Plusieurs mois après la chute du dictateur Hosni Moubarak, le conseil militaire suprême au pouvoir au Caire ne semble pas très pressé d'accélérer la démocratisation de l'Egypte. Concrètement, même si Moubarak est parti, beaucoup de ses politiques anti-démocratiques sont restées.
A l'évidence, le conseil militaire suprême a peur qu'une vraie démocratisation de l'Egypte ne mène à un gouvernement réellement représentatif du peuple égyptien, c'est à dire un gouvernement "ferme" avec Israel, ce qui ferait perdre au conseil le milliard de dollars d'aide annuelle américaine!
A l'évidence, le conseil militaire suprême a peur qu'une vraie démocratisation de l'Egypte ne mène à un gouvernement réellement représentatif du peuple égyptien, c'est à dire un gouvernement "ferme" avec Israel, ce qui ferait perdre au conseil le milliard de dollars d'aide annuelle américaine!
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