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Les relations bilatérales au centre d'entretiens entre M. Biadillah et l'ambassadeur d'Algérie

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  • Les relations bilatérales au centre d'entretiens entre M. Biadillah et l'ambassadeur d'Algérie

    Les relations bilatérales au centre d'entretiens entre M. Biadillah et l'ambassadeur d'Algérie au Maroc


    Rabat, 28/09/11- Les relations bilatérales et les défis communs ont été au centre d'un entretien, mercredi à Rabat, entre le président de la Chambre des conseillers, M. Mohamed Cheikh Biadillah, et l'ambassadeur d'Algérie au Maroc, M. Ahmed Benyamina.


    Lors de cette entrevue, l'accent a été mis sur les différents aspects des relations bilatérales, sur les conséquences du printemps arabe dans la région maghrébine et les défis communs de développement et de sécurité et leur impact sur la région, indique un communiqué de la Chambre des conseillers.
    M. Biadillah a mis en relief les grands chantiers de réformes engagées dans différents domaines au Maroc, sous la conduite éclairée de SM le Roi Mohammed VI, qui ont été sanctionnées par un référendum favorable à l'amendement de la constitution qui a permis au Royaume d'intégrer le club des pays démocratiques.
    L'ambassadeur d'Algérie a, de son côté, souligné la profondeur et l'intensité des relations humaines et historiques liant les deux pays, et a relevé que les mutations en cours dans le monde arabe nécessitent d'enclencher une réflexion sur le développement et le renforcement du partenariat bilatéral afin de faire face au défis à venir.


    MAP

  • #2
    c'est assez louche, pour moi en tout cas

    Commentaire


    • #3
      ça fait 32 ans que ça dure
      il faut interrompre toute relation diplomatique avec alger et chacun pour soi

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      • #4
        @Maghreb -United
        la MAP un article qui dénigre gratuitement l Algérie ..
        un autre par la MAP qui joue à autre chose : enchanter le royaume vs l ambassadeur d Algérie
        MAP = Makhzen Arabe Propagande ( tout va très bien au royaume et tout va mal en Algerie )


        *Chanson périmée au Maroc .. ce n est plus le temp que le peuple marocain gobe toutes les couleuvres du Makhzen ..
        A qui sait comprendre , peu de mots suffisent

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        • #5
          Houari, change mec, diversifie un peu tes propos, j'ai l'impression que t'es un bot, ta parlotte est tellement prévisible ..

          Allez impressionne-nous pour une fois..

          Commentaire


          • #6
            la MAP un article qui dénigre gratuitement l Algérie ..
            un autre par la MAP qui joue à autre chose : enchanter le royaume vs l ambassadeur d Algérie
            MAP = Makhzen Arabe Propagande ( tout va très bien au royaume et tout va mal en Algerie )


            *Chanson périmée au Maroc .. ce n est plus le temp que le peuple marocain gobe toutes les couleuvres du Makhzen ..
            t'as lu au moins

            la reponse etait dans l'autre fichier, t'as raté ton copier coller cette fois

            Commentaire


            • #7
              c'est assez louche, pour moi en tout cas

              d autant plus que le Fihri s est allé encore une fois, pleurnicher auprés de Ban ki Moo à cause des frontiéres entre l algérie et le Maroc ferméesje ne comprends pas comment on peut exploiter un drame humain, qui se résume dans les souffrance des familles déchirées dans les pays, à des fins politiques
              بارد وسخون
              M.Alhayani

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              • #8
                @Maghreb -United
                deux articles par la MAP , contradictoire
                1/ critiquer l Algerie
                2/vanter le Roi et le royaume vs l ambassadeur d Algerie au Maroc

                **Fakou !
                A qui sait comprendre , peu de mots suffisent

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                • #9
                  Pour que cette rencontre soit vraiment un évènement qui à de l'importance,il faut se poser la question;quel est le poids du président du sénat Marocain?

                  Et quel est le poids du sénat au Maroc?

                  Je suit sur que l'objet de la rencontre se limite à de simple mondanités,comme l’échange de visites entre les deux chambres hautes des deux pays.
                  "Les petits esprits parlent des gens, les esprits moyens parlent des événements, les grands esprits parlent des idées, et les esprits supérieurs agissent en silence."

                  Commentaire


                  • #10
                    Et quel est le poids du sénat au Maroc?
                    Rien , c était un simple contact avec l ambassadeur d Algérie au Maroc

                    *le Hic , la MAP a eu un prétexte pour faire l eloge du royaume en l injectant sur le compte de l ambassadeur d Algerie .

