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Maroc : Loi des finances . El Fassi passe aux aveux .

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  • Maroc : Loi des finances . El Fassi passe aux aveux .

    Mezouar et El Fassi ont chacun donné une version du report. (TNIOUNI)



    Loi de Finances. El Fassi passe aux aveux



    Le retrait du projet de Loi de Finances du parlement continue de défrayer la chronique. Interpellé par les membres du comité central de son parti, Abbas El Fassi a fini par tout avouer. “Oui, je n’étais pas au courant du retrait du texte de Loi de Finances du parlement. On s’était mis d’accord pour passer le projet dans les délais convenus au sein du Conseil de gouvernement, mais le ministre des Finances et le secrétaire général du gouvernement en ont décidé autrement”, a notamment expliqué El Fassi devant les cadres de son parti, réunis samedi 8 octobre à Rabat. Le chef du gouvernement a ensuite fait allusion à un
    éventuel blocage au niveau d’un “fort lobby constitué de banquiers, d’assureurs et d’opérateurs télécoms”, mécontents de financer le fonds de solidarité nationale prévu pour 2012. “Ils ont dû plaider leur cause en haut lieu. Le SG du gouvernement n’a fait qu’exécuter”, analyse un cadre de la Jeunesse istiqlalienne.

    Telquel
    Dernière modification par Iska, 19 octobre 2011, 11h02.
    " Celui qui passe devant une glace sans se reconnaitre, est capable de se calomnier sans s'en apercevoir "

  • #2
    Jeudi, le 20 octobre, coïncide avec la dernière journée du délai constitutionnel consacré à la présentation du projet de budget par le gouvernement.

    source le matin
    que compte t il faire maintenant? faire derogation de la constitution?

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    • #3
      Jaimerais que l'on m'explique pourquoi un premier ministre, se fait doubler par un ministre des finances, dans un pays( democratique) comme le Maroc.
      Et surtout du secretaire general du gouvernement, qui est sous les ordres du premiere ministre!!!!!!!!!!!


      NB : ne parlez pas de l'Algérie, nous "savons" tous que c'est une dictature dirigée par la DRS

      Ceci pour éviter de sortir du sujet .
      Dernière modification par Iska, 19 octobre 2011, 11h21.
      " Celui qui passe devant une glace sans se reconnaitre, est capable de se calomnier sans s'en apercevoir "

      Commentaire


      • #4
        Jaimerais que l'on m'explique pourquoi un premier ministre, se fait doubler par un ministre des finances, dans un pays( democratique) comme le Maroc.
        Et surtout du secretaire general du gouvernement, qui est sous les ordres du premiere ministre!!!!!!!!!!!
        pour qu'un ministre prend une tell décision tout seul, ca ne peut être que le tel rouge du "big boss"
        voici un article de l'économiste,apparemment le retrait a concerné une éventuelle erreur dans le projet!!!
        Retrait du budget: Toujours pas de visibilité
        (L'Economiste du Maroc 28/09/2011)


        Une énième réunion de la commission politique de la majorité

        Le Fonds national de solidarité sociale revisité

        Contribution des banques avec 450 millions de DH et les assurances 100 millions de DH

        LA commission, présidée par Abbas El Fassi et composée des sensibilités politiques de la majorité et du SGG, n’est pas au bout de ses peines. Elle n’a toujours pas trouvé de porte de sortie au retrait du projet de budget du Parlement mercredi dernier (cf. notre édition du vendredi 23 septembre; www.leconomiste.com). Une autre réunion était programmée pour hier lundi 26 septembre dans la soirée.

        Pour l’heure, c’est toujours l’impasse. Sauf rebondissement de dernière minute, la tendance abonde dans le sens du dépôt (une deuxième fois) du projet de budget au Parlement avant le 20 octobre, conformément à la Constitution, mais sans l’examiner ni l’adopter par les deux chambres.

        Charge pour le prochain gouvernement d’y apporter les modifications selon ses priorités et selon sa déclaration de politique générale. A partir du 1er janvier, le gouvernement ouvre, par décret, les crédits nécessaires à la marche des services publics. Cette situation est prévue par l’article 75 de la nouvelle Constitution.

