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Syrie: Le terroriste Zreiq
Le terroriste Zreiq :
«Nous incitions les gens à manifester et notre financement provient de l'étranger»
Le terroriste Fadi Zreiq, l'un des bras de l'offensive médiatique contre la Syrie, a avoué avoir joué le rôle de «témoin oculaire» et reçu des instructions de nombre de chaînes de télévision de provocation pour fabriquer des événements se rapportant à ce qui s'était passé à Hama suite à des actes des groupes armés qui y avaient dressé des barricades et tué des innocents.
Avouant hier sur l'écran de la télévision syrienne, le terroriste Zreiq a dit avoir œuvré dès le début des événements à Hama, avec d’autres personnes, à mobiliser les gens pour manifester, soulignant que des personnes de l'extérieur l'avaient contacté, notamment le responsable du soi-disant «Le réseau de Cham», Bilal Taha, qui lui avait demandé de filmer les gens et de lui envoyer des séquences de vidéo.
Le terroriste Zreiq a affirmé avoir propagé des rumeurs sur Hama, telles que «l'armée et les forces de sécurité vont entrer dans la ville et y commettre des massacres», et ce, pour pousser les gens à manifester.
«On m'avait demandé de filmer les manifestations et de contacter les chaînes médiatiques pour diffuser ces films sur leurs écrans», a-t-il poursuivi, faisant remarquer que tout ce qu'il avait dit alors sur ce qui se passe à Hama était gonflement des faits et instigation.
Le terroriste Zreiq a dit qu'il avait parlé six fois à la chaîne d'Al-Jazeera et deux ou trois fois à Al-Arabiya, leur donnant des chiffres multipliés de blessés et de tués. Il a aussi dit avoir évoqué, sur demande de ces chaînes, des questions humanitaires, en particulier le manque de nourriture et d'eau et l'empoisonnement des eaux à Hama.
Le terroriste Zreiq a fait savoir que des groupes terroristes liés à Attar Terkaoui s'étaient formés dans tous les quartiers de Hama y dressant des barricades, prétendant la protection des habitants, mais, en fait, a-t-il précisé, ces groupes avaient provoqué la terreur parmi les habitants de la ville.
Il a aussi souligné avoir contacté Abdel Qader Cheqaqi, qui réside en Arabie saoudite, indiquant que cette personne l'avait incité à porter une arme. Le terroriste Zreiq a indiqué que nombre de journalistes travaillant avec des chaînes satellitaires étaient arrivés illégalement à Hama et avaient interviewé des personnes qui prétendaient l'absence de tout aspect armé dans la ville.
«A l'entrée des deux ambassadeurs français et américain à Hama, Terkaoui m'avait demandé de cacher les armes sur les barricades», a-t-il poursuivi. Quant à l'exploitation médiatique de l'affaire d'Ibrahim Qachouch, dont les chaînes d'incitation avaient prétendu le meurtre par les forces de sécurité,
le terroriste Zreiq a indiqué que cette question a été fortement gonflée et que cette personne a été trouvée tuée du côté du fleuve d'Oronte à Hama. Il a aussi avoué que les groupes armés avaient enlevé des militaires et des éléments de sécurité pour dire qu'ils avaient fait scission.
Le Temps DZ
Les Mensonges et manipulations se dévoilent au grand jour...
«Nous incitions les gens à manifester et notre financement provient de l'étranger»
Le terroriste Fadi Zreiq, l'un des bras de l'offensive médiatique contre la Syrie, a avoué avoir joué le rôle de «témoin oculaire» et reçu des instructions de nombre de chaînes de télévision de provocation pour fabriquer des événements se rapportant à ce qui s'était passé à Hama suite à des actes des groupes armés qui y avaient dressé des barricades et tué des innocents.
Avouant hier sur l'écran de la télévision syrienne, le terroriste Zreiq a dit avoir œuvré dès le début des événements à Hama, avec d’autres personnes, à mobiliser les gens pour manifester, soulignant que des personnes de l'extérieur l'avaient contacté, notamment le responsable du soi-disant «Le réseau de Cham», Bilal Taha, qui lui avait demandé de filmer les gens et de lui envoyer des séquences de vidéo.
Le terroriste Zreiq a affirmé avoir propagé des rumeurs sur Hama, telles que «l'armée et les forces de sécurité vont entrer dans la ville et y commettre des massacres», et ce, pour pousser les gens à manifester.
«On m'avait demandé de filmer les manifestations et de contacter les chaînes médiatiques pour diffuser ces films sur leurs écrans», a-t-il poursuivi, faisant remarquer que tout ce qu'il avait dit alors sur ce qui se passe à Hama était gonflement des faits et instigation.
Le terroriste Zreiq a dit qu'il avait parlé six fois à la chaîne d'Al-Jazeera et deux ou trois fois à Al-Arabiya, leur donnant des chiffres multipliés de blessés et de tués. Il a aussi dit avoir évoqué, sur demande de ces chaînes, des questions humanitaires, en particulier le manque de nourriture et d'eau et l'empoisonnement des eaux à Hama.
Le terroriste Zreiq a fait savoir que des groupes terroristes liés à Attar Terkaoui s'étaient formés dans tous les quartiers de Hama y dressant des barricades, prétendant la protection des habitants, mais, en fait, a-t-il précisé, ces groupes avaient provoqué la terreur parmi les habitants de la ville.
Il a aussi souligné avoir contacté Abdel Qader Cheqaqi, qui réside en Arabie saoudite, indiquant que cette personne l'avait incité à porter une arme. Le terroriste Zreiq a indiqué que nombre de journalistes travaillant avec des chaînes satellitaires étaient arrivés illégalement à Hama et avaient interviewé des personnes qui prétendaient l'absence de tout aspect armé dans la ville.
«A l'entrée des deux ambassadeurs français et américain à Hama, Terkaoui m'avait demandé de cacher les armes sur les barricades», a-t-il poursuivi. Quant à l'exploitation médiatique de l'affaire d'Ibrahim Qachouch, dont les chaînes d'incitation avaient prétendu le meurtre par les forces de sécurité,
le terroriste Zreiq a indiqué que cette question a été fortement gonflée et que cette personne a été trouvée tuée du côté du fleuve d'Oronte à Hama. Il a aussi avoué que les groupes armés avaient enlevé des militaires et des éléments de sécurité pour dire qu'ils avaient fait scission.
Le Temps DZ
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