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Les véritables raisons de la destitution de Keddafi

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  • Les véritables raisons de la destitution de Keddafi

    Le rôle d'intermédiaire qu'a joué Takieddine en Libye en faveur de la France rappelle le contrat d'achat des rafale que cette dernière voulait signer avec Keddafi. L'hésitation de Keddafi a rendu Sarkozy très furieux alors qu'il était reçu en grande pompe à Paris. Son ami Serge Dassault n'est pas moins furieux.
    Il y a aussi le contrat gazier que voulait obtenir Total sans succès mais le contrat des rafale était le plus important.

    Article de FranceInfo prouvant l'implication de Takieddine dans le dossier Libyen.


    Contrairement aux dénégations du pouvoir, Ziad Takieddine, mis en examen dans le volet financier de l’affaire de Karachi, affirme avoir bel et bien effectué des missions récentes à l’étranger pour le compte du gouvernement français. L’homme d’affaires confie à France Info être allé en Libye au printemps dernier, à la demande de Claude Guéant.

    Jusqu’ici, Ziad Takieddine avait affirmé qu’il s’était rendu à Tripoli début mars pour affaires. Aujourd’hui, il prétend que l’Elysée lui avait confié une mission diplomatique. A savoir, faire passer à Mouammar Kadhafi le message de la France : le colonel libyen devait abandonner le pouvoir.
    Au téléphone avec France Info, Ziad Takieddine affirme avoir rencontré le dictateur "à la demande express de Claude Guéant (…) Il s’agissait d’une mission officielle dans l’intérêt de la République", explique-t-il. "Les trous de mémoire du ministre de l’Intérieur sont blessants", confie un proche de l’homme d’affaires. L’intermédiaire se sentirait lâché par ceux qu’il a servis.
    S’il apparaissait que ce voyage à Tripoli en mars était bien une visite diplomatique, sa révélation pourrait embarrasser l’Elysée.
    Car lors de son retour de Libye, à sa descente d’avion au Bourget le 4 mars, Ziad Takieddine avait été interpellé. A l’intérieur de l’avion affrété par le pouvoir libyen, les douaniers avaient saisi 1,5 million d’euros en liquide. Des fonds correspondant à un transfert de société commerciale, avait expliqué l’homme d’affaires.
    L’enquête préliminaire pour "manquement à l’obligation déclarative" et "suspicion de blanchiment" est toujours en cours.
    Mis en examen dans le volet financier de l’affaire de Karachi, l’homme d’affaires franco-libanais se livre depuis plusieurs jours, par épisodes, dans la presse. Une demi-douzaine d’entretiens au cours desquels il évoque, de plus en plus précisément, ses liens avec Nicolas Sarkozy et Claude Guéant, auxquels il demande de reconnaître son rôle.

    FranceInfo.
    si on peut tromper beaucoup de monde quelque temps, ou tromper peu de monde longtemps, on ne peut tromper tout le monde tout le temps
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