        Ainsi, on aura évité un problème passé sous silence jusqu’ici et qui relève de la moralité politique. Car, dans cette affaire, la question centrale est de savoir comment procéder pour ne pas engager le prochain gouvernement par une loi de Finances qu’il n’aura pas conçue. Surtout qu’il s’agit du premier gouvernement après l’adoption de la nouvelle Constitution.

        D’ailleurs, cet argument d’éthique politique a été avancé par le ministre des Finances avant même cet emballement : «il serait malsain politiquement et éthiquement de laisser la deuxième partie de l’approbation du projet de budget à un Parlement entrant».

        En tout cas, différentes rumeurs ont circulé sur les causes du retrait. L’une a porté sur un éventuel oubli des secteurs sociaux, surtout la création du Fonds national de solidarité sociale. Or, l’article 18 du projet de budget le prévoit, avec les ressources du Fonds revisitées.

        Il ne s’agit plus de pourcentage à prélever comme contenu dans les mesures fiscales présentées au Conseil de gouvernement. «Ce sont des contributions dans un cadre conventionnel», comme l’a précisé le ministre des Finances. Ainsi, les banques participent au Fonds de solidarité sociale à hauteur de 450 millions de DH et le secteur des assurances pour 100 millions de DH.

        Les secteurs sociaux ont bénéficié des différents crédits nécessaires pour exécuter leurs programmes. Le projet de loi de Finances a institutionnalisé pour la première fois la généralisation du Ramed pour 1 milliard de DH. Il a consacré 1 milliard de DH au programme Tissir (bourse pour lutter contre l’abandon scolaire), en plus de l’opération de 1 million de cartables.

        En outre, la commission politique présidée par le chef de gouvernement aurait demandé un autre «projet de budget minimaliste», pour reprendre l’expression d’un de ses membres. Une doléance difficilement envisageable puisqu’il faudra une autre note d’orientation signée par le chef de gouvernement pour le réaliser, indique un ministre. D’autant qu’il est difficile de le faire sans toucher le budget d’investissement, sans supprimer les dotations des stratégies sectorielles. Que faire alors du Plan Maroc vert, de l’énergie solaire, d’Emergence?…
        Le risque de voir partir en fumée 16 milliards de DH n’est pas loin. C’est le montant que déboursent les instances internationales pour le financement notamment des stratégies sectorielles.
        L’autre rumeur pour expliquer le retrait a concerné une éventuelle erreur dans le projet. La tradition veut que, lorsque l’on s’aperçoit d’une faute dans le texte, on y apporte un avenant au niveau du Parlement. Presque une semaine après le retrait, cette faute n’a pas été corrigée. Sinon, pourquoi le porte-parole du gouvernement a officiellement expliqué que le retrait des documents est dû à l’agenda chargé des deux chambres du Parlement. Au final, c’est toujours la grande pagaille dans la gestion de ce dossier.

        L’opposition s’en mêle

        DANS cette affaire, si les partis de la majorité font profil bas, ce n’est pas le cas de l’opposition. Le PJD a réclamé la convocation du chef de gouvernement à la commission des Finances pour expliquer l’improvisation dans la gestion du retrait. En fait, il sait que Abbas El Fassi ne viendra pas à une commission spécialisée, à la limite dans une séance plénière de l’Institution. Le PAM a également surfé sur la vague en rappelant le danger des surenchères politiques utilisées comme prétexte pour demander le report des élections.
        Mohamed CHAOUI


        © Copyright L'Economiste du Maroc

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        • #5
          voici un article de l'économiste,apparemment le retrait a concerné une éventuelle erreur dans le projet!!!
          Tu n'es pas du tout convaincant-.

          Pour que le premier ministre presente son budget à l'assemblée c'est qu'il a été étudié sous toutes les coutures, et ce n'est pas au ministre des finances encore moins au secretaire général du gouvernement de le bloquer.
          A moins que ce ne soit les charmeurs de serpents de djammaa l'fna de Marrakech qui aient participé au projet du budget, auquel cas je comprends parfaitement l'attitude des deux responsables du retrait .
          " Celui qui passe devant une glace sans se reconnaitre, est capable de se calomnier sans s'en apercevoir "

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          • #6
            iska

            Tu n'es pas du tout convaincant-
            tu veut dir l'article n'est pas convaincant,je te rejoint ,c'est mon avis aussi .

            voici ma convection :
            pour qu'un ministre prend une tell décision tout seul, ca ne peut être que le tel rouge du "big boss"
            wallaho a3lam

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            • #7
              pour qu'un ministre prend une tell décision tout seul, ca ne peut être que le tel rouge du "big boss"

              Donc , la nouvelle constitution , le premier ministre qui gouverne et patati et patati et patata, ce n'est que de la poudre aux yeux .

