Juste un sourir, chère demoiselle
De votre passion, mon cœur c’est fléchie
En l’entendant crier : elle…elle
Avec lui, moi je criais aussi
Perdu, battu, banni….
Réfugier dans mon éternel royaume d’insomnie
De désir, sans amour
Et d’amour sans amitié
Je me disait roi, je me faisait reine.
Je me disait tout ce que vous étaient.
Je me faisais juif, chrétien, je serai musulman aussi
Pour toi……….
Je me faisait Auguste.
Et Cléopâtre parfois même.
Ou mourant pour elle je m’était fait Marc Antoine.
Ô, disait-tu !……
Je te disais : amour, ce que tu veut mademoiselle ?
…..Ô mademoiselle……..
Je te peindrais ‘demoiselle d’Avignon’.
Si Picasso n’a su le faire
tu sera mon ‘impression, mon soleil levant’
Et Monet ne pourra dire autrement.
Ou, plutôt,
Je te créerai, comme Poséidon créant l’étalon.
Je t'appellerais Iseut, et tu me chanteras Tristan
tu serai Venus et moi Eros,
Et nous nous aimerons sans Cupidon
De votre passion, mon cœur c’est fléchie
En l’entendant crier : elle…elle
Avec lui, moi je criais aussi
Perdu, battu, banni….
Réfugier dans mon éternel royaume d’insomnie
De désir, sans amour
Et d’amour sans amitié
Je me disait roi, je me faisait reine.
Je me disait tout ce que vous étaient.
Je me faisais juif, chrétien, je serai musulman aussi
Pour toi……….
Je me faisait Auguste.
Et Cléopâtre parfois même.
Ou mourant pour elle je m’était fait Marc Antoine.
Ô, disait-tu !……
Je te disais : amour, ce que tu veut mademoiselle ?
…..Ô mademoiselle……..
Je te peindrais ‘demoiselle d’Avignon’.
Si Picasso n’a su le faire
tu sera mon ‘impression, mon soleil levant’
Et Monet ne pourra dire autrement.
Ou, plutôt,
Je te créerai, comme Poséidon créant l’étalon.
Je t'appellerais Iseut, et tu me chanteras Tristan
tu serai Venus et moi Eros,
Et nous nous aimerons sans Cupidon