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L’Europe s’approche de la phase du cauchemar

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  • L’Europe s’approche de la phase du cauchemar

    Ces jours derniers ont vu se dérouler en Europe un véritable festival de mensonges et de discours délirants.


    Jose Manuel Barroso, pour renflouer les caisses plus que vides de l’Union, a émis l’idée géniale d’une taxe Tobin à l’échelle européen, venant peser sur toutes les transactions financières effectuées en Europe, et il a même indiqué le montant des recettes qu’il espérait : ce cher Jose Manuel ne sait donc pas que la terre est ronde, que les transactions financières sont dématérialisées, et qu’il n’y a rien de plus simple, si on se trouve dans une zone surtaxée, que de se déplacer vers une zone moins taxée. Jose Manuel ferait le bonheur de Wall Street ou de Hong Kong, mais resterait sans un sou en poche.

    La City de Londres représentant près des trois quarts des transactions financières effectuées en Europe, on comprend que le Royaume-Uni ait demandé d’être exempté, menacé de mettre son veto, et envisagé de rompre ses engagements européens dans le cas contraire. Si le Royaume-Uni était exempté, ce serait très positif pour le Royaume-Uni, qui passerait des trois-quarts à cent pour cent, mais Jose Manuel n’aurait pas un penny. Si le Royaume-Uni était conduit à rompre ses engagements européens, Jose Manuel n’aurait pas un penny, et aurait, de surcroît, provoqué une crise européenne supplémentaire.

    Au même moment, Angela Merkel a demandé au Parlement allemand de voter la contribution du pays au Fonds Européen de Stabilité Financière aux fins de « reconstruire la confiance » en l’économie grecque : elle a sans doute ainsi commis un suicide politique, puisqu’il est clair, sondage après sondage et élection après élection, que la population allemande ne veut plus payer le moindre mark pour la Grèce, ou pour quelque autre pays que ce soit.

    Quant à la confiance à reconstruire : on peut se demander si Angela Merkel lit les journaux et, en particulier, la presse financière. Pas un seul analyste financier ne pense que la Grèce peut se trouver sauvée par un montage financier quel qu’il soit. Tous les analystes financiers pensent que l’argent donné à la Grèce pourrait tout aussi bien être brûlé ou jeté dans un puits sans fonds. Angela Merkel ne reconstruit aucune confiance, elle gaspille de l’argent pour colmater des brèches en un moment où les brèches deviennent des gouffres.

    Nicolas Sarkozy lui, a dit que les banques françaises allaient bien, très bien : je pense qu’il sait ce qu’il en est, puisque les banques françaises détiennent un très large part de la dette grecque que nul ne remboursera jamais, mais qu’il sait faire le comédien parfois, ce qui sert en ce genre de circonstances.

    Dans un article récent, Christopher Booker, auteur de l’un des livres les plus remarquables sur la construction européenne, qu’il a toujours considérée comme un délire technocratique et constructiviste (The Great Deception*), disait que les constructions de ce genre passaient par une série de phase : la première est celle de l’anticipation, on imagine la beauté grandiose de ce qu’on va faire, la deuxième est celle du rêve, on met en place les échafaudages et on se dit que c’et très beau et que tout va bien, les projets d’avenir sont grandioses et le futur est radieux. La troisième phase est celle de la frustration : tout se détraque et commence à dysfonctionner, mais comme on est sûr d’avoir appliqué les bonnes méthodes et qu’on veut que le rêve fonctionne, on rajoute des doses de dysfonctionnement au dysfonctionnement, dans l’espoir vain que tout puisse rentrer dans l’ordre. Vient ensuite la phase du cauchemar : l’édifice s’effondre, le rêve se brise, le désastre, la panique, et les décombres jonchent le sol.

    L’Europe en est encore au stade de la frustration, mais il est clair que le cauchemar s’approche à grands pas.

