Si un jour je fais la rencontre du bonheur des hommes et pas d’un homme
Je lui poserai la question d’un homme qui veut en découdre avec la nature et même avec sa nature.
Rien que pour lui prouver que l’homme sans l’homme n’est peut être pas sa liberté.
D’un ridicule regard je lui demanderai un instant de bonheur pour tout un peuple qui souffre de la nature et des hommes.
Le bonheur connaitra son nom par les cris de la soiffe et de la famine.
Je lui demanderai enfin d’embrasser ces cris sous le soleil brulant pour sentir l’odeur de la chaire des lèvres brulantes d’une mère.
Qui brule de chaleur morte et de tendresse asséchée.
La tendresse d’une mère qui écoute la mort de son enfant endormi par la faim
La chaleur d’une mort lente et douce qui ne fait pas mal comme celle des bombardements.
La question que je poserai au bonheur, qui es-tu bonheur ?
Je lui poserai la question d’un homme qui veut en découdre avec la nature et même avec sa nature.
Rien que pour lui prouver que l’homme sans l’homme n’est peut être pas sa liberté.
D’un ridicule regard je lui demanderai un instant de bonheur pour tout un peuple qui souffre de la nature et des hommes.
Le bonheur connaitra son nom par les cris de la soiffe et de la famine.
Je lui demanderai enfin d’embrasser ces cris sous le soleil brulant pour sentir l’odeur de la chaire des lèvres brulantes d’une mère.
Qui brule de chaleur morte et de tendresse asséchée.
La tendresse d’une mère qui écoute la mort de son enfant endormi par la faim
La chaleur d’une mort lente et douce qui ne fait pas mal comme celle des bombardements.
La question que je poserai au bonheur, qui es-tu bonheur ?
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