Pauvre pécheur dans l’océan des blagues
Tu tiens sur ta chance et la cane s’enlise dans les algues
D’un air aussi vague comme les flammes de loin
Tu me pétrifie de rire quand tu crains le foin
Ouvre grand tes bras aux ennemis d’hier
Qui te sourient de si près
Et qui chuchotent ton extermination de si loin
Tes pas sur la mer disparaissent sous le sable de l’oubli
Tu n’atteindras hélas jamais le récif de ce terrain promis
Car tu sommeilles déjà depuis un instant
Ne te réveille pas soudainement le rêve est plus aguerri
Pour ton espoir meurtri, pour le désespoir de tes mères
De tes guerres
Impures
Pour les années à venir et les rêveries sans terres
Dors sous le joug de ton colon
Dors et pense que du bien
À tous les Blair-Wish
À tous les Bush- bée
À tous les Sarko-nés
Ils sont les gardiens de ton sommeil et ton oubli
Tu tiens sur ta chance et la cane s’enlise dans les algues
D’un air aussi vague comme les flammes de loin
Tu me pétrifie de rire quand tu crains le foin
Ouvre grand tes bras aux ennemis d’hier
Qui te sourient de si près
Et qui chuchotent ton extermination de si loin
Tes pas sur la mer disparaissent sous le sable de l’oubli
Tu n’atteindras hélas jamais le récif de ce terrain promis
Car tu sommeilles déjà depuis un instant
Ne te réveille pas soudainement le rêve est plus aguerri
Pour ton espoir meurtri, pour le désespoir de tes mères
De tes guerres
Impures
Pour les années à venir et les rêveries sans terres
Dors sous le joug de ton colon
Dors et pense que du bien
À tous les Blair-Wish
À tous les Bush- bée
À tous les Sarko-nés
Ils sont les gardiens de ton sommeil et ton oubli
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