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Doing Business: Le Maroc, meilleur réformateur global
Le Maroc, champion du Doing Business 2012. Le très attendu rapport de la Banque mondiale vient de tomber et, surprise, le Maroc y figure comme l'économie qui a le plus amélioré son climat d'affaires.
Cette édition a en effet classé le royaume à la 94e place, soit 21 rangs de mieux que la précédente édition. Selon l’argumentaire du Doing Business, le Maroc a amélioré sa réglementation des affaires en simplifiant le processus d’octroi des autorisations, en allégeant le fardeau administratif de la conformité fiscale et en fournissant une plus grande protection aux actionnaires minoritaires. Le rapport note par ailleurs que depuis 2005, le Maroc a mis en œuvre 15 réformes réglementaires des affaires. Du coup, gagner 21 places n'est certes pas le fruit des changements intervenus sur la seule année 2011, mais surtout de l'aboutissement d'un processus d'amélioration du climat des affaires entamé depuis plusieurs années. Aussi a-t-il été question en 2011 de communiquer auprès des plus importantes institutions internationales à propos de ces mutations, pour justement éviter de tomber dans les mêmes travers que l'année dernière. Pour rappel, les officiels marocains ont fortement critiqué le classement de la précédente édition qui, selon eux, n'a pas tenu compte des avancées majeures réalisées par le royaume dans ce sens.
Par LesEchos.ma
Cette édition a en effet classé le royaume à la 94e place, soit 21 rangs de mieux que la précédente édition. Selon l’argumentaire du Doing Business, le Maroc a amélioré sa réglementation des affaires en simplifiant le processus d’octroi des autorisations, en allégeant le fardeau administratif de la conformité fiscale et en fournissant une plus grande protection aux actionnaires minoritaires. Le rapport note par ailleurs que depuis 2005, le Maroc a mis en œuvre 15 réformes réglementaires des affaires. Du coup, gagner 21 places n'est certes pas le fruit des changements intervenus sur la seule année 2011, mais surtout de l'aboutissement d'un processus d'amélioration du climat des affaires entamé depuis plusieurs années. Aussi a-t-il été question en 2011 de communiquer auprès des plus importantes institutions internationales à propos de ces mutations, pour justement éviter de tomber dans les mêmes travers que l'année dernière. Pour rappel, les officiels marocains ont fortement critiqué le classement de la précédente édition qui, selon eux, n'a pas tenu compte des avancées majeures réalisées par le royaume dans ce sens.
Par LesEchos.ma
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