Juste après la victoire de Barak Obama aux présidentielles des USA de 2008, combien fut la joie des peuples opprimés et assoiffés de liberté ! Tous attendaient de lui un meilleur sort alors qu’ils avaient, auparavant, perdu l’espoir dans ce monde sans merci. Un homme de couleur ayant des origines africaines et musulmanes, on ne pouvait que croire en lui. Ses premiers discours ont suffit, à eux seuls, pour recevoir un prix Nobel de la paix, tant "le monde de la paix" attendait en lui, un homme de paix.
Trois ans après, qu’a-t-il apporté, particulièrement pour nous? Je ne vais pas tracer son parcours. Je m’arrête et me suffit de cette seule et dernière action qu’il vient d’entreprendre, à savoir rejeter l’initiative de Mahmoud Abbas à reconnaître par l’ONU, l’état palestinien. Il a déclaré "qu’une véritable paix ne peut être obtenue qu’entre les israéliens et les palestiniens eux-mêmes". En d’autres termes, il veut d’un statut quo dans lequel les négociations ont perduré, tant Israël campe sur ses positions: continuer sa colonisation et refuser de revenir en arrière, bafouant par là toutes les résolutions de l’Organisation des Nations Unies. Natanyahu était aux anges et a salué l’opposition de Barak Obama à la démarche palestinienne. "Je pense que c’est à votre honneur, et je vous remercie", lui a-t-il dit.
Cette illustration dans le parcours d’Obama démontre que, dès qu’un américain est élu, il devient, de facto, un agent d’Israël. Nous n’avons pas à nous leurrer, il n’y a pas d’équité et nous n’avons rien à attendre d’un américain ou de son semblable, quelle que soit son origine.
Trois ans après, qu’a-t-il apporté, particulièrement pour nous? Je ne vais pas tracer son parcours. Je m’arrête et me suffit de cette seule et dernière action qu’il vient d’entreprendre, à savoir rejeter l’initiative de Mahmoud Abbas à reconnaître par l’ONU, l’état palestinien. Il a déclaré "qu’une véritable paix ne peut être obtenue qu’entre les israéliens et les palestiniens eux-mêmes". En d’autres termes, il veut d’un statut quo dans lequel les négociations ont perduré, tant Israël campe sur ses positions: continuer sa colonisation et refuser de revenir en arrière, bafouant par là toutes les résolutions de l’Organisation des Nations Unies. Natanyahu était aux anges et a salué l’opposition de Barak Obama à la démarche palestinienne. "Je pense que c’est à votre honneur, et je vous remercie", lui a-t-il dit.
Cette illustration dans le parcours d’Obama démontre que, dès qu’un américain est élu, il devient, de facto, un agent d’Israël. Nous n’avons pas à nous leurrer, il n’y a pas d’équité et nous n’avons rien à attendre d’un américain ou de son semblable, quelle que soit son origine.
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