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La decapitation d'une syrienne de 18 ans passe inapercu

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  • La decapitation d'une syrienne de 18 ans passe inapercu

    Malheuresement, je ne vois pas beaucoup de depeches, de condamnations, de premiere page d'une jeune syrienne de 18 ans zainab el hosni

    La police secrete a investi l'appartement familiale, ne trouvant pas de traces de freres, ils ont kidnappé la soeur, quelques jours plus tard alors que la famille recupere le corps de son frere mort sous detention, la morgue leur livre le corps de la jeune fille décapité et demembré.

    Aucune une a la television ou dans les grands journaux pour ce crime abjecte, de la part d'une famille au pouvoir abjecte.



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    Zainab Al-Hosni, martyre de la révolution syrienne

    Il s’agit, selon Amnesty International, de la première femme à mourir en détention depuis le début du soulèvement en Syrie. Originaire de la ville de Homs, Zainab Al-Hosni avait 18 ans. Son corps mutilé a été découvert par ses parents le 13 septembre alors qu’ils avaient été convoqués à l’hôpital pour y identifier celui de son frère Mohammed, lui-aussi arrêté et mort en détention sous la torture.
    Dans ce message vidéo diffusé sur Internet, leur frère Youssef témoigne. Il déclare que sa sœur a été enlevée le 27 juillet dernier pour inciter Mohammed à cesser ses actions militantes et à se rendre. Il décrit ensuite les stigmates que portaient les cadavres de ses deux proches, affirmant que Zainab avait été retrouvée décapitée, démembrée et écorchée.
    Sa mort illustre la façon dont les familles d’activistes sont prises pour cible par le pouvoir, les représailles pouvant aller de menaces par téléphone au passage à tabac, voire même jusqu’au meurtre.
    Le cas de Zainab Al-Hosni a suscité beaucoup d’émotion parmi les cyberactivistes syriens, choqués par les images de son corps qui circulent sur le Web. Une page Facebook a ainsi été créée en hommage à celle qui est désormais surnommée « la fleur de la Syrie ». Et à l’image de Hamza Al Khatib, un enfant de 13 ans torturé à mort par les forces de sécurité, la jeune femme est elle aussi devenue un symbole de la sanglante répression du régime.
    Peu après son enterrement la semaine dernière, des centaines de femmes se sont ainsi rassemblées à Homs pour saluer sa mémoire et dénoncer la violence exercée par le pouvoir contre son peuple

    France24

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    La découverte du corps mutilé d'une femme témoigne une nouvelle fois de la brutalité des forces syriennes


    Amnesty International dévoile vendredi 23 septembre de nouvelles preuves de l'extrême brutalité à laquelle font face les manifestants syriens et leurs familles.



    Amnesty International dévoile vendredi 23 septembre de nouvelles preuves de l'extrême brutalité à laquelle font face les manifestants syriens et leurs familles.

    Le corps mutilé de Zainab al Hosni, 18 ans, originaire de Homs, a été retrouvé par sa famille dans des circonstances horribles le 13 septembre. Elle serait la première femme morte en détention dans le cadre du soulèvement qui ébranle la Syrie.

    Sa famille s'est rendue à la morgue pour identifier le corps de Mohammad, le frère de Zainab, militant qui avait été arrêté et semble-t-il torturé et tué en détention. C'est alors qu'elle a vu le corps de Zainab : elle avait été décapitée, écorchée et avait eu les bras tranchés.

    « On sait désormais que Zainab était en garde à vue lorsqu'elle est décédée. Il s'agit de l'un des cas de mort en détention les plus choquants que l'on ait constaté jusqu'à présent, a indiqué Philip Luther, directeur adjoint du programme Afrique du Nord et Moyen-Orient d' Amnesty International.

    « Au cours des derniers mois, nous avons recensé d'autres cas de manifestants dont les dépouilles ont été remises à leurs familles dans un état de mutilation, mais celui-ci est particulièrement monstrueux. »

    Les homicides de Zainab et Mohammad portent à 103 le nombre total de morts en détention signalées depuis que des manifestations massives ont débuté en Syrie au mois de mars.