    La Grèce n’a devant elle que de mauvaises solutions : ou rester dans l’euro et rester ainsi dans une récession permanente, ou sortir de l’euro, et faire défaut, et avoir d’un seul coup une baisse de niveau de vie de cinquante à soixante pour cent.

    Seule l’Allemagne peut encore payer, mais les Allemands ont leurs propres inquiétudes, liées au vieillissement accéléré de leur population : Angela Merkel a payé contre la volonté de son peuple. Elle ne pourra pas recommencer très souvent avant d’être renvoyée chez elle. Les eurobonds qui mutualiseraient les dettes ne seront pas acceptables pour l’Allemagne et ne seront donc pas acceptés.

    Un gouvernement de l’Europe dirigé strictement par l’Allemagne ne serait pas du goût de tout le monde, et n’empêcherait pas la nécessité de colmater d’autres brèches très coûteuses et très vite : Espagne, Italie, Belgique. Cela retarderait l’irruption du cauchemar. Cela ne ferait que la retarder. Cela n’empêcherait pas le cauchemar de survenir. Le cauchemar est pour demain. Quand survient demain ? C’est une excellente question. Je dirais : dans quelques mois si tout va bien. Plus vite si tout va mal.

    En quoi consistera le cauchemar ?

    En une avancée à marche forcée vers un gouvernement centralisé de la zone Euro, et ce ne sera là que le début du cauchemar, car mettre un capitaine aux commandes du Titanic n’empêchera pas longtemps l’avarie fatale.

    En une monétisation de la dette par la Banque Centrale Européenne, peut-être, mais l’Allemagne fera tout pour s’y opposer (la monétisation de la dette en réalité, a déjà commencé, largement). Ce ne sera là encore que le début du cauchemar.

    En une restructuration de l’euro avec changements de parités ? J’en doute : ce serait humiliant que la France dévalue de trente pour cent par rapport à l’Allemagne, la Grèce de soixante pour cent ou plus, l’Espagne de cinquante pour cent, l’Italie de quarante pour cent.

    Le cauchemar sera la décomposition de l’Europe, l’effondrement final. Vladimir Boukovski a expliqué que la construction de l’Europe avait une dimension soviétique, la fin sera digne de la fin de l’Union Soviétique.

    Une dimension amusante pour finir : les Européens voulaient Obama. Ils l’ont eu.

    La récession dans laquelle Obama a maintenu les Etats-Unis depuis trente deux mois a contribué à accélérer le passage de l’Europe à la phase du cauchemar.

    Obama, qui cherche des prétextes pour dissimuler la dimension désastreuse de son bilan, va bientôt pouvoir en ajouter un : après avoir dit, c’est la faute à George Bush, c’est la faute au tsunami, c’est la faute à pas de chance, c’est la faute au printemps arabe et c’est la faute à Israël, il va bientôt pouvoir dire c’est la faute à l’effondrement de l’Europe.

    L’Europe pouvait bien rendre ce petit service à un Président américain en perdition qu’elle a tellement aimé. Parce que, tout de même, voir l’Europe s’écrouler au moment de sa campagne pour 2012, ce n’est pas seyant. Obama a envoyé Timothy Geithner faire des propositions d’hyper-inflation, histoire de retarder l’explosion : les Allemands ont renvoyé Geithner vers l’expéditeur par le premier avion, après lui avoir tatoué Nein sur le front.

    Une autre dimension amusante, qui montre que nous allons vers un cauchemar aux allures de trou noir. Tout ce qui se passe serait, dit-on de ce côté de l’Atlantique, la faute des financiers et des spéculateurs.

    Ceux qui ont empoisonné le système financier planétaire, accusent ceux qu’ils ont empoisonnés, d’être les empoisonneurs ! L’euro, en s’effondrant et en faisant exploser l’Europe, pourrait mener le système financier mondial lui-même vers l’explosion. Et si c’est le cas, il faudra surtout interdire à quiconque d’exercer le métier de financier et, pour les explications, demander à des gens très compétents : Jose Manuel Barroso sera sans doute disponible pour cela. Obama aussi. Sarkozy y pensera en se rasant le matin. Olivier Besancenot a disparu des écrans radars : lui aussi se prépare à remplacer les financiers, sans doute. Par le retour à une économie de troc ?

