Bonjour, le rapport sur le Maroc est aussi consultable.
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Alors que des restrictions pesaient toujours sur les droits humains, le gouvernement a lancé un plan controversé en vue de mettre un terme au conflit interne que connaît le pays depuis les années 1990. Le niveau de violence a diminué par rapport aux années précédentes, mais plusieurs centaines de personnes, dont des dizaines de civils, ont été tuées. L’impunité restait l’obstacle principal au traitement des séquelles du passé : des dizaines de milliers de cas d’homicide, d’enlèvement, de « disparition » et de torture signalés depuis 1992 et imputables aux forces de sécurité, aux milices armées par l’Etat et aux groupes armés n’avaient toujours fait l’objet d’aucune enquête.
De nouvelles informations ont fait état du recours à la torture, notamment contre des personnes soupçonnées d’« appartenance à un groupe terroriste ». Une douzaine de membres présumés de groupes armés ont été condamnés à mort, dans la plupart des cas par contumace. Le moratoire sur les exécutions était toujours en vigueur. Des modifications législatives commençaient à améliorer le statut juridique des femmes, mais de nombreuses dispositions discriminatoires restaient en l’état.
La suite...
http://web.amnesty.org/report2006/dza-summary-fra
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Alors que des restrictions pesaient toujours sur les droits humains, le gouvernement a lancé un plan controversé en vue de mettre un terme au conflit interne que connaît le pays depuis les années 1990. Le niveau de violence a diminué par rapport aux années précédentes, mais plusieurs centaines de personnes, dont des dizaines de civils, ont été tuées. L’impunité restait l’obstacle principal au traitement des séquelles du passé : des dizaines de milliers de cas d’homicide, d’enlèvement, de « disparition » et de torture signalés depuis 1992 et imputables aux forces de sécurité, aux milices armées par l’Etat et aux groupes armés n’avaient toujours fait l’objet d’aucune enquête.
De nouvelles informations ont fait état du recours à la torture, notamment contre des personnes soupçonnées d’« appartenance à un groupe terroriste ». Une douzaine de membres présumés de groupes armés ont été condamnés à mort, dans la plupart des cas par contumace. Le moratoire sur les exécutions était toujours en vigueur. Des modifications législatives commençaient à améliorer le statut juridique des femmes, mais de nombreuses dispositions discriminatoires restaient en l’état.
La suite...
http://web.amnesty.org/report2006/dza-summary-fra
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