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«Il est temps que l’Amérique se soulève» (Chomsky) 03/10/2011
«Le cercle vicieux des défis et des problèmes, dans le quel, s’ébat, désormais, l’Amérique, incite la population à se soulever, à dénoncer l’Ordre établi», a estimé le politicien, linguiste, chercheur et grand auteur américain, Noam Chomsky. "Ce qui se passe, en ce moment même, à New York, la marche contestataire contre "Wall Street" reflète la déception des Américains de voir les établissement bancaires, les agences financières s’accaparer leur bien, s’enrichir, au prix de les ruiner, alors que le taux de chômage ne cesse de battre des records et que la couche moyenne en fait les frais", a-t-il poursuivi. "Le cercle vicieux est ce tiraillement, désormais, inscrit au cœur même de la société américaine entre les pauvres et les riches, ceux qui perdent sans cesse et ceux qui n’en finissent de gagner", a-t-il dit. Chosmky s’est dit consterné de voir chaque candidat aux présidentielles 2012, prêt à dépenser 1 milliards et plus, pour sa campagne. "D’où vient cet argent, des institutions financières, et qu’est-ce que ces institutions font pour en avoir? Plonger les gens dans les abîmes de la dette", a-t-il ajouté.
Irib
Il faut renverser cette dictature des plus terrible!
«Le cercle vicieux des défis et des problèmes, dans le quel, s’ébat, désormais, l’Amérique, incite la population à se soulever, à dénoncer l’Ordre établi», a estimé le politicien, linguiste, chercheur et grand auteur américain, Noam Chomsky. "Ce qui se passe, en ce moment même, à New York, la marche contestataire contre "Wall Street" reflète la déception des Américains de voir les établissement bancaires, les agences financières s’accaparer leur bien, s’enrichir, au prix de les ruiner, alors que le taux de chômage ne cesse de battre des records et que la couche moyenne en fait les frais", a-t-il poursuivi. "Le cercle vicieux est ce tiraillement, désormais, inscrit au cœur même de la société américaine entre les pauvres et les riches, ceux qui perdent sans cesse et ceux qui n’en finissent de gagner", a-t-il dit. Chosmky s’est dit consterné de voir chaque candidat aux présidentielles 2012, prêt à dépenser 1 milliards et plus, pour sa campagne. "D’où vient cet argent, des institutions financières, et qu’est-ce que ces institutions font pour en avoir? Plonger les gens dans les abîmes de la dette", a-t-il ajouté.
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