    Par Guy Millière
    La pire chose pour l'Homme, serait qu'il meurt idiot.
    De grâce épargnez-moi la prolixe, la syntaxe et la chiffrerie à tout va
    .
    Merci.
    " TOUCHE PAS A MA NAPPE ALBIENNE "

  • #2
    Un conseiller du FMI, annonce une débâcle bancaire dans 2 ou 3 semaines

    Le Dr Shapiro, conseiller du FMI, annonce une débâcle bancaire dans deux ou trois semaines
    Au cours d’un « talk show » sur la BBC, le Dr Robert Shapiro, conseiller au FMI, fait des déclarations très alarmistes au sujet de la crise, du système bancaire et des expositions de ce dernier.
    Verbatim

    En effet, les termes employés par le conseiller du FMI définissent sans détours possibles la gravité de la situation.

    A la question du journaliste lui demandant ce qu’il pourrait se passer si les politiques européens tardaient trop à prendre des mesures au sujet de la crise, le Dr robert Shapiro a répondu ce qui suit :
    « S’ils ne peuvent pas répondre de manière crédible (face de la crise), je pense que dans deux ou trois semaines nous assisterons à la débâcle des dettes souveraines qui entraînera une débâcle du système bancaire européen. Je ne parle pas simplement d’une banque belge relativement petite, mais je parle des plus grandes banques du monde, des plus grandes banques en Allemagne, des plus grandes banques en France, qui impacteront les banques au Royaume-Uni.

    Cela s’étendra partout car le système financier est très interconnecté. Toutes ces banques sont des contreparties pour toutes les banques importantes des USA, du Royaume-Uni et du monde entier. Ce pourrait être une crise, de mon point de vue, plus importante que la crise de 2008…

    Ce que nous ne savons pas, c’est l’importance des « credit default swaps » détenus par les banques en couverture de dettes souveraines et contre les banques européennes, nous ne connaissons pas plus le nombre de CDS détenus par les banques britanniques, comme nous ne savons avec précision quelle est l’exposition des banques anglaises aux risques de la dette souveraine irlandaise. »
    Info ou intox ?

    La déclaration de Robert Shapiro peut surprendre par son côté très alarmiste. Pourtant, à plus d’un titre, il met le doigt sur les points critiques de la situation.

    En premier lieu, le système financier mondial demeure trop interconnecté, d’où une fragilité systémique et une quasi impossibilité d’agir en cas de crise. Les positions en contreparties sont tellement nombreuses qu’on en arrive à des situations inextricables.

    Le deuxième point, très inquiétant, qui ressort de cette déclaration, c’est le manque de transparence du système bancaire. Le FMI sait que la situation contient tous les éléments pour un drame, mais il n’a pas une idée précise de l’ampleur des dégâts potentiels. Le directeur de l’AMF, Jean-Pierre Jouyet, se plaignait récemment du manque de transparence des transactions financières, en particulier sur les produits dérivés, ce qui nous conduit au dernier point.

    Le conseiller du FMI aborde le problème des produits dérivés de gré à gré, comme les CDS. On sait le thème ultrasensible. Aucune banque ne veut communiquer sur le sujet. Les CDS sont des sortes d’assurances émises par les banques qui permettent de se couvrir sur un risque, comme dans le cas d’une dette souveraine. Mais là où le jeu devient fou, c’est que ce mécanisme ne repose sur rien. C’est un pari que prend l’émetteur. Et, manifestement, les banques ont fait le mauvais pari de vendre ce genre de produits en quantité. Combien ? Personne ne sait. Les bilans des banques ne sont pas explicites à ce sujet. On parle souvent de hors bilan pour ce genre d’activités.
    Dans le milieu bancaire, on estime le marché des CDS à environ 30.000 milliards de $ à l’échelle mondiale. Quelle part concerne la crise des dettes souveraines ? Impossible de savoir. Un spécialiste de la gestion du risque bancaire nous affirmait que les banques n’ont pas une idée exacte de leur exposition tous produits confondus.
    D’après Robert Shapiro, nous n’en avons plus que pour deux à trois semaines avant le tsunami financier….si personne ne réagit. En clair, les mots de nos politiques ne suffisent plus, il faut passer aux actes.

