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Fawzi Chaouchi, le gardien du MC Alger, s’est de nouveau illustré par un comportement condamnable samedi soir à Béjaïa.
Il a commis une agression sur un joueur de la JSMB, qui lui a valu une expulsion en fin de partie, cela risque de lui porter préjudice sans préjuger des suites qui seront données à son attitude peu fair-play à l’endroit des supporters locaux. Le joueur ne cesse de s’illustrer sur le terrain par une conduite trop éloignée de celle d’un sportif de haut niveau. De la JSK au MCA en passant par l’ESS, il ne cesse de défrayer la chronique, en mal, et entame son crédit récolté depuis ses débuts réussis en première division sous les couleurs de la JSK et surtout sa belle prestation à Omdurman lors du match barrage Algérie-Egypte (1-0) qualificatif à la Coupe du monde 2010.
Depuis ce mémorable soir, il file du mauvais coton et s’éloigne chaque jour un peu plus de sa trajectoire qui devait le mener au sommet de son art. Parlant de ce qui lui arrive, son manager Sadek Belmihoub souligne : «Fawzi traverse, depuis des mois, une mauvaise passe et personne ne l’aide. Mentalement, il n’est pas très costaud. D’aucuns profitent de sa faiblesse passagère pour l’anéantir. Au lieu de lui tendre la main pour le secourir, des parties font tout pour l’enfoncer. A Béjaïa, il a disjoncté et il le reconnaît. Dès qu’il met le pied sur le terrain, des flots d’insultes s’abattent sur lui. C’est un être humain et comme tel il a des faiblesses. Son tort, samedi, c’est d’avoir ‘‘lâché’’ lorsque les insultes fusaient des gradins.
Après coup, il a sincèrement regretté son geste» souligne son agent. Cela suffira-t-il pour lui éviter une sanction exemplaire ?
Son agent le souhaite et affirme : «Fawzi est un être très sensible. La moindre remarque désobligeante le met dans tous ses états. Surtout, lorsqu’il s’agit de propos grossiers sur sa mère qui est souffrante. J’estime qu’il doit bénéficier de circonstances atténuantes», conclut Sadek Belmihoub.
Yazid Ouahib - El Watan.
Il a commis une agression sur un joueur de la JSMB, qui lui a valu une expulsion en fin de partie, cela risque de lui porter préjudice sans préjuger des suites qui seront données à son attitude peu fair-play à l’endroit des supporters locaux. Le joueur ne cesse de s’illustrer sur le terrain par une conduite trop éloignée de celle d’un sportif de haut niveau. De la JSK au MCA en passant par l’ESS, il ne cesse de défrayer la chronique, en mal, et entame son crédit récolté depuis ses débuts réussis en première division sous les couleurs de la JSK et surtout sa belle prestation à Omdurman lors du match barrage Algérie-Egypte (1-0) qualificatif à la Coupe du monde 2010.
Depuis ce mémorable soir, il file du mauvais coton et s’éloigne chaque jour un peu plus de sa trajectoire qui devait le mener au sommet de son art. Parlant de ce qui lui arrive, son manager Sadek Belmihoub souligne : «Fawzi traverse, depuis des mois, une mauvaise passe et personne ne l’aide. Mentalement, il n’est pas très costaud. D’aucuns profitent de sa faiblesse passagère pour l’anéantir. Au lieu de lui tendre la main pour le secourir, des parties font tout pour l’enfoncer. A Béjaïa, il a disjoncté et il le reconnaît. Dès qu’il met le pied sur le terrain, des flots d’insultes s’abattent sur lui. C’est un être humain et comme tel il a des faiblesses. Son tort, samedi, c’est d’avoir ‘‘lâché’’ lorsque les insultes fusaient des gradins.
Après coup, il a sincèrement regretté son geste» souligne son agent. Cela suffira-t-il pour lui éviter une sanction exemplaire ?
Son agent le souhaite et affirme : «Fawzi est un être très sensible. La moindre remarque désobligeante le met dans tous ses états. Surtout, lorsqu’il s’agit de propos grossiers sur sa mère qui est souffrante. J’estime qu’il doit bénéficier de circonstances atténuantes», conclut Sadek Belmihoub.
Yazid Ouahib - El Watan.
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