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L’argent sale de la sarkozye : Voila tripoli qui apparait dans le « karachigate » !

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    L’ARGENT SALE DE LA SARKOZYE : VOILA TRIPOLI QUI APPARAIT DANS LE « KARACHIGATE » !

    Publié le 30/09/2011
    Source : Luc MICHEL

    Affaire Karachi: l'intermédiaire Takieddine veut la levée du secret défense et
    évoque pour la première fois les « affaires » avec Tripoli. Vers le
    « Tripoligate » !?
    PCN-SPO/ & BFM TV/29/09/2011

    On se souvient des déclarations de SaIf Al-Islam Kadhafi en Mars dernier dénonçant
    l’argent sale de Sarkozy venant de Libye. J’évoquais alors un futur « Tripoligate »,
    s’inscrivant dans le dossier du fameux « Karachigate » … Nous y arrivons. Voilà
    Tripoli qui apparaît précisément dans ce « Karachigate » !

    L'intermédiaire en armement Ziad Takieddine, mis en examen dans le volet financier
    de l'affaire Karachi, a exhorté ce jeudi Nicolas Sarkozy à lever le secret défense
    sur les deux contrats au coeur de l'enquête, tout en livrant sa version du degré
    d'implication de responsables de droite. "Je dis au président de la République, je
    lui suggère : Arrêtez tout de suite, puisque vous êtes garant de la Constitution,
    levez le secret défense sur tous les contrats et notamment sur Agosta, et notamment
    sur Sawari II", a-t-il déclaré sur BFMTV.
    M. Takieddine évoque les contrats de vente de sous-marins Agosta et de frégates
    Sawari II, respectivement au Pakistan et à l'Arabie saoudite en 1994, au centre de
    l'enquête des juges Renaud van Ruymbeke et Roger Le Loire.
    "Qu'on arrête de parler de n'importe quoi sur n'importe quoi !", a plaidé l'homme
    d'affaires franco-libanais. Parlant encore du chef de l'Etat français, M. Takieddine
    a lancé : "Franchement, il lui appartient de faire ça tout de suite, dans les 24
    heures. C'est digne, il est digne, il le fera".

    Tant le juge Marc Trévidic, qui enquête sur l'attentat de Karachi en 2002, que les
    juges Van Ruymbeke et Le Loire, chargés d'enquêter sur d'éventuelles malversations
    financières en marge des deux contrats, se sont heurtés à plusieurs reprises au
    secret-défense.
    En novembre 2010, le juge Van Ruymbeke n'a pu perquisitionner les locaux de la DGSE
    à Paris et la communication de documents fiscaux classifiés provenant de sociétés de
    commercialisation d'armement lui a été plusieurs fois refusée.
    De tels documents pourraient permettre de retracer le circuit des commissions,
    légales à l'époque, versées sur ces contrats. Les juges cherchent à savoir si ces
    commissions ont pu financer, illégalement, la campagne présidentielle d'Edouard
    Balladur en 1995.
    "Relation personnelle"

    ET VOICI QUE TRIPOLI EST EVOQUE !

    M. Takieddine s'est expliqué sur ses relations avec le secrétaire général de l'UMP,
    Jean-François Copé, ainsi que le ministre de l'Intérieur, Claude Guéant, et a chargé
    Dominique de Villepin.
    "Monsieur Guéant est un ami que j'ai accompagné dans toutes les démarches que j'ai
    faites, TOUTES Y COMPRIS LA LIBYE", a-t-il dit en référence à la libération des
    infirmières bulgares en juillet 2007, époque à laquelle M. Guéant était secrétaire
    général de l'Elysée.
    De son côté, Claude Guéant nie farouchement. L’âme damnée de Sarkozy a récemment
    déclaré qu'il n'"y a eu aucune tractation commerciale" en faveur de l'homme
    d'affaires lors de la libération de ces infirmières à Tripoli.
    "Il me donnait des éléments d'ambiance sur ce qui se passait à Tripoli, mais les
    négociations ont eu lieu directement avec M. Kadhafi et son Premier ministre", a
    affirmé M. Guéant.

    L'homme d'affaires franco-libanais a par ailleurs déclaré qu'il n'avait jamais
    demandé l'intervention dans son dossier fiscal de Jean-François Copé quand il fut
    ministre du Budget (novembre 2004 - mai 2007).
    "Jean-François Copé, étant ministre du Budget, je n'ai jamais, jamais, et qu'on me
    le prouve, jamais demandé une quelconque intervention. Je n'ai jamais demandé",
    a-t-il dit, reconnaissant avec M. Copé "une relation personnelle".
    Il a aussi attaqué Dominique de Villepin, qui a déclaré que Jacques Chirac avait
    ordonné l'arrêt du versement des commissions sur les contrats après son élection en
    1995 en raison de soupçons de rétrocommissions. "Où est parti l'argent supposé qui a
    été arrêté ? Je sais que cet argent n'a pas été arrêté", a-t-il dit. "Cet argent a
    été transféré à une destination autre, celle que je connais et que je réserverai et
    au président de la République, et à la justice, c'est tout. Celui qui les a arrêtés
    va pouvoir répondre, va devoir répondre. Je parle de M. de Villepin !", a-t-il
    lancé.
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