    Tempus fugit...




    En clair, ça va de plus en plus mal ! :22:

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    • #3
      C'est presque la Fin, ces politiques menteurs de l'UE vont se déchirer comme des Hyènes.
      Dans la nuit noire, sur la pierre noire, une fourmi noire, ... Dieu la voit.

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      • #4
        Le chef de la Banque d'Angleterre craint la pire crise économique jamais vue !

        Le chef de la Banque d'Angleterre craint la pire crise économique jamais vue

        LONDRES (AP) — Le gouverneur de la Banque d'Angleterre a estimé jeudi que le monde affrontait peut-être la plus grave crise économique de son histoire. L'institution va injecter 75 milliards de livres (86 milliards d'euros; 116 milliards de dollars) de liquidités dans l'économie britannique, fragilisée par la crise de la dette dans la zone euro.

        Mervyn King a déclaré sur la chaîne Sky News que cette crise était la plus grave depuis celle des années 1930, "sinon (la plus grave) jamais vue", ajoutant sur la BBC que l'économie mondiale ralentissait "beaucoup plus vite qu'on ne le pensait il y a encore quelques mois".

        La Banque d'Angleterre a annoncé jeudi l'injection de 75 milliards de livres supplémentaires de liquidités dans l'économie britannique, qui souffre de la crise de la dette dans la zone euro, même si le Royaume-Uni ne fait pas partie des 17 pays du bloc de la monnaie unique.

        Le programme de rachat d'actifs avait permis d'injecter 200 milliards de livres entre mars 2009 et janvier 2010 dans l'économie britannique pour aider le pays à sortir d'une profonde récession.
        AP

        "cette crise était la plus grave depuis celle des années 1930, "sinon (la plus grave) jamais vue"
        Nous voilà vraiment rassurés !

        On va pouvoir aller dormir tranquille !

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        • #5
          Plusieurs notations négatives ont été faites ces derniers jours sur des pays européens, ça se dégrade de semaine en semaine, le temps des remèdes de cheval approche ! ça va faire mal !

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          • #6
            si l'europe tombe c'est un bordel sans nom je rappelle que c'est la 1er puissance commerciale la chine les usa perdent leurs plus gros clients le magrehb j'en parle meme pas

            Commentaire


            • #7
              Peut-être que les pays ayant des ressources d'hydrocarbures deviendront des pays refuge, c'est à dire que les gens ayant un peu d'argent iront les placer dans les banques islamiques du proche-orient, en algérie, en libye...

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              • #8
                pas tout à fait tord

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                • #9
                  point de vue d'amateur

                  Jose Manuel Barroso, pour renflouer les caisses plus que vides de l’Union, a émis l’idée géniale d’une taxe Tobin à l’échelle européen, venant peser sur toutes les transactions financières effectuées en Europe, et il a même indiqué le montant des recettes qu’il espérait : ce cher Jose Manuel ne sait donc pas que la terre est ronde, que les transactions financières sont dématérialisées, et qu’il n’y a rien de plus simple, si on se trouve dans une zone surtaxée, que de se déplacer vers une zone moins taxée. Jose Manuel ferait le bonheur de Wall Street ou de Hong Kong, mais resterait sans un sou en poche.
                  Justement, il le sait très bien. ce genre de déclarations, c'est de la propagande populiste.