    Amnesty International a enregistré 15 nouveaux cas de morts en détention depuis qu'elle a publié le 31 août son rapport intitulé Deadly detention: Deaths in custody amid popular protest in Syria. Les corps des victimes portaient des signes de coups, de blessures par balles et de coups de couteau.

    Zainab al Hosni a été enlevée le 27 juillet par des personnes en civil qui seraient des membres des forces de sécurité, semble-t-il pour faire pression sur son frère militant, Mohammad Deeb al Hosni, afin qu'il se rende aux autorités.

    Celui-ci, âgé de 27 ans, organisait des manifestations à Homs depuis le début du soulèvement. Après l'arrestation de Zainab en juillet, ses geôliers lui auraient dit par téléphone qu'elle ne serait remise en liberté que s'il cessait ses activités contre le régime.

    Il a finalement été interpellé le 10 septembre et conduit dans les locaux de la section de la Sécurité politique à Homs.

    Trois jours plus tard, le 13 septembre, leur mère a été convoquée par les forces de sécurité pour récupérer la dépouille de Mohammad dans un hôpital militaire. Son corps présentait des traces de torture, notamment des contusions dans le dos et des brûlures de cigarettes à divers endroits. On lui avait tiré dans le bras droit et la jambe droite, et trois balles dans la poitrine.

    Par hasard, leur mère a reconnu le corps mutilé de Zainab dans le même hôpital militaire. Cependant, la famille n'a pas été autorisée à emmener sa dépouille avant le 17 septembre.

    Selon certaines informations, leur mère aurait été contrainte de signer un document indiquant que ses enfants avaient été kidnappés et tués par une bande armée.

    « Aucun signe n'indique que les tortures et les homicides déclinent en Syrie, a affirmé Philip Luther.

    « Le nombre croissant d'informations faisant état de personnes qui meurent derrière les barreaux ne fait qu'apporter la preuve que des crimes contre l'humanité sont commis et doit inciter le Conseil de sécurité de l'ONU à saisir la Cour pénale internationale de la situation en Syrie. »

    Amnesty International a recensé les noms de plus de 2 200 personnes dont la mort a été signalée depuis le début des manifestations en faveur de réformes. Des milliers d'autres ont été arrêtées, dont beaucoup sont détenues au secret dans des lieux inconnus, risquant d'être torturées ou tuées.

  • #2
    Selon son frere, le corps a etait rendu en plusieurs morceaux avec des traces de sevices electrique et des brulures

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    • #3
      La Syrie c'est devenu un film d'horreur.

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      • #4
        Zainab Al-Hosni, martyre de la révolution syrienne

        Il s’agit, selon Amnesty International, de la première femme à mourir en détention depuis le début du soulèvement en Syrie. Originaire de la ville de Homs, Zainab Al-Hosni avait 18 ans. Son corps mutilé a été découvert par ses parents le 13 septembre alors qu’ils avaient été convoqués à l’hôpital pour y identifier celui de son frère Mohammed, lui-aussi arrêté et mort en détention sous la torture.

        Dans ce message vidéo diffusé sur Internet, leur frère Youssef témoigne. Il déclare que sa sœur a été enlevée le 27 juillet dernier pour inciter Mohammed à cesser ses actions militantes et à se rendre. Il décrit ensuite les stigmates que portaient les cadavres de ses deux proches, affirmant que Zainab avait été retrouvée décapitée, démembrée et écorchée.

        Sa mort illustre la façon dont les familles d’activistes sont prises pour cible par le pouvoir, les représailles pouvant aller de menaces par téléphone au passage à tabac, voire même jusqu’au meurtre.

        Le cas de Zainab Al-Hosni a suscité beaucoup d’émotion parmi les cyberactivistes syriens, choqués par les images de son corps qui circulent sur le Web. Une page Facebook a ainsi été créée en hommage à celle qui est désormais surnommée « la fleur de la Syrie ». Et à l’image de Hamza Al Khatib, un enfant de 13 ans torturé à mort par les forces de sécurité, la jeune femme est elle aussi devenue un symbole de la sanglante répression du régime.

        Peu après son enterrement la semaine dernière, des centaines de femmes se sont ainsi rassemblées à Homs pour saluer sa mémoire et dénoncer la violence exercée par le pouvoir contre son peuple.

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