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Une délégation d'opérateurs allemands du secteur des énergies renouvelables effectuera en novembre prochain une visite en Algérie afin d'explorer les opportunités d'investissements dans ce domaine, indique, ce dimanche 9 octobre, un communiqué du ministère de l’Énergie et des mines, citant l’ambassadeur d’Allemagne, Mme Jutta Wolke. L’ambassadeur, qui a été reçu en audience par le ministre, s’est engagé « à encourager les sociétés allemandes notamment celles qui ne sont pas présentes en Algérie à venir investir et explorer le marché algérien », indique le texte.
De son côté, Youcef Yousfi a exprimé le vœu que les entreprises allemandes « s'engagent davantage en Algérie, notamment dans les domaines de la pétrochimie, des énergies renouvelables et dans la fabrication localelement des équipements entrant dans l'industrie énergétique », selon le texte.
Cette rencontre intervient quelques jours après l’annonce par le PDG de Desertec international initiative (DII) de l’implantation de la première centrale du projet en 2012 au Maroc. Une annonce qui semble avoir pris de vitesse l’Algérie dont les tergiversations ont fini par lasser ses partenaires étrangers. Alors que le président de la République lui‑même s’était prononcé en faveur du projet lors de sa visite en Allemagne en décembre 2010, d’autres responsables ont, depuis, exprimé certaines réserves. « Il y a une différence d’appréciation. Nous sommes favorables à la création d’un marché du renouvelable en Afrique du Nord, mais avec un développement technologique et industriel en Afrique du Nord », avait ainsi affirmé le PDG de Sonelgaz Nourredine Bouterfa sur les ondes de la Chaîne III. Gigantesque projet, pour un coût de 400 milliards de dollars, le projet Desertec vise à produire à grande échelle de l’électricité solaire, susceptible d’alimenter l’Europe, via la construction d’un grand nombre de centrales solaires thermiques dans plusieurs pays de la rive sud de la Méditerranée.
tsa
De son côté, Youcef Yousfi a exprimé le vœu que les entreprises allemandes « s'engagent davantage en Algérie, notamment dans les domaines de la pétrochimie, des énergies renouvelables et dans la fabrication localelement des équipements entrant dans l'industrie énergétique », selon le texte.
Cette rencontre intervient quelques jours après l’annonce par le PDG de Desertec international initiative (DII) de l’implantation de la première centrale du projet en 2012 au Maroc. Une annonce qui semble avoir pris de vitesse l’Algérie dont les tergiversations ont fini par lasser ses partenaires étrangers. Alors que le président de la République lui‑même s’était prononcé en faveur du projet lors de sa visite en Allemagne en décembre 2010, d’autres responsables ont, depuis, exprimé certaines réserves. « Il y a une différence d’appréciation. Nous sommes favorables à la création d’un marché du renouvelable en Afrique du Nord, mais avec un développement technologique et industriel en Afrique du Nord », avait ainsi affirmé le PDG de Sonelgaz Nourredine Bouterfa sur les ondes de la Chaîne III. Gigantesque projet, pour un coût de 400 milliards de dollars, le projet Desertec vise à produire à grande échelle de l’électricité solaire, susceptible d’alimenter l’Europe, via la construction d’un grand nombre de centrales solaires thermiques dans plusieurs pays de la rive sud de la Méditerranée.
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