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Assad warns Jordan against holding a war game like Turkey and Israel
DEBKAfile Special Report October 7, 2011
Tensions peaked again around Syria's borders with Israel, Turkey and Jordan as the first two embarked on large-scale mobilization maneuvers near those borders Wednesday and Thursday, Oct. 5-6 and the Jordanian armed forces prepared to follow suit.
DEBKAfile's military and intelligence sources report that the United States and Turkey urged Jordan's King Abdullah to hold a similar maneuver or reinforce his units on the Syrian border. But Bashar Assad decided that being forced to build up his forces on Syria's borders with Turkey and Israel was enough and a Jordanian exercise must be stopped.
Thursday, he sent his powerful brother-in-law Gen. Asef Shawqat to Amman with a stern warning for the king: If the Hashemite Kingdom lines up with Turkey and Israel and deploys extra troops on the Syrian border, Assad will order his air force to bomb Jordanian towns.
And if Israel intervenes to engage Syrian bombers, Damascus would launch surface missiles against Jordanian cities.
It was the second time this week that the Syrian ruler had threatened to punish an enemy with ground-to-ground missiles. Tuesday, Oct. 4, DEBKAfile revealed that Assad had threatened to demolish Tel Aviv by missiles within six hours of an attack on Syria.
Jordan's Abdullah told Gen. Shawqat he agreed to give up his planned military exercise, but not his opposition to Assad actions.
In Washington, Ankara and Jerusalem, the Syrian message to Jordan was taken as an implied warning to Turkey and Israel alike that Assad had no intention of taking their military exercises lying down either and a military response was coming.
The Turkish war game is taking place in the Hatay province which borders on northern Syria. It is scheduled to last nine days. Israel ended its two-day maneuver Thursday, deploying troops within sight of southwest Syria and Jordan.
Israeli and Turkish military movements were coordinated by NATO's European commander Gen. James Staviris who he visited Tel Aviv and Ankara for this purpose in the last week of September.
US Defense Secretary Leon Panetta gave the exercises a seal of approval during his visit to Israel Monday, Oct. 3.
The next day, both armies were in the field. The United States informed both governments that US warships had been deployed in the eastern Mediterranean against any unforeseen events.
Turkish-Israeli military ties remain frozen and relations sour. But Ankara did not refuse American mediation for coordinating their exercises for the first time in more than a year.
The two-day Israeli war game was not announced. It entailed the call-up of the Northern and Central Commands reserve brigades without prior notice. The units were directed to collect the men and officers from home and drive them to their units on the assumption that a missile attack on Israel was already underway and road disruptions prevented them from making their own way.
Chief of Staff, Lt. Gen. Benny Gantz, summed up the exercise by telling the troops: "In the current instability around us, we must be sure that our forces are on the highest level of readiness and keep on enhancing it."
Assad avertit la Jordanie contre la tenue d'un jeu de guerre comme la Turquie et Israël
Les tensions ont culminé à nouveau autour des frontières de la Syrie avec Israël, la Turquie et la Jordanie, les deux premiers engagés dans des manœuvres de mobilisation de grande envergure à proximité de ces frontières mercredi et jeudi, octobre 5 à 6 et les forces armées jordaniennes prêt à emboîter le pas. DEBKA fichier de l 'armée et des sources de renseignement indiquent que les Etats-Unis et la Turquie a exhorté le roi de Jordanie Abdullah de tenir une manœuvre similaire ou à renforcer ses unités à la frontière syrienne. Mais Bachar el-Assad a décidé que d'être obligé de construire ses forces sur les frontières de la Syrie avec la Turquie et Israël a été suffisant et un exercice jordaniens doit être arrêté.
Jeudi, il a envoyé son frère puissante-frère le général Asef Shawqat à Amman avec une sévère mise en garde pour le roi: Si le Royaume hachémite de lignes avec la Turquie et Israël et déploie des troupes supplémentaires à la frontière syrienne, Assad ordonne à son armée de l'air pour bombarder les villes jordaniennes.
Et si intervient Israël à s'engager bombardiers syrienne, Damas serait de lancer des missiles contre les villes de surface jordanienne.
C'était la deuxième fois cette semaine que le dirigeant syrien avait menacé de punir un ennemi au sol-sol des missiles. Mardi 4 octobre, DEBKA fichiers a révélé que M. Assad avait menacé de démolir Tel-Aviv par des missiles dans les six heures d'une attaque sur la Syrie.
Abdullah de Jordanie a déclaré le général Shawqat il a accepté de renoncer à son exercice militaire planifiée, mais pas son opposition aux actions Assad.
A Washington, Ankara et Jérusalem, le message syrien de la Jordanie a été pris comme un avertissement implicite à la Turquie et Israël comme qu'Assad avait aucune intention de prendre leurs exercices militaires couchée soit et une réponse militaire était à venir.
Le jeu de guerre turcs se déroule dans la province de Hatay qui borde le nord de la Syrie. Il est prévu pour durer neuf jours. Israël s'est retiré de deux jours manoeuvre jeudi, le déploiement de troupes à portée de vue du sud-ouest en Syrie et en Jordanie.
Israéliens et turcs mouvements militaires ont été coordonnées par le commandant de l'OTAN européenne général Staviris James qui il a visité Tel-Aviv et Ankara à cette fin dans la dernière semaine de Septembre.
Secrétaire à la Défense, Leon Panetta, a donné des exercices un sceau d'approbation lors de sa visite en Israël le lundi 3 octobre.
Le lendemain, les deux armées étaient sur le terrain. Les Etats-Unis ont informé les deux gouvernements que des navires de guerre américains avaient été déployés en Méditerranée orientale contre les événements imprévus.
Turco-israéliennes liens militaires restent gelés et les relations aigres. Mais Ankara n'a pas refusé la médiation américaine pour coordonner leurs exercices pour la première fois en plus d'un an.
Le jeu de deux jours de guerre israélienne n'a pas été annoncée. Elle a entraîné la réquisition des brigades du Nord et Centrale Commandes réserve sans préavis. Les unités ont été dirigés pour recueillir les hommes et les officiers de la maison et les conduire à leurs unités sur l'hypothèse que d'une attaque de missiles sur Israël était déjà en cours et des interruptions de la route les ont empêchés de faire leur propre chemin.
Chef d'état-major, le lieutenant général Benny Gantz, résume l'exercice en disant aux troupes: «. Dans l'instabilité actuelle autour de nous, nous devons être sûrs que nos forces sont sur le plus haut niveau de préparation et de garder sur le renforcer"
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