Un colonel de l'armée syrienne fait defection vers la turquie

[hamoudehsyr]

Syrian rebel commander takes refuge in Turkey
Colonel Asaad said more than 10,000 soldiers had deserted the Syrian army and were attacking security forces.



The highest-ranking officer to defect from Syria's armed forces said on Tuesday he had taken refuge in Turkey, denying claims that he had been arrested when Syrian troops overran a rebel stronghold, state-run Anatolian news agency said.

"We live in a safe place in Turkey, I am grateful to the government and people of Turkey. Turkish officials cared about us," Colonel Riad al-Asaad said in an interview datelined Hatay in southern Turkey.

Armed resistance to President Bashar al-Assad's rule has emerged in recent weeks, six months into a pro-democracy uprising that government forces have tried to crush with violent tactics.

"All of my needs are being met by Turkish officials," said Asaad, who has emerged as commander of the rebel Syrian Free Army. "The opposition forces in Syria must unite and strengthen their stand until the regime is demolished."

The rebel colonel's presence in Hatay, now home to several thousand Syrian refugees, will add to tensions between Ankara and Damascus.

Turkish Prime Minister Tayyip Erdogan plans to visit Hatay soon and is expected to announce sanctions against Syria after having failed to convince his former friend President Assad to halt attacks on civilians and make urgent political reforms.

Speaking to Reuters from the Syrian-Turkish border on Friday, Colonel Asaad said more than 10,000 soldiers had deserted the Syrian army and were attacking security forces.

The 50-year-old Air Force officer, who comes from Idlib, a northwest Syrian province bordering Turkey, said Syrian state media were issuing false reports to undermine morale.

"The Syrian regime conducted a brutal operation in Rastan region near Homs city in order to find and arrest me. They claimed that they arrested me at the end of the operation," Asaad said. "Such stories aim to demoralize the Syrian people."

Last week, government troops and security personnel, backed by helicopters and tanks, attacked Rastan, where hundreds of insurgents had taken refuge.

Activists in the Rastan area said rebel operations in the area were being led by the Free Officers Movement, which allied with the Syrian Free Army late last month.

Reuters

[mehdi-amazigh]

Il a été payé combien celui la?

[bel-court]

Mehdi,
Chacune de tes interventions démontre de plus en plus ta faiblesse de mener une discussion ou un débat digne de ce nom, jamais d'arguments ou d'analyses politiques, que des citations dont nulle ne peut en bénéficier. Tu ne connais pas l'Algérie, ni la France, ni la Libye d'ailleurs. Ta présence se limite à défendre les dictateurs et insulter tout ce qui est occidental, c'est vraiment dommage qu'on tombe si bas.

[zaki17]

La vraie-fausse « breaking news » d’I-Télé
Par Guy Delorme, le 5 octobre 2011

Mardi soir 4 octobre, le présentateur de la « grande édition » de I-Télé, le sémillant Victor Robert, a annoncé à ses auditeurs une « mauvaise nouvelle pour le régime syrien, mais une bonne pour la démocratie« . De quoi s’agissait-il ? Eh bien de la défection d’un important chef militaire, un thème décidément tendance en ce moment dans la couverture occidentale de l’actualité syrienne. Mais dans le bref reportage qui suit, la « bonne nouvelle » se réduit à un pétard mouillé, ou : le « défecteur » en question n’est autre que notre « vieille connaissance » Ryad al-Assad, de l’ »Armée syrienne libre« , apparemment redevenu colonel – les commentateurs enthousiasmés l’avaient, ces derniers jours, élevé au grade de général. Toujours moustachu, mais en civil, notre colonel, désormais réfugié chez ses parrains turcs, explique qu’il a pu échapper à ses anciens camarades de l’armée syrienne, qui ont effectivement expulsé son « armée » à lui de la ville de Rastan (voir notre article « A Rastan, l’ »Armée syrienne libre » a perdu la bataille« , mis en ligne le 3 octobre).

