Semble-t-il que l'essentiel est de laisser la place aux jeunes??!!! En voilà un spécimen!! Le FI S à Belkhadem en Beltagui au service de son géniteur, gérontocrate en passe de céder la place.
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Crise du FLN : le fils à Belkhadem mobilise.
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FLN : le fils de Belkhadem tente de perturber la réunion des «redresseurs»
Le mouvement de redressement et authenticité du FLN a entamé, hier à la salle des fêtes Les Crêtes, à Draria, sa conférence nationale des cadres pour débattre des réformes politiques promises par le chef de l’Etat, Abdelaziz Bouteflika.
Cette réunion, qualifiée par les observateurs, d’«université d’été bis», durera deux jours et verra la participation de plus de 300 personnes venues de toutes les localités du territoire national. Ce conclave des redresseurs du FLN a été autorisé par le ministère de l’Intérieur et a été mis sous haute surveillance sécuritaire assurée par la DGSN et la Gendarmerie nationale. Un cordon de sécurité a été installé autour de la salle par les forces antiémeute de la gendarmerie. Tous les accès menant à la salle des fêtes ont été bouclés et interdits à la circulation des passants et des automobilistes. «Nous craignons les baltagia de Belkhadem qui tente de torpiller notre conférence, des gens ont été payés pour venir empêcher la tenue de ce rassemblement», confie un des organisateurs.
Pour preuve, des incidents ont eu lieu avant la tenue du rassemblement. «Ce matin, le fils de Belkhadem, Chawki Zakaria, en compagnie de deux personnes à bord d’un véhicule de l’APN et munis d’un ordre de mission ont été interpellés par les éléments des RG, ils sont venus perturber la tenue de la conférence», nous renseigne Redouane, un des organisateurs. Une information qui nous a été confirmée par un officier de la gendarmerie : «Des rapports ont été rédigés et envoyés à qui de droit.» A l’extérieur, une trentaine de personnes pro-Belkhadem ont observé un sit-in, munis de pancartes et de portraits de Abdelaziz Belkhadem, sous le regard amusé des gendarmes des forces antiémeute.
Propositions
La cérémonie d’ouverture a été présidée par Salah Goudjil, l’un des membres historiques du FLN, et Rachid Boukerzaza, ancien ministre de la Communication. En préambule, les redresseurs souhaitent que «la priorité soit accordée à l’amendement de la Constitution avant les autres lois organiques» et plaident pour l’instauration d’une «commission nationale compétente, intègre et neutre composée de spécialistes avec l’implication des acteurs-clés de la société», selon les termes du document remis à la presse. Plaidant pour la séparation des pouvoirs, les redresseurs proposent un mandat présidentiel de quatre ans renouvelable une seule fois et l’obligation faite au président de la République de prononcer un discours chaque année devant les députés. Le Premier ministre, aux yeux des redresseurs, devrait être nommé de la majorité parlementaire et devrait se présenter au Parlement chaque semaine pour répondre aux questions des députés. Une manière, selon les initiateurs du document, de séparer les pouvoirs et identifier les responsabilités du chef de l’Etat et du Premier ministre et ainsi «éviter la monopolisation des décisions».
Pas de nomadisme politique
Les redresseurs plaident aussi pour la démission du gouvernement six mois avant la tenue des élections «pour éviter l’utilisation des deniers publics pour des raisons partisanes», contrairement aux vœux de Belkhadem. Ainsi que l’écartement des hommes d’affaires de la députation. Toujours sur la même lancée, les redresseurs proposent l’interdiction du nomadisme politique. Concernant le quota des femmes dans les assemblées élues, ils suggèrent l’adoption de listes locales et nationales séparées réservées aux femmes dans la limite de la loi, sans toutefois préciser un pourcentage. La libération du champ politique pour permettre la création de nouveaux partis demeure une nécessité et une priorité, selon les rédacteurs du document. Concernant le secteur de l’information, les redresseurs appellent à la libération de l’audiovisuel aux privés, la réactivation du Haut Conseil de l’information, à la fin du monopole de la publicité publique et la levée des restrictions sur les journaux et les magazines. Le document de sept pages soumis à débat fera l’objet d’un réajustement qui sera rendu public ce soir.
Zouheir Aït Mouhoub
Si tu parles, tu meurs. Si tu te tais, tu meurs. Alors, dis et meurs
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Semble-t-il que l'essentiel est de laisser la place aux jeunes??!!! En voilà un spécimen!! Le FI S à Belkhadem en Beltagui au service de son géniteur, gérontocrate en passe de céder la place.
Trouvais-tu cela indigne quand le fils du défunt Boudiaf avait signé des tribunes dans la presse pour faire la promotion du parcours de son père et défendre certaines de ses positions politiques ?
