suis sorti avec trois titres que je n'attendais pas spécialement :

        Le Maghreb à l’Épreuve de la Colonisation
        Daniel Rivet, Hachette Littérature

        Al-Andalus, Une Histoire de l'Espagne musulmane
        Pierre Guichard, Hachette Littérature

        Guillaume le Maréchal
        Georges Duby, Folio Histoire
        "L'armée ne doit être que le bras de la nation, jamais sa tête" [Pio Baroja, L'apprenti conspirateur, 1913]

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        • #5
          Harrachi Bonsoir

          En cherchant bien on fini par trouver des petits trésors.
          Une seule journée ne suffit pas, j'y retourne demain et jeudi.
          A part un dictionnaire Anglais-Français. je n'ai pris que des livres des Editeurs Algériens, quelques romans et, un très bel ouvrage sur ma ville (Constantine).

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          • #6
            Moi je pense qu'il vaut mieux rester fidèle à son ou ses libraires. Surtout que la foire n'offre pas de rabais considérable, ni même pour les enfants.
            Ask not what your country can do for you, but ask what you can do for your country.

            J.F.Kennedy, inspired by Gibran K. Gibran.

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            • #7
              Bonsoir Djamel

              L'un n'empêche pas l'autre.
              Le Salon permet de découvrir des éditeurs qui ne sont pas distribués (même à Alger).
              Pour les prix les livres sont de -10% (et +) à la Foire, vente directe.

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              • #8
                je serais au rendez-vous demain, in cha'a Allah.
                Ask not what your country can do for you, but ask what you can do for your country.

                J.F.Kennedy, inspired by Gibran K. Gibran.

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                • #9
                  Bonsoir Djamal

                  Très bonne idée, vendredi et samedi il y aura trop de monde.
                  Je n'ai pas visité tous les stands, donc demain le dernier jour pour moi, j'adore cette ambiance.

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                  • #10
                    Qui joue au 5 juillet pour qu’il y ait autant de monde ?

                    Une rencontre avec le livre tout simplement

                    Par : Outoudert Abrous - Liberté

                    L’embouteillage commence à l’entrée de l’autoroute qui mène au stade olympique. De là, on voit déjà que les espaces de stationnement sont complets. D’ailleurs, beaucoup de personnes attendent sur le bas-côté de l’autoroute les conducteurs à qui ils ont donné rendez-vous.
                    Il est vrai aussi que le week-end se prêtait à une sortie familiale qui sort du cadre… rendre visite à la famille. Et à l’éternelle question : où aller ? Le Salon international du livre. Les immenses chapiteaux ont donné une dimension humaine à ces grands espaces qu’on ne soupçonnait pas capables d’abriter un aussi grand événement. La météo de ce mois de septembre clément a invité les familles à prendre un café en plein air. Pour certains, joindre l’utile (acheter des livres) à l’agréable (sortir avec les enfants), ce sont des moments si rares qu’ils en profitent. Aussitôt engouffrés dans l’immense bug du royaume de l’écrit, on oublie la chaleur étouffante malgré les efforts des gigantesques climatiseurs, la moiteur qui colle à la peau comme le livre. Des livres, il y en a pour tous et pour tous les goûts. Pour les petits et les grands. Et les deux se bousculent pour approcher des stands, toucher les ouvrages, les feuilleter, les sentir. On se sent réconcilié avec la normalité, avec les gens des livres. Dans moins d’une semaine, ces grands espaces retomberont en jachère stérile dans l’attente d’une prochaine semence.
                    Que la lecture commence à l’école et le livre trouvera preneur
                    Combien d’écoles possèdent une bibliothèque et un fonds même modeste, juste pour attirer l’attention de l’écolier et lui rappeler qu’à côté de la télé et d’Internet, il y a l’ancêtre du savoir : le livre. Que ce dernier ne se réduit pas aux livres d’école où il n’y a que des leçons à se farcir selon un calendrier à la spartiate. Il y a aussi ces objets du plaisir où l’évasion est garantie, la connaissance et l’ouverture sur l’autre sont assurées. Il y a aussi les bibliothèques communales, malheureusement, pour la plupart elles ne restent ouvertes que pour permettre aux candidats aux examens de venir réviser dans le calme. Il y a moins de bibliothèques que de communes mais plus de fast-foods et de taxiphones que de communes. Paradoxe ? Non, pour la simple raison que l’on peut postuler à des avantages Ansej pour ces projets, mais pas pour ouvrir une librairie. Cette dernière ne suscite pas beaucoup d’attirance et c’est là que devrait intervenir l’État, puissance publique, tant au niveau national que local. Cession de local sans passer par l’appel d’offres, exonération d’impôts, mise en place d’un chèque livre, vente du livre scolaire avec un prix public affiché et enfin ne seront libraires que les universitaires de niveau licence minimum qui sont chômeurs par légions.

                    Lire c’est comme le service national, une obligation
                    On avait tant parlé que la lecture sera une matière obligatoire, à partir de cette année. Mais est-ce le cas ? Chaque élève aura à lire quatre livres par an minimum avec fiches de lecture et une notation qui sera portée sur le bulletin de notes. En Iran, il y a 17 000 éditeurs et la lecture obligatoire. Le secteur de la culture dans les pays à faible développement reste le parent pauvre, même si la richesse est ostentatoire et que le rechargement d’une puce de téléphone passe avant l’achat d’un livre. Pays riche, combien coûtera à l’État un investissement de 1000 librairies à donner en gérance à 1000 Algériens. Il n’en coûtera rien. C’est ce même État qui s’enrichira d’avoir créé de l’emploi d’une part et de permettre un riche labour pour les générations à venir, d’autre par
                    t.
                    "Tout ce que je sais, c'est que je ne sais rien."
                    Socrate.

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                    • #11
                      Bonsoir

                      Clôture du Salon ce soir.
                      Un grand "cru" (pour moi)
                      A l'année prochaine nchallah.

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