                    *deux articles de la MAP
                    le premier , la MAP critique l Algérie , le deuxième prend l ambassadeur d Algerie pour témoin , afin de vanter le Roi M6

                    Fakou !
                    A qui sait comprendre , peu de mots suffisent

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                    • #11
                      @houari
                      Citation:
                      Et quel est le poids du sénat au Maroc?
                      Rien , c était un simple contact avec l ambassadeur d Algérie au Maroc
                      exacte, mais c'est un contact entre un symbole et un simple ambassadeur.
                      pour t'aider un extrait d'interview qu'il a donné en 2009

                      Vous étiez parmi les étudiants qui, à Rabat, fin des années 1960-début des années 1970, ont jeté les bases de ce qui allait devenir le Polisario…
                      Au départ, nous avons formé un groupe qui s’appelait le Mouvement embryonnaire pour la libération du Sahara, et c’est moi, étudiant en médecine, qui avais suggéré d’introduire le qualificatif « embryonnaire » pour marquer que nous n’étions qu’au début et que notre action devait se développer. Il faut rappeler que l’objectif que nous nous assignions, « la libération du Sahara », ne signifiait nullement l’indépendance. L’intégration du « Sahara espagnol » au Maroc allait de soi. Le Sahara devait rejoindre le royaume comme l’avaient déjà rejoint les autres zones du Sud occupées par l’Espagne : Tarfaya en 1958 ou Sidi Ifni en 1969. L’expression « libération du Sahara » n’était pas entachée de la suspicion et de l’ambiguïté, qui ne sont apparues qu’à partir de 1975.
                      Donc, c’était à Rabat en 1969. Il y avait Omar Hadrami [qui s’appelait encore Mohamed Ali Al Adhmi, l’un des principaux dirigeants du Polisario, qui se ralliera au Maroc à la fin de 1980], Mustapha Sayed El Ouali [le premier chef du Polisario, mort au combat en Mauritanie en 1976], Ma’laïnine Ma’laïnine [qui siège au Corcas, le Conseil royal consultatif des affaires sahariennes] et moi-même. En 1972, El Ouali sort du Maroc et fait un périple qui le conduit en Europe, en Algérie et en Libye. Le royaume vivait entre deux tentatives de coup d’État : Skhirat en juillet 1971 et l’attentat du Boeing royal en août 1972. Une manifestation organisée à notre initiative en juin 1972 à Tan Tan, dans le Sud, précipite les événements. El Ouali nous fait parvenir un message pour nous dire qu’il a des « informations stratégiques » à nous communiquer mais qu’il ne peut le faire qu’à l’extérieur. Parmi ceux qui ont reçu le message, Mohamed Salem Ould Salek [dirigeant du Polisario] et Mohamed Abdelaziz [son actuel chef] qu’on appelait à l’époque Mohamed Reguibi, alias H’Medtou. Je suis sorti clandestinement à travers le Sahara et la Mauritanie, où j’ai été arrêté en mars 1973. J’ai retrouvé en prison, à Bir Moghrein, Omar et Abdelaziz. C’est là que j’ai appris les événements de Dar Bouazza [tentative d’implantation de maquis par le Fqih Mohamed Basri]. Libéré après dix jours, je n’ai pas revu El Ouali. Auprès des autres, j’ai défendu l’idée de revenir au Maroc. Ils ne m’ont pas écouté, convaincus qu’ils seraient liquidés à leur arrivée. El Ouali avait opté pour la révolution armée, qui, disait-il alors, devait embraser toute la région.
                      Je suis rentré par Laayoune, où j’ai été interpellé par l’armée espagnole, qui m’a livré aux autorités marocaines. Après quelques péripéties pénibles, j’ai été libéré.



                      Vous avez un frère au Polisario…
                      Pas un, trois ! Notre famille a été déchiquetée par le conflit du Sahara. L’aîné, Mohamed, vit en Mauritanie. Un autre, Hassan, a représenté le Polisario à Madagascar avant de s’installer en Espagne. Brahim est le chef de la 2e région militaire et siège au bureau politique du Polisario. J’ai un quatrième frère, Daha, qui a fait des études à Cuba et enseigne aujourd’hui à Tindouf.



                      Vous gardez des relations avec vos frères Polisario ?
                      J’ai eu l’occasion de les voir pendant le « processus d’identification » du corps électoral organisé par l’ONU en vue du référendum qui s’est déroulé entre 1994 et 1998 à Tindouf. Je représentais le Maroc et eux étaient de l’autre côté.



                      Vous avez parlé avec Brahim ?
                      Pas vraiment. Mais j’ai soigné ses filles – mes nièces. L’histoire de notre famille est très douloureuse.

                      Lire l'article sur Jeuneafrique.com

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