Idem pour le fils du défunt Amirouche qui utilise (je n'ai pas dit instrumentalise mais utilise) la mémoire de son père pour promouvoir ses propres actions politiques (le livre de Saadi)....etc.
Sérieusement, nous pouvons multiplier les exemples à l'infini (en Algérie et à l'étranger)...Pourquoi devrait-il en être autrement pour le fils de Belkhadem ?
Ex: Chelsea Clinton
Légende : Chelsea Clinton speaking during a campaign stop for her mother in Madison, Wisconsin, February 2008
Envoyé par WikipédiaIn December 2007, Clinton began campaigning in Iowa in support of her mother's bid for the Democratic presidential nomination.[34] She appeared across the country, largely on college campuses.[35][36][37] By early April 2008, she had spoken at 100 colleges on behalf of her mother's candidacy.Dernière modification par Dandy, 15 octobre 2011, 14h40.
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@ Dandy
Je n'ai pas très bien compris ce que tu lui reproches ? Tu trouves que c'est condamnable qu'un fils soutienne son père ?
Qu'il fasse de la propagande pour son pére c'est naturel , et c'est le contraire qui ne le serait pas.
Mais jouer au dictateur, en utilisant un véhicule de service de son pére, plus un ordre de mission de l'APN, il ya de quoi placer "une bombe" sur son passage ." Celui qui passe devant une glace sans se reconnaitre, est capable de se calomnier sans s'en apercevoir "
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@ Iska,
Si l'information est avérée, je te rejoindrais complètement sur la condamnation mais honnêtement par ces temps politiques troubles, je n'accorde pas beaucoup de foi aux "compte-rendus" quand ils sont le fait d'un seul journal.
@Tamerlan,
Je n'ai pas lu les slogan (en fait, je n'arrive pas à le faire, c'est super petit sur mon écran). Qu'est-ce qui est écrit ?
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[QUOTE]@ Dandy
Si l'information est avérée, je te rejoindrais complètement sur la condamnation mais honnêtement par ces temps politiques troubles, je n'accorde pas beaucoup de foi aux "compte-rendus" quand ils sont le fait d'un seul journal.
QUOTE]
Connaissant le personnage et son amour du pouvoir " à n'importe quel prix"
l'information ne peut étre que véridique .
Vivement la mise au placard du FLN , car chacun va y aller de son slogan pour se placer, des chevaux en quête de la cagnotte du prix du president de la république ." Celui qui passe devant une glace sans se reconnaitre, est capable de se calomnier sans s'en apercevoir "
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@dandy
a droite de l'ecran "مع الشرعية" = "avec la légalité"
a gauche "لا للإنتهازية والتموقع" " non a l'opportunisme et au positionnement "
la premiere est degoutante vu comment son pere est arrivé a la tete du FLN a la place de ben flis en annulant a l'aide de l'administration tout les résultats un congres FLN tout a fait légal
la deuxième est un slogan tellement creux et vide de sens ..un homme politique doit automatiquement prendre position..quand al'opportunisme..« Puis-je rendre ma vie
Semblable à une flûte de roseau
Simple et droite
Et toute remplie de musique »
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@ Dandy
Belkhadem « junior » manifeste contre les redresseurs
Par : Rédaction WEB[IMG]http://www.liberte
Une vingtaine de fidèles à la direction du FLN est venue protester contre la tenue d’une rencontre des redresseurs du parti qui se déroulait à Draria, sur les hauteurs d’Alger. A la tête de ce groupe, un jeune homme a été reconnu par les militants redresseurs et par les journalistes. Il s’agissait tout simplement de l’un des fils du secrétaire général du FLN, Abdelazziz Belkhadem. Les manifestants scandaient des slogans hostiles aux organisateurs de la rencontre, qu’ils n’ont pas hésité à traiter de « traîtres ». « el djebaha djebhatouna, et Belkhadem aminouna » (le front est notre front, et Belkhadem est notre secrétaire général », était repris à gorges déployées. Il a été remarqué que la majorité de ces militants est venue sur place à bord de plusieurs véhicules immatriculés, entre autres, à Tiaret (14) et Laghouat (03). Cette présence des « perturbateurs » n’a pas engendré d’incidents, grâce à la présence d’un dispositif impressionnant des forces de l’ordre sur place.
" Celui qui passe devant une glace sans se reconnaitre, est capable de se calomnier sans s'en apercevoir "
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«Ce matin, le fils de Belkhadem, Chawki Zakaria, en compagnie de deux personnes à bord d’un véhicule de l’APN et munis d’un ordre de mission ont été interpellés par les éléments des RG, ils sont venus perturber la tenue de la conférence», nous renseigne Redouane, un des organisateurs."Je suis un homme et rien de ce qui est humain, je crois, ne m'est étranger", Terence
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