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Un porte-parole de Volkswagen-Allemagne, aurait récemment affirmé a propos de l’installation en Algérie d’un site de production que : « ce n’est pas parce que nous discutons avec un ministre que nous allons ouvrir une nouvelle usine le lendemain » Cette déclaration rapportée par l’hebdomadaire « Jeune Afrique » dans son édition N° 2609, fait notamment référence à la sortie médiatique du Ministre Algérien de l’industrie, Mr Benmeradi, dans laquelle il annonçait la volonté de la firme allemande d’ouvrir une usine de montage de véhicules en Algérie.
L’hebdomadaire qui bizarrement ne cite pas le nom du porte-parole en question, commente dans un préambule d’article non signé et quelques peu tendancieux, que «…le ministre a peut être vendu un peu trop vite la peau de l’ours Volkswagen ». Le même article mentionne aussi que le porte-parole de Volkswagen a soutenu que l’entreprise était entrain de sonder les marchés émergeants notamment en Afrique et recherchait effectivement de nouveaux sites d’implantation. Reste cependant à savoir si les déclarations du supposé porte-parole de Volkswagen-Allemagne sont fondées et si elles ont été avancées de cette manière. Néanmoins, Cela semble un peu décousu lorsque ça provient de professionnels comme Volkswagen. Mais ca l’est un peu moins quand cela émane d’entités qui n’aiment pas voir l’Algérie se replacer sur la l’échiquier économique international.
Jeune Afrique
L’hebdomadaire qui bizarrement ne cite pas le nom du porte-parole en question, commente dans un préambule d’article non signé et quelques peu tendancieux, que «…le ministre a peut être vendu un peu trop vite la peau de l’ours Volkswagen ». Le même article mentionne aussi que le porte-parole de Volkswagen a soutenu que l’entreprise était entrain de sonder les marchés émergeants notamment en Afrique et recherchait effectivement de nouveaux sites d’implantation. Reste cependant à savoir si les déclarations du supposé porte-parole de Volkswagen-Allemagne sont fondées et si elles ont été avancées de cette manière. Néanmoins, Cela semble un peu décousu lorsque ça provient de professionnels comme Volkswagen. Mais ca l’est un peu moins quand cela émane d’entités qui n’aiment pas voir l’Algérie se replacer sur la l’échiquier économique international.
Jeune Afrique
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