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Dans le Kansas, battre sa femme n'est plus illégal
L'état du Kansas vient d'abroger sa loi sur les violences domestiques pour des prétextes purement budgétaires.
Il existe un dicton qui dit "bats ta femme tous les jours, si tu ne sais pas pourquoi, elle, elle le sait". C'est un peu ce que vient de décider la ville de Topeka, capitale du Kansas qui a abrogé sa loi sur les violences conjugales pour des raisons financières.
La raison de cette étrange décision, un contentieux entre le Comté et la ville pour une sombre question de sous. A cause d'une chute de 10 % de son budget, la ville se déclare dans l'incapacité de payer les procureurs, les tribunaux, le personnel et même la prison nécessaire pour rendre justice aux personnes maltraitées.
Les associations d'aides aux victimes de la violence domestique sont écoeurées et ne comprennent pas que l'on puisse prendre en otage la vie des gens pour régler des différends budgétaires, surtout que cette violence familiale constitue 50 % des affaires étudiées par les tribunaux locaux.
Les responsables municipaux assurent qu'il ne s'agit pas d'une "décriminalisation" car la violence domestique reste interdite et les crimes domestiques punis par la loi. Malgré tout, c'est déjà plus de trente personnes qui ont bénéficié d'un classement sans suite et cela malgré des récidives pour au moins l'un d'entre eux.
Et vous, pensez-vous que la crise financière puisse entrainer des cas similaires en France ?
Sources : Slate.fr
Il existe un dicton qui dit "bats ta femme tous les jours, si tu ne sais pas pourquoi, elle, elle le sait". C'est un peu ce que vient de décider la ville de Topeka, capitale du Kansas qui a abrogé sa loi sur les violences conjugales pour des raisons financières.
La raison de cette étrange décision, un contentieux entre le Comté et la ville pour une sombre question de sous. A cause d'une chute de 10 % de son budget, la ville se déclare dans l'incapacité de payer les procureurs, les tribunaux, le personnel et même la prison nécessaire pour rendre justice aux personnes maltraitées.
Les associations d'aides aux victimes de la violence domestique sont écoeurées et ne comprennent pas que l'on puisse prendre en otage la vie des gens pour régler des différends budgétaires, surtout que cette violence familiale constitue 50 % des affaires étudiées par les tribunaux locaux.
Les responsables municipaux assurent qu'il ne s'agit pas d'une "décriminalisation" car la violence domestique reste interdite et les crimes domestiques punis par la loi. Malgré tout, c'est déjà plus de trente personnes qui ont bénéficié d'un classement sans suite et cela malgré des récidives pour au moins l'un d'entre eux.
Et vous, pensez-vous que la crise financière puisse entrainer des cas similaires en France ?
Sources : Slate.fr
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