Pour continuer à toucher la pension de sa mère, une femme avait caché sa mort et enterré le corps dans son jardin.
Une Française habitant sur l'archipel espagnol des Canaries s'est présentée spontanément devant un juge de l'île de Tenerife. Elle lui a confessé avoir caché le décès de sa mère. La vieille dame était décédée de mort naturelle, en 2007, à 90 ans.
Sa fille Marie-Claire avait enterré le corps dans le jardin de la villa où les deux femmes vivaient, dans la ville d'Adeje.
Une équipe de la Garde Civile et un médecin légiste se sont rendus sur les lieux. Des fouilles dans le jardin ont permis de découvrir le squelette de la vieille dame, enveloppé dans une toile métallique. Une autopsie à confirmé la mort naturelle.
Après cette confession, Marie-Claire J., a pu rentrer chez elle, à Adeje. "Enterrer quelqu’un hors des normes réglementaires n’est pas constitutif d’un délit en Espagne s’il n’y a pas atteinte à la santé publique" explique la Garde civile rapporte le quotidien Le Républicain Lorrain.
Marie-Claire J. pourrait cependant être passible de poursuites en France. depuis 2007, elle retirait et utilisait régulièrement le montant de la pension de sa mère.
Sources : Le Républicain Lorrain
Une Française habitant sur l'archipel espagnol des Canaries s'est présentée spontanément devant un juge de l'île de Tenerife. Elle lui a confessé avoir caché le décès de sa mère. La vieille dame était décédée de mort naturelle, en 2007, à 90 ans.
Sa fille Marie-Claire avait enterré le corps dans le jardin de la villa où les deux femmes vivaient, dans la ville d'Adeje.
Une équipe de la Garde Civile et un médecin légiste se sont rendus sur les lieux. Des fouilles dans le jardin ont permis de découvrir le squelette de la vieille dame, enveloppé dans une toile métallique. Une autopsie à confirmé la mort naturelle.
Après cette confession, Marie-Claire J., a pu rentrer chez elle, à Adeje. "Enterrer quelqu’un hors des normes réglementaires n’est pas constitutif d’un délit en Espagne s’il n’y a pas atteinte à la santé publique" explique la Garde civile rapporte le quotidien Le Républicain Lorrain.
Marie-Claire J. pourrait cependant être passible de poursuites en France. depuis 2007, elle retirait et utilisait régulièrement le montant de la pension de sa mère.
Sources : Le Républicain Lorrain
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