Le colonel al-Assad de retour au bercail turc

Crânant devant les caméras, Ryad al-Assad a notamment exprimé sa certitude de la chute du régime de son homonyme. Dans l’immédiat, c’est en vaincu militaire et politique, et en exilé, que Ryad al-Assad s’exprime. Et la seule chose vraie qui soit sortie de sa bouche lors de son interview télévisée est qu’il est « en lieu sûr en Turquie ». Pour le reste, c’est l’habituel lyrisme belliqueux et mensonger de la dissidence syrienne : Al-Assad parle de « plus de dix mille déserteurs » ayant choisi la clandestinité (Ryad devrait en conséquence demander au CNS d’Istambul le grade de général de division !). Un fait est patent : comme l’affirme Damas, la rébellion militaire de Rastan, que nos commentateurs voyaient déjà, dans leurs rêves bien pensants, comme le Stalingrad du régime baasiste, a été balayée en quelques jours, et ses membres rescapés contraints à la fuite chez leur employeur turc. Et tout le reste n’est que propagande de l’OSDH et de L’Express !

Il y a néanmoins plus sérieux que cette pantalonnade : l’armée syrienne, dans sa traque des groupes armés, évolue au contact de la frontière turque. Et de la province turque – mais revendiquée historiquement par Damas – du Hatay, où les troupes d’Ankara entament, ce mercredi 5 octobre, des manoeuvres devant s’étaler sur neuf jours, et où Erdogan a annoncé sa visite prochaine, en même temps que des sanctions contre la Syrie. La région demeure donc une zone à risques, même si nous répétons que M. Erdogan n’a pas les moyens de s’offrir une guerre avec la Syrie, même avec l’amical soutien de Washington, de Paris et de Bruxelles. C’est aussi dans ce district du Hatay que sont implantés les camps de réfugiés syriens, un peu sortis de l’actualité depuis deux, trois mois : à ce sujet, Reuters nous apprend que ceux-ci seraient au nombre de 7 000. Et donc, compte tenu des mensonges conjoints des autorités turques, des opposants syriens et des journalistes occidentaux, ce chiffre doit évidemment être revu à la baisse : dans quelles proportions, c’est la seule question.

Pour en revenir à I-Télé et au sympathique (au demeurant) Victor Robert, on ne peut que constater une énième fois, chez nos élites journalistiques, l’éternel cocktail d’ignorance, de bonne conscience et de sensationnalisme qui fait les meilleures désinformations. Mais, après tout, la vérité se joue sur le terrain, pas sur les plateaux d’I-Télé…

[absent]

SOS Ahmed...Kramer vs Kramer.

[mehdi-amazigh]

c'est vraiment dommage qu'on tombe si bas.

tu n'iras pas plus bas,relais de propagandes! tous tes topics sont de la propagande!

[mehdi-amazigh]

Summum du mensonge et de la désinformation

Syrie : scénario monté de toute pièce 05/10/2011

A la suite de la diffusion d’une information sur la mort atroce d’une jeune fille syrienne, diffusée par certains médias occidentaux et arabes, la télévision syrienne a révélé les ressorts de ce scénario monté de toutes pièces. Les médias occidentaux et certains médias arabes avaient fait part, en septembre, de la mort d’une jeune fille de 18 ans. Son cadavre aurait été retrouvée, par sa famille, dans une morgue. "Amnesty international", en se référant à ce rapport, a, même, prétendu que cette fille avait été amputée de ses mains, avant d’être charcutée par les meurtriers. La diffusion de cette fausse information visait, en effet, à semer le trouble. Dans une émission spéciale, la télévision syrienne a levé un coin du voile sur ce scénario mensonger, en interviewant la personne en question. Elle a montré sa carte d’identité à la télévision.

Irib

Comme ceux qui propagent ici sans cesse ces multiples mensonges pour éspérer voir les bombes de l'otan exterminer le peuple Syrien!:22::22:

Sauf que Russie et Chine vous ont dit NIET

[rodmaroc]

Ce colonel est un homme d'honneur...il en faut des hommes comme ca pour arrêter le massacre et chasser le terroriste.

[zaki123]

bj rodmaroc

comme le dit nob, pour nous les algériens ça rappelle la défection des soldats algérien des casernes française....au macquis il parrait que ça posait probléme ..ce syrien va un jour problème..l'algerie contrairement au maroc est très riche c'est une librairie a ciel ouvert...le problème de la libye est un pipi de chat pour nous.