                  La situation financière est suffisamment grave pour justifier une fermeture pur et simple des places boursières jusqu'à nouvel ordre. habituellement, pour réaliser toujours plus de profits, les marchés financiers mettent la pression sur les économies pour qu'elles produisent toujours plus de croissance. sauf que ce n'est plus possible aujourd'hui faute de ressources énergétiques suffisantes pour tous. maintenant que les économies sont à bout, qu'elles en peuvent plus produire davantage de croissance, les marchés financiers se rabattent sur les dettes souveraines pour réaliser des profits. la Dette d'un pays, d'une Nation, est transformée en simple produit financier pour pouvoir satisfaire l'appétit des banques et des enfants gâtés de Wall Street, de la City etc.. (les fameux investisseurs). une aberration acceptée par toutes les classes politiques qui font comme si de rien était... affaire à suivre...
                  Dernière modification par Neutrino, 12 octobre 2011, 20h14.

                  Commentaire


                  • #10
                    Peut-être que les pays ayant des ressources d'hydrocarbures deviendront des pays refuge, c'est à dire que les gens ayant un peu d'argent iront les placer dans les banques islamiques du proche-orient, en algérie, en libye...
                    Oui, certainement... tu sais où est placé l'argent algérien lui ? entre la suisse et les états-unis

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                    • #11
                      Ouahooo ça fout la trouille !!!!!

                      Ce soir je crois que je vais reprendre deux fois des nouilles !
                      Ce que vous faites de bien et de mal, vous le faites à vous
                      Mahomet

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                      • #12
                        si l'europe tombe c'est un bordel sans nom je rappelle que c'est la 1er puissance commerciale la chine les usa perdent leurs plus gros clients le magrehb j'en parle meme pas
                        La Chine, oui. elle perd un gros client. mais, à ma connaissance, les USA ne sont pas une économie exportatrice. ils sont tout le temps en déficit commercial comme la France.
                        Dernière modification par Neutrino, 17 octobre 2011, 01h00.

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                        • #13
                          La fin du cauchemar est très simple. les dettes souveraines ne doivent plus être négociées sur les marchés financiers. la dette souveraine, c'est la dette d'un pays. sa gestion engage l'avenir de tout un peuple; d'une Nation. comment la classe politique d'un pays peut-elle accepter que la dette souveraine soit réduite à un vulgaire produit financier négociable en Bourse? Si ce n'est que la-dite classe politique est au service de l'Argent; du Marché et sûrement pas au service du citoyen.

                          vive la Démocratie à l'Occidentale! manifestez... manifestez... le cauchemar ne fait que commencer...
                          Dernière modification par Neutrino, 17 octobre 2011, 19h15.

                          Commentaire


                          • #14
                            mais ils sont quand même au stade de se suicider chez France Télécom... y a un truc qui ne tourne pas rond... en réalité, c'est rose nul part...
                            Dernière modification par Neutrino, 17 octobre 2011, 20h44.

                            Commentaire


                            • #15
                              il faut tout de même relativiser le cauchemard...les occidentaux n'en sont pas encore au point de fuire l'Europe..ou l'Amerique en barque vers des meilleurs horizons...ils vont raler..mais ils oayeront un peu plus chere les cigarette ou l'essence..et continueront a avoir des biens de seconde nécessité..
                              Payer un peu plus cher les cigarettes ?
                              Y'a des gens qui n'arrivent meme pas à se nourrir ou se loger !
                              Et ça ne veut pas dire que ça ne sera pas le cas pire dans les mois et les années qui suivront.
                              Ensuite ça dépent des pays, dans les cas les plus graves comme en Grece ou Portugal les gens fuient en masse; comme ils ont la liberté de circuler dans toute l'UE ils n'ont pas besoin de barques comme en Afrique, autrement c'est exactement la meme chose.
                              Dernière modification par snake78, 18 octobre 2011, 08h19.
                              "When I saw the Hoggar Mountains, my jaw dropped. If you think of Bryce, or Canyonlands National Park, you're close, but the Hoggar Mountains are more spectacular." David Ball, Empire of sands

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