mise en garde contre un médicament dangereux vendu sur Internet
FRANCE INFO - 19 SEPTEMBRE 2011
Il s’agit d’un kit de produits à prendre par voies orale et vaginale vendu sur Internet : le MTP KIT, présenté comme un médicament pour avorter, présente des "risques graves pour la santé", selon les autorités françaises de santé.
Vente du MTP KIT sur le site de produits pharmaceutiques en ligne eurodrugstore.eu
Ce kit de la société CIPLA Ltd est notamment commercialisé sur le site Eurodrugstore.eu sous la rubrique "birth control". Un kit pour avorter en dehors de tout contrôle médical, composé de mifépristone (RU 486) administré par voie orale et de misoprostol administré par voie vaginale.
"Il s’agit d’un médicament illicite, qui ne dispose d’aucune autorisation", écrivent la Direction générale de la Santé (DGS) et l’agence française du médicament (Afssaps).
"Les modalités d’emploi, notamment le mode d’administration du produit, exposent la femme qui l’utiliserait à un réel danger (échec de l’avortement, hémorragie, infection grave)", poursuit le communiqué.
Les autorités de santé rappellent qu’un dossier-guide IVG (interruption volontaire de grossesse) est disponible sur le site du ministère de la Santé. Ce document donne également des indications aux mineures qui souhaitent avorter gratuitement et dans l’anonymat.
FRANCE INFO - 19 SEPTEMBRE 2011
Il s’agit d’un kit de produits à prendre par voies orale et vaginale vendu sur Internet : le MTP KIT, présenté comme un médicament pour avorter, présente des "risques graves pour la santé", selon les autorités françaises de santé.
Vente du MTP KIT sur le site de produits pharmaceutiques en ligne eurodrugstore.eu
Ce kit de la société CIPLA Ltd est notamment commercialisé sur le site Eurodrugstore.eu sous la rubrique "birth control". Un kit pour avorter en dehors de tout contrôle médical, composé de mifépristone (RU 486) administré par voie orale et de misoprostol administré par voie vaginale.
"Il s’agit d’un médicament illicite, qui ne dispose d’aucune autorisation", écrivent la Direction générale de la Santé (DGS) et l’agence française du médicament (Afssaps).
"Les modalités d’emploi, notamment le mode d’administration du produit, exposent la femme qui l’utiliserait à un réel danger (échec de l’avortement, hémorragie, infection grave)", poursuit le communiqué.
Les autorités de santé rappellent qu’un dossier-guide IVG (interruption volontaire de grossesse) est disponible sur le site du ministère de la Santé. Ce document donne également des indications aux mineures qui souhaitent avorter gratuitement et dans l’anonymat.
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