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Les "déboires" de la carte à puce de la CNAS

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  • Les "déboires" de la carte à puce de la CNAS

    Selon El khabar, un nouveau obstacle vient d'être érigé en gendarme pour le lancement et le déploiement de la carte à puce dénomée "vitale" lancée avec les tambours et la zorna par la CNAS.

    El khabar parle d'une CNIL algérienne (dont l'existence est apparentée aux OVNI) qui aurait émis un veto. Motif la CNAS doit se soumettre aux obligations et aux lois régissant la détention des fichiers informatiques et "libertés". Des lois qui n'éxistent tout simplement pas en algérie et dont la CNAS s'est assise dessus depuis l'aquisition de ses premiers MainFrame dans les années 70...

    Le projet annoncé depuis 2004 aura connu des épisodes aussi surprenantes les unes que les autres, trouve enfin une issue de secours en se cachant derrière une loi qui n'existe pas encore et qu'on doit pendre.

    Très belle pirouette de Taieb Louh qui vient de trouver enfin la solution pour s'affranchir de la corde qu'il a lui même passer autour de son propre cou. Mais cela n'effacera guère les bêtises qu'il a gobé en écoutant les cadres de son ministère.
    L'une des blagues : le coût de revient d'une carte à puce = 5 Euros....

    http://www.elkhabar.com/quotidien/li...nsert=20060522

    Les véritables raisons qui ont empêché la CNAS de diffuser sa carte demeurent le manque flagrant de compétences spécialisés dans le domaine de l'administration, la gestion et l'émission des cartes électroniques personnalisées. Par exemple, il aurait pu s'inspirer des déboires de la SATIM et du groupement interbancaire algérien pour généraliser l'usage de la CB...

    Au moins les membres de la SNAPO peuvent donc dormir tranquille sur leur deux oreilles aprs avoir été placé en bouclier pour supporter le retour du bâton d'un projet très mal ficellé depuis la première annonce.

    Selon certains quotidiens, la CNAS s'est aventurée à lancer tout de même le projet dans 5 wilayas pilotes.

    Comme quoi les quotidiens s'aventurent aussi n'importe où et parlent de n'importe quoi..

    Affaire à suivre
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