              Le mouvement du 20 février a donc parfaitement raison de continuer à manifester.
              " Celui qui passe devant une glace sans se reconnaitre, est capable de se calomnier sans s'en apercevoir "

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              • #8
                Il faut rappeler que le chef du gouvernement et le ministre des finances ne sont pas du même parti politique...mezouar aspire à devenir le prochain premier ministre donc il s'agit bel et bien d'adversaires..

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                • #9
                  Ainsi, on aura évité un problème passé sous silence jusqu’ici et qui relève de la moralité politique. Car, dans cette affaire, la question centrale est de savoir comment procéder pour ne pas engager le prochain gouvernement par une loi de Finances qu’il n’aura pas conçue. Surtout qu’il s’agit du premier gouvernement après l’adoption de la nouvelle Constitution.
                  c'est ca l'avantage d'avoir un "big boss" pendant les transitions ,sinon 3bibis peut faire voter une loi de finance juste pour plaire au électeurs , valable "2mois" et après les élections "débrouillez vous "

                  ps pour moi le mvt de 20 fev doit continuer à manifester avec ou sans loi

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                  • #10
                    rodmaroc

                    Il faut rappeler que le chef du gouvernement et le ministre des finances ne sont pas du même parti politique.....


                    C'est vrai,mais le retrait est pour une autre raison,peut être pour ne pas cautionner une loi de finances, que lui et son parti n'approuvent pas et qui risque de leur être politiquement fatal .
                    "Les petits esprits parlent des gens, les esprits moyens parlent des événements, les grands esprits parlent des idées, et les esprits supérieurs agissent en silence."

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                    • #11
                      C'est vrai,mais le retrait est pour une autre raison,peut être pour ne pas cautionner une loi de finances, que lui et son parti n'approuvent pas et qui risque de leur être politiquement fatal .
                      oui,peut être....des lobbys sont représentés au sein même de l'istiqlal et du RNI...il ne faut pas se voiler la face, ceux qui détiennent le pouvoir financier influent sur les décisions politiques.

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                      • #12
                        le royaume enchanté part la MAP ??
                        .mezouar aspire à devenir le prochain premier ministre donc il s'agit bel et bien d'adversaires..
                        @rodmaroc
                        La transparence et l intérêt général du royaume avant tout
                        Héhé !pourtant vous prétendez que le Maroc est un pays démocratique ???
                        Pays des magouilles : Oui ! le Maroc appartient , ni au roi , ni au peuple , appartient aux istiqlaliens , ils font qu est ce qu ils veulent au royaume enchanté par eux ..
                        A qui sait comprendre , peu de mots suffisent

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                        • #13
                          le maroc est un pays démocratique

                          la preuve ??

                          les 20 schtroumpfs manifestent librement tous les dimanches

                          c'est même devenu une attraction qui amuse les gens

                          qu'en dis tu houari ?
                          La vitesse de la lumière dépassant celle du son, certaines personnes paraissent brillantes avant de l'ouvrir

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                          • #14
                            @mégamax
                            Loi de Finances. El Fassi passe aux aveux

                            *El Fassi acculé et passe aux aveux ?
                            Pays de magouilles et non de la démocratie transparente ( le parlement Khodra fouk a3cha : de façade )
                            A qui sait comprendre , peu de mots suffisent

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                            • #15
                              oui,peut être....des lobbys sont représentés au sein même de l'istiqlal et du RNI...il ne faut pas se voiler la face, ceux qui détiennent le pouvoir financier influent sur les décisions politiques.
                              les politiques influent sur les décisions politiques , les financiers , eux les prennent .......

                              sinon , pour 3bibisse , je sui à peine surpris qu'on le court-circuite de la sorte , le gars n'a aucun charisme aucune présence et il titube comme un mort vivant dans méandre du pouvoir auquel il s'accroche avec déséspoir . pas étonnant alors qu'il y en ai qui prennent les décisions sans lui preter attention .
                              " Je me rend souvent dans les Mosquées, Ou l'ombre est propice au sommeil " O.